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Dans
l’ACTE I
: je révèle que Greta Thunberg, l’enfant prodige actuelle,
visage du mouvement de la jeunesse en lutte contre le changement climatique,
sert de conseillère spéciale jeunesse et siège au conseil d’administration
de "We Don’t Have Time (Nous n’avons pas le temps)", une start-up tech en
plein essor. J’explore ensuite les ambitions de l’entreprise
financière We Don’t
Have Time. |
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Dans
l’ACTE II, j’illustre la façon dont les jeunes d’aujourd’hui sont les
agneaux sacrificiels de l’élite dirigeante. De plus, dans cet acte, je
présente les membres du conseil d’administration et les conseillers de We
Don’t Have Time. J’explore son leadership et les partenariats entre des entités environnementales privées bien
établies : le projet Climate Reality d’Al Gore [vice-président des USA sous
Bill Clinton, NdT], 350.org, Avaaz, Global Utmaning (Global Challenge), la
Banque mondiale et le Forum économique mondial (Forum de Davos, acronyme
anglais WEF). |
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Dans
l’ACTE III, je présente la célèbre famille de Thunberg. En particulier, la célèbre mère de Greta Thunberg,
Malena Ernman (Héroïne de l’environnement de l’année du WWF, 2017) et le lancement de son
livre, en août 2018. J’explore ensuite la généreuse attention médiatique
accordée à Thunberg en mai et avril 2018 par les médias suédois dont SvD, l’un des plus grands
journaux du pays.
J’expose la façon dont Al
Gore et les capitalistes les plus puissants de la planète soutiennent
les mouvements mettant en vedette la jeunesse, surtout de jeunes filles,
et pourquoi il le font. J’explore ensuite les liens entre "We
Don’t Have Time"/Thunberg et "Our Revolution", l’"Institut Sanders", "This Is Zero Hour", le
"Sunrise Movement" et le "Green New Deal" « New Deal vert »,
des groupes qui soutiennent un
bouquet de réformes pro-climat et anti-égalité proposé par le
Parti démocrate des USA.
Finalement je présente un cas type où une entreprise qui est censée
vendre des produits écologiques alternatifs vend plutôt du microcrédit
et l'habitude de l'endettement chez les pauvres. |
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Dans
l’ACTE IV, j’examine la campagne qui se déroule actuellement, ayant
pour
but de « conduire le public en mode d’urgence ». Plus important, je résume
pour qui et à quoi ce mode est destiné à servir. |
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Dans l‘ACTE
V, j’examine de
plus près le
Green New Deal. J’explore le think tank
Data for Progress (Données pour le progrès) et le ciblage de la jeunesse
féminine comme clé « fémographique ».
Je connecte l’architecte principal et
les auteurs des données du « Green New Deal », je vous guide à travers l’imbrication d'organismes
à but non lucratif soutenu par les multinationales.
Je révèle le point commun
entre ces entités et l’attribution de valeurs monétaires à la nature,
représenté par la Natural Capital Coalition (Coalition pour le
capital naturel). Enfin, je révèle comment tout cela a abouti à la
mise en œuvre de paiements pour des services liés à l’écosystème (c’est
la financiarisation et la privatisation de la nature,
à l’échelle mondiale).
La
marchandisation des biens communs constituera le coup d’État
le plus important et le plus rusé de l’histoire de la domination des
entreprises - un fait extraordinaire d’une ampleur et avec des
répercussions sans précédent pour l’humanité et toute la vie.
C'est ce qui est sur la
table pour le "quinzième réunion
du climat à Pékin en 2020". |
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Dans l’acte final,
l’ACTE VI, je termine la série en révélant que les
fondations mêmes qui ont financé le « mouvement » du climat au cours de la
dernière décennie sont aujourd’hui partenaires du Climate Finance
Partnership et cherchent à siphonner 100 billions de dollars des fonds de
pension. Je révèle l’identité des individus et des groupes à la tête de
cette matrice, ceux qui contrôlent à la fois le média et le message. Je
remonte un peu dans le temps pour décrire brièvement les dix années
d’ingénierie sociale stratégique qui nous ont menés jusqu’à ce précipice.
Je vois la relation entre le
WWF, l’Institut de
Stockholm et le World Resources Institute comme des instruments-clés dans la
création de la financiarisation de la nature. J’examine également les
premières campagnes publiques pour la financiarisation de la nature (le
« capital naturel ») qui sont peu à peu introduites dans le domaine public
par le WWF.
Je réfléchis à la façon dont les ONG mainstream tentent de
préserver leur influence et de manipuler encore davantage la population en
se cachant derrière les groupes d’Extinction Rebellion organisés aux
États-Unis et dans le monde entier.
Une fois l’écran de fumée dissipé, le
flou, voire la
quasi-inexistence des demandes, qui rappellent les « exigences » de TckTckTck
en 2009, pourra être pleinement compris.
Certains de ces sujets, ainsi
que d’autres, feront l’objet de publications ultérieures et seront discutés
plus en détail au fur et à mesure des addenda qui viendront s’ajouter à
l’important volume de recherches.
Il s’agit notamment de passer
de l’autre côté du miroir et d’explorer à quoi ressemblera le véritable
« Green New Deal » de la Quatrième Révolution industrielle.
Il sera
également question du pouvoir de la célébrité – et de la façon dont elle est
devenue un outil-clé, à la fois pour le capital et pour s’assurer de la
passivité conformiste des populations. |
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Ce qui est exaspérant dans les manipulations du
complexe financier à but non lucratif, c’est qu’ils récoltent la bonne
volonté des gens, surtout des jeunes.
Ils s’adressent à ceux et celles qui n’ont pas
reçu les compétences et les connaissances nécessaires pour penser par
eux-mêmes, dans le but de servir des institutions conçues par et pour la
classe dirigeante.
Le capitalisme fonctionne systématiquement et
structurellement comme une cage pour animaux domestiques. Ces organisations
et leurs projets, qui opèrent sous de faux slogans humanistes afin de
soutenir la hiérarchie de l’argent et de la violence deviennent rapidement
certains des éléments les plus cruciaux de la cage invisible des grandes
entreprises, du colonialisme et du militarisme.
–
Hiroyuki Hamada, artiste |
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