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La super-classe mondiale: « Des élites qui n’ont plus peur du peuple » |
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À Washington
D.C., là où les
groupes de "laboratoire-d'idées/Think tanks" se livrent une concurrence sans merci pour influencer les
décisions des gouvernants états-uniens, la nouvelle fut un vrai coup de tonnerre.
Fin
novembre 2019, les deux milliardaires George Soros et Charles Koch ont lancé le
Quincy Institute for Responsible Statecraft, voué à «promouvoir les idées
qui éloigneront la politique étrangère américaine de la guerre sans fin, et
vers une diplomatie vigoureuse, dans la poursuite de la paix
internationale».
Une ambition qui avait tout l’air d’une déclaration de
guerre aux partisans des guerres à outrance:
« |
Les dirigeants politiques ont
de plus en plus utilisé les moyens militaires de manière ruineuse,
contre-productive et sans discernement», résume la lettre d’intention de
l’Institut: «une grande part de la communauté des spécialistes en politique
étrangère a succombé à la léthargie intellectuelle et au dysfonctionnement. |
» |
Une critique en règle des
experts qui ont pignon sur rue dans la capitale états-unienne, vexante
peut-être, mais surtout handicapante. À Washington, tout le monde recherche
des financements: l’influence a un coût, et non des moindres.
Depuis des
décennies, Charles Koch finance la droite américaine et George Soros la
gauche. Le premier a déjà injecté 900 millions de dollars entre 2009 et 2016
et 300 millions$ pour la seule année électorale 2016. L’alliance donne déjà
des maux de crâne aux partisans de l’hégémonie américaine: si les plus
grands mécènes leur tournent le dos, leur sera-t-il possible de faire
entendre leur voix?
Projet de
dictature mondial des gens d'affaires |
Les entreprises multinationales deviendrait l'équivalent de l'ONU |
Koch est «moins connu, plus discret que Soros qui est narcissique et aime montrer qu’il est
un acteur majeur de l’Histoire contemporaine», nous dit Pierre-Antoine Plaquevent, l’auteur de l’ouvrage
Soros et la société ouverte, métapolitique
du globalisme, avec lequel nous nous
sommes entretenus.
Car Georges Soros, lui, écrit
des livres de philosophie politique. Son ambition ? Instaurer une
«société
ouverte» globalisée contre les «sociétés closes», des concepts empruntés à
l’intellectuel autrichien Karl Popper.
Et pour mettre en œuvre ses utopies
ou, plus immédiatement, s’opposer aux dirigeants
populistes et aux nations
perçues comme les ennemis de la
mondialisation heureuse, Soros dépense sa
fortune colossale. |
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En 2018, il transférait 18 milliards de dollars à ses
propres Open Society Foundations
OSF. Un réseau devenu tentaculaire –
Amnesty International,
Human Rights Initiative, le
Collectif contre
l’islamophobie en France, ou encore
les Femen: rares sont les associations
militantes progressistes à travers le monde à ne pas avoir reçu de chèque
des fondations de George Soros.
À la recherche de «monstres à
détruire»?
L’Institut Quincy, le projet
commun de Koch et Soros, semble dès lors un accord transpartisan mais, plus
encore, un «virage étonnant», comme le titrait le
journal Boston Globe. Un virage
qui semble renforcer la tendance isolationniste dans le pays. Le nom de
l’institut lui-même ferait en effet frémir n’importe quel impérialiste
américain. En 1821, le futur sixième Président des États-Unis John Quincy
Adams, alors secrétaire d’État, déclarait: «[L’Amérique, ndlr] ne va pas à
l’étranger, à la recherche de monstres à détruire». Quincy critiquait là
l’impérialisme britannique et prévenait l’interventionnisme des États-Unis
en Amérique latine. |
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Bref, un refus du changement de régime avant l’heure.
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Subversivité: un cas d’école |
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Pourtant, le discours de John
Quincy était à double tranchant. En effet, cette figure historique derrière
laquelle s’abritent Soros et Koch ne plaidait pas pour la passivité:
«l’Amérique souhaite la liberté et l’indépendance de tous», déclarait-il
aussi dans le même discours.
Un tel nom et de tels propos reflètent dès lors
la dualité du projet des milliardaires, qui pourront ainsi justifier sans
peine leurs ingérences à l’étranger. Une action certes non armée, mais bien
réelle, via leurs innombrables financements. Sans doute est-ce là la
«diplomatie vigoureuse» évoquée par l’Institut: en fin de compte, le recul
de l’interventionnisme casqué ne signifie pas pour autant un ressac de
l’impérialisme. En Amérique, hard et soft power vont toujours de pair.
Un pouvoir subversif
dont la France n’a pas été épargnée. Aussi,
Pierre-Antoine Plaquevent nous
rappelle-t-il qu’en France, à l’été 2019, l’alliance citoyenne de femmes
musulmanes promouvant le port du burkini
avait perçu 80 000 dollars du réseau de George Soros,
les Open Society Foundations (OSF). Une somme dérisoire pour les OSF, qui a
toutefois donné «une visibilité considérable à un réseau militant qui ne
représente pas grand-chose». Cette opération d’agitprop au retentissement
médiatique indéniable aurait-elle été possible sans le chèque d’un tel
mécène?
Mais injecter de l’argent pour
inciter au changement n’a pas attendu le soutien aux minorités. C’est une
vieille histoire. Dans un éditorial du
journal Washington Post, le néoconservateur
James Kirchick
s’inquiétait de voir Soros critiquer l’interventionnisme,
saluant explicitement l’influence exercée par les dollars du financier en
Europe de l’Est:
« |
George Soros est considéré à
juste titre comme l’un des défenseurs les plus cohérents de la liberté en
Europe centrale et orientale. Avant l’effondrement de l’Union soviétique, le
financier d’origine hongroise a commencé à investir sa fortune dans des
dissidents démocratiques. Une fois le mur de Berlin tombé, ses fondations
Open Society ont rapidement ouvert des bureaux dans toute la région,
apportant un soutien crucial aux journalistes indépendants, aux militants de
la société civile et aux politiciens d’esprit libéral. |
» |
Il est dès lors «ironique de
les voir parler d’isolationnisme!», constate Pierre-Antoine Plaquevent. L’Atlantic Council
compte parmi ses donateurs les plus importants la
fondation de Soros (entre 250 et 500 000 dollars pour la seule année 2018). Koch a quant à lui financé le très néoconservateur
American Enterprise
Institute, connu pour ses postures va-t-en-guerre, au Moyen-Orient ou face à
la Russie.
Une start-up idéologique à
fort potentiel
Pour l’instant, les deux
milliardaires n’ont injecté «que» 500 000 dollars chacun dans le nouvel
Institut Quincy.
À titre de comparaison, la
Brookings Institution, de centre
gauche, peut compter sur 120 millions de dollars, et l’Heritage Foundation,
la maison mère du mouvement conservateur américain, sur près de 90 millions.
Un budget bien mince donc, pour Washington, mais aussi pour les deux
mécènes. Koch a dépensé plus de 900 millions de dollars depuis 2009. Mais le
Quincy Institute ambitionne d’atteindre les six millions dès sa deuxième
année d’existence, et peut d’ores et déjà compter sur les carnets d’adresses
des deux oligarques. |
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Le groupe "laboratoire
d'idées/think tank" est aujourd’hui
présidé par Andrew Bacevich, un ancien colonel et vétéran du
Viêt-Nam,
opposant de la première heure à l’intervention en
Irak, mais aussi de
l’élargissement de l’OTAN en Europe de l’Est.
S’il se décrit comme un
«conservateur catholique», celui-ci a toutefois pris position pour
l’élection de
Barack Obama en 2008 afin de mettre un terme à cette guerre
du Viet-nam,
dans laquelle il perdit un fils en 2007.
Le directeur exécutif est quant à
lui Trita Parsi, un chercheur ayant fui l’Iran et rédigé une thèse sous la
direction de
Francis Fukuyama, l’auteur de
La fin de l’histoire.
Dans cet
ouvrage publié en 1992, qui eut un retentissement mondial, Fukuyama avait
pensé, le plus sérieusement du monde, que la démocratie libérale serait le
point final de l’évolution idéologique et politique de l’humanité, et
s’étendrait à l’échelle mondiale. |
« |
...il y a une guerre des classes, c’est un fait, mais c’est ma classe, la
classe des riches, qui est en train de la gagner !
- Warren Buffet
déclaration au New York Times en 2006 |
» |
Là commence à se révéler le
consensus idéologique, au-delà des ambitions anti-militaristes affichées.
«Ce sont deux milliardaires représentatifs des idées de l’establishment»,
résume Plaquevent avant d’ajouter: «Malgré de légères divergences, Soros et
Koch se rejoignent au final dans l’idée que l’économique doit primer sur le
politique.»
Or, Trump est une épine dans leur pied:
« |
Ce qui leur pose problème,
c’est que Trump réintroduit du politique. Eux sont pour la dissolution du
politique. Ce qu’ils craignent, c’est une convergence des "États
révisionnistes” du système libéral, et des opinions populistes internes au
système libéral occidental. |
» |
Et à vrai dire, Charles Koch
est-il vraiment conservateur? Lui et son frère David (décédé en 2019) financent en réalité
l’aile
libertarienne
de la droite américaine. S’ils ont en effet financé
d’innombrables candidats du Parti républicain, il s’agissait avant tout
d’assurer le respect par ces derniers d’une ligne favorable au libéralisme
radical, arc bouté sur la liberté individuelle, le libre marché,
c’est-à-dire sur un capitalisme totalement dépourvu de la puissance
publique.
Fin de la démocratie des peuples |
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Abolition des nations |
Une doctrine qui se marie sans peine au libéralisme politique
prôné par Soros. Aujourd’hui, la fondation Koch finance entre autres des
programmes de recherche et de promotion de «ce qui motive l’intolérance, et
les meilleurs moyens de la guérir», car «les différences nous rendent plus
forts». Une rhétorique «inclusive», identique à celle de la société ouverte
de George Soros, et une critique à peine voilée de l’Amérique de Trump.
L’actuel Président américain a
beau être opposé à l’interventionnisme militaire, là n’est pas le problème.
Charles Koch avait en 2016 comparé le choix entre Hillary Clinton et Donald
Trump à celui entre «un cancer et une crise cardiaque». Ainsi, il avait
cessé tout financement de la campagne républicaine après la victoire aux
primaires de Donald Trump, dont le nationalisme économique va à l’encontre
de sa doctrine, comme nous le précise Pierre-Antoine Plaquevent:
« |
L’adversaire de l’ordre
libéral, c’est le modèle économique alternatif d’une économie de marché
dirigée, au niveau national. Un modèle qui gagne du terrain à en croire Plaquevent:
nous l’appellerions
Colbertisme en France. On la trouve en
Chine, en Russie aussi. C’est aussi ce que tente l’administration de Donald Trump. |
» |
Leur nouvelle initiative
traduit donc une nouvelle approche selon Plaquevent: «je pense qu’ils ont
compris les leçons de l’élection de 2016, qu’ils essaient une approche plus
fine». Et notre interlocuteur de l’interpréter: «ce nouveau projet trace la
voie d’une stratégie des globalistes: ralentir la marche, essayer de ménager
les alliés, etc.»
Aussi, Koch et Soros
s’inquiètent-ils du militarisme, car il serait contre-productif: l’ordre
libéral se construirait plus efficacement par le commerce que par les armes. En dépit de ses intentions, un tel mondialisme n’est pourtant pas une
garantie de paix selon Plaquevent: «plus on dissout les États nationaux,
plus on renforce la tendance vers une guerre civile planétaire». Si Hillary
Clinton était un «cancer», et Donald Trump une «crise cardiaque», alors
peut-être l’alliance Soros-Koch serait-elle virale?
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«L’idéologie de la société
ouverte est un outil pour casser les défenses immunitaires des sociétés dans
laquelle il essaie d’appliquer son ingénierie sociale», selon
Pierre-Antoine Plaquevent à retrouver dans cet entretien:
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Les précurseurs et
les alliés actuels de l'Institut Quincy au Canada |
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Un projet de l'Institut Quincy financé par Charles Koch et George Soros |
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Au
Canada, l'idéal recherché par
Soros était déjà représenté par l’ex-premier ministre Pierre-Elliot Trudeau avec
son ambassadeur à l’ONU Maurice Strong un homme de main du Parti Libéral du
Canada (PLC), qui prônait déjà à la
conférence de Rio et au
Forum économique de Davos, la création d’un
gouvernement mondial.
Du financement était disponible
pour les groupes pouvant faire des remous sociaux de déstabilisation des pays ou
provinces où les gouvernements n’appuyaient pas un tel projet. On retrouva de
l’argent venant des Koch ou Soros dans des groupes faisant la promotion de la
fierté gaie et sa lutte pour obtenir le mariage entre personnes du même sexe et
le développement du dossier des LGBTQ. Mouvement de contestation de
l'enseignement du sexe à l'école, création d'un
bureau de protection des
religions par le gouvernement canadien sous Stephen Harper. De multiples groupes
environnementaux, et des organisations à but
non lucratif subventionnés par l'Institut Fraser, lui-même subventionné par les
frères Koch.
Des groupes comme l'Institut
Économique de Montréal et
Réseau Liberté Québec ont fait la promotion des
valeurs libertariennes des frères Koch ce qui a permis d'influencer l'Action
démocratique du Québec et finalement a permis la création de la Coalition Avenir
Québec (CAQ) grâce à l'argent de
Charles Sirois. Si ce n'était le vernis nationaliste
d'un ex-péquiste indépendantiste
François Legault qui a viré sa veste de bord,
ce parti maintenant affirmé fédéraliste ne serait qu’un regroupement
d’assoiffés du pouvoir pour le développement de leurs intérêts économiques.
Le sillon de la droite politique
fut bien ancré quand le conservateur sans éthique
Jean Charest s'appropria et
dénatura le Parti Libéral du Québec (PLQ) en 2003. Le tracé fut suivi par un libertarien ayant fait ses classes géopolitiques en Arabie Saoudite le
Dr
Philippe Couillard ex-premier ministre du Québec. Ce dernier se déclara adepte
des théories soutenues par les frères Kosch, qui en même temps rejoignaient
celles de Soros pour l'ouverture des frontières et la lutte au nationalisme
québécois. On se souviendra de lui pour avoir renié
la seule députée musulmane
du Québec qui l'invitait à ne pas frayer avec les
Frères Musulmans qui officient
au Québec dans toutes sortes de groupuscules.
Avec ce genre de dirigeant, dans les faits l'argent états-unien n'était plus
nécessaire pour mousser la volonté de faire disparaître une classe moyenne
nationaliste qui empêchait encore les privatisations et la déréglementation tous
azimuts du rôle de l'État dans l'économie du Québec.
Avec des
juges nommés.es selon
leur affiliation au Parti Libéral « devenu conservateur » du Québec
sous Jean
Charest de 2003 à
2018, il ne peut y avoir de dérive en dehors de l’orientation
politique des oligarques Koch et Soros.
Avec des gens d'affaires comme les
familles Pouliot, Leclerc et Desmarais contrôlant les médias, la Canadian
Broadcasting corporation (CBC)/Radio-Canada ayant l'obligation de faire la
promotion de l'enlignement politique du
gouvernement du Canada, le mouvement
pour la disparition des peuples fondateurs au profit des immigrants est presque
assuré et la possibilité d’un État canadien laïque et de la protection de la
langue française (voir Air Canada) est aussi assuré…mais de disparaître. |
Les liens de Soros se sont
maintenus avec
Justin Trudeau premier ministre du Canada en
2019. Ce
dernier a maintenue la politique extérieure du Canada de Stephen Harper qui
avait permis
au général Charles Bouchard
du lac Saint-Jean
de bien réaliser avec l'OTAN en Libye le programme d’assassinat sélectif contre les familles
et alliés des
Kadhafi. En 2017 il a cédé
la souveraineté du Canada aux États-Unis et c'est attaqué aux pays prônant
les valeurs de la nation tels que la Chine, la Russie, le Venezuela, la
Syrie, l'Irak etc...
Le Justin "sans déguisement"
a même
nommé Chrystia Freeland, une amie personnelle de Soros, Ukrainienne ayant
encore
son condominium place Maiden à Kiev et qui a obtenu du parlement
l'autorisation de vendre des
armes létales aux ukraino-nazis qui veulent
tuer les russophones nationalistes d'Ukraine. En 2020, elle est devenue
cheffe des relations entre les provinces et sera la porte-parole canadienne
face à François Legault, représentant le nationalisme et la laïcité
revendiquée par les Québécois.... La
Super-classe mondiale
a de bonnes
assises au Québec.
Il ne faut jamais croire que
la géopolitique ne nous rejoindra pas chez nous
JosPublic
|
Le site web du Parlement canadien a publié cette photo d’une conversation
entre
George Soros (à gauche), le
premier ministre du Canada,
Justin Trudeau (au centre) et
Chrystia
Freeland (à droite) lors d'une réunion du Forum économique mondial à Davos, organisé en janvier 2016. |
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Notes & Références encyclopédiques:
|
Pierre-Antoine Plaquevent est
l'auteur de l'ouvrage...
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Soros et la société ouverte, métapolitique
du globalisme
Auteur:
Pierre-Antoine Plaquevent.
Comprendre l'influence de Soros, c'est comprendre que de nombreux processus
politiques antinomiques de notre temps ont souvent un dénominateur commun :
l'appui, aussi bien financier que logistique et idéologique des fondations
de la Société ouverte. |
Par son action et sa
vision du monde, George Soros constitue à bien des égards la
quintessence même de l'anti-conservatisme et du nominalisme politique.
Un projet déployé avec une puissance et des moyens inédits dans
l'histoire. Puisse cette étude contribuer au sursaut nécessaire face à
l'assaut global que mènent depuis des décennies les réseaux de la
société ouverte contre nos sociétés, nos modes de vie et notre avenir.
Il n'est peut-être pas encore trop tard. (éditions: Le retour aux
sources, 2018). Ceci n'est pas une publicité et MétéoPolitique ne reçoit
aucun émolument pour le présenter. Il s'agit d'un service au public.
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Alliance
citoyenne de femmes musulmanes promouvant le port du burkini...
|
L'association qui soutient les femmes menant des actions pour
revendiquer le port du burkini est financée par l'organisation Open
Society Foundations, du milliardaire américano-hongrois controversé
George Soros. Sur RT, le 8 juil. 2019 |
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une thèse sous la direction de
Francis Fukuyama...
|
Fukuyama est, par ailleurs,
conscient que la chute du Mur, la dislocation du bloc de l'Est vont
entraîner d'importants troubles : la fin de l'Histoire ne signifie pas,
selon lui, l'absence de conflits, mais plutôt la suprématie absolue et
définitive de l'idéal de la démocratie libérale, lequel ne constituerait pas
seulement l'horizon indépassable de notre temps mais se réaliserait
effectivement. - Sur Wikipédia en
français.
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Mouvement de
contestation de l'enseignement du sexe dans les écoles...
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Stephen Harper crée un Bureau de la liberté de religion.
Selon des groupes
de défense des droits de la personne et des porte-parole de
l'opposition, toutefois, la création de ce bureau est une
tentative mal avisée d'injecter de la religion dans la politique
étrangère canadienne. Source: l'agence de presse La
Presse Canadienne |
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Des groupes
comme l'Institut Économique de Montréal et Réseau Liberté Québec ont
fait la promotion des valeurs literariennes des frères Koch...
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C’est ce même Institut Fraser qui appuie le Réseau Liberté Québec. Présent par un kiosque à l’entrée de sa conférence publique du 23 octobre 2010. C’est aussi l’Institut Fraser qui jalonne la carrière de Éric Duhaime, co-fondateur du RLQ, depuis son stage de maîtrise à l’Institut jusqu’à ses plus récents écrits.
Éric Duhaime travaille également pour l’Institut Économique de Montréal (IEDM) fondé par la même personne que l’Institut Fraser : Michaël Walker. Son directeur, Michel Kelly-Gagnon était présent le 23 octobre dernier, tout comme la directrice de l'institut Fraser (et ex-directrice de l'IEDM), Tasha Keiriddine, une conférencière du RLQ, comme Maxime Bernier, le vice-président de l'IEDM, conférencier du RLQ également, tout comme Adam Daifallah, un autre étudiant boursier de l'Institut fraser et fellow de l'IEDM.
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et
finalement a permis la création de la Coalition Avenir Québec...
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On se
souviendra de lui pour avoir renié...
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Elle a été blessée et choquée
par la sortie de son collègue Marc Tanguay qui soutient qu'une femme qui
porterait le tchador serait acceptée parmi les candidates du PLQ aux
prochaines élections. |
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Avec des
juges nommés.es selon leur affiliation au Parti Libéral du Québec...
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Éditorial de Josée
Boileau |
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Québec: nomination des juges
Consultation
du Premier Ministre pour les
nominations: < tout à fait
normal >, dit Jean
Charest
< du jamais-vu >, dit l'ancien premier ministre Bernard Landry
- Devoir, 24 septembre 2010 |
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Stephen
Harper qui avait permis...
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la
protection de la langue française...
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souveraineté du Canada aux États-Unis...
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Le Justin "sans
déguisement" a même nommé...
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Le deux poids deux mesures du Canada en ce qui concerne l’antisémitisme ne cessera
jamais d’étonner. Le cas de la ministre des Affaires étrangères, Madame Chrystia Freeland saute aux yeux. Si jamais une politicienne ou
un politicien québécois, à Québec ou à Ottawa, avait un squelette dans le placard comme celui qu’on vient de découvrir dans celui de Mme Freeland, elle aurait déjà
été destituée, sinon jetée en prison. |
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a obtenu du parlement
l'autorisation de vendre des armes létales aux...
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La
Super-classe mondiale a de bonnes assises au Québec...
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Sources:
Édouard Chanot
et
Pierre-Antoine Plaquevent, sur
Flux
on-line de Roumanie; archives de meteopolitique.com |
Choix de photos, collection de textes, mise en page, références et titrage par :
JosPublic Mise à jour le
8 janvier 2020 |
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