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Rima Elkouri écrit:
une
étude récente dirigée par des
chercheurs de l’ Université McGill confirme ce dont on se doutait déjà: les
citoyens qui s’exposent aux réseaux sociaux sont plus à risque de croire de
fausses informations sur la COVID-19 que ceux qui consultent les médias traditionnels. Ceux qui tirent leurs informations sur la pandémie de sources
comme
Facebook ou
Twitter
ont davantage tendance à avoir une perception erronée de la situation et sont moins susceptibles de respecter les règles
sanitaires, comme la distanciation physique. …
Commençons par
le mensonge proféré
(le texte ici) par la chroniqueuse
Rima Elkouri du journal en ligne "La Presse",
le 30 juillet 2020.
L'étude évoquée dans son
texte prétend mais ne confirme pas les dires de la chroniqueuse et n'expose pas les réseaux sociaux ni Facebook. Les
chercheurs admettent n'avoir couvert que Twitter en anglais et
aucun média francophone.
Même chose pour le sondage
faisant partie de l'étude. |
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Les autres grands journaux du Québec francophone ont
repris avec
peu de variantes
le communiqué de presse provenant de
l'agence de presse "La Presse Canadienne" et n'ont
souligné aucun commentaire particulier, ni attiré l'attention des
lecteurs sur le manque de crédibilité de l'étude de McGill.
Passons maintenant aux faits
1. l'étude en question n'a
épluché qu'une partie des messages publiés sur
Twitter
et 19 journaux
en anglais. Pas en français, pas en arabe, pas en
espagnol, mais uniquement en anglais ;
2. l'étude ne
couvre pas
d'autres médias sociaux que Twitter. Donc on oublie les
messages sur
Mastodon, Parler, Reddit, Quora, Instagram, Snap chat etc. ;
3. l'étude ne
couvre pas Facebook quoique le rédacteur de l'étude se permet d'étendre
sa conclusion
à ce média ;
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4. l'étude a été financée par
le ministère
Patrimoine Canada qui affirme vouloir collaborer avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS)
pour contrer l'influence des discours
alternatifs;
5. l'étude a été publiée par
une branche globaliste de l'Université Harvard qui se nomme
Harvard Kennedy School. Ce
collège offre une
formation superficielle aux mieux nantis, qui désirent obtenir un
diplôme monnayable afin d'utiliser le nom de la vénérable
institution pour enrichir leur curriculum vitae. Le
collège se targue en ligne d'avoir eu comme étudiant,
entre autres
André Boisclair ! Ayoye ! |
Reprenons le texte de
Mme Elkouri pour corriger la prétention que l'étude
prouverait que les médias sociaux désinforment.
Après avoir fait beaucoup de manipulation de données, retiré
les gazouillis (tweets) qui n'ont pas assez d'abonnés, ceux
qui n'indiquent pas que l'auteur est canadien, etc.
Les chercheurs finissent par noyer le poisson en extrapolant
et en émettant des hypothèses qu'ils font passer pour une
réponse scientifique à leur bailleur de fonds, Patrimoine
Canada. Le ministère voulait
savoir si l'information sur les médias sociaux au Canada
renforçait la volonté de certains Canadiens à ne pas
respecter les consignes de distanciation imposée par le
gouvernement fédéral et les provinces dans le cadre de la
pandémie COVID-19.
Cette étude n'est absolument pas
pertinente pour décrire les moeurs du Canada français et encore moins des Québécois
francophones, car aucun journal grand public francophone
n'a fait partie de l'échantillonnage de l'étude. Un sondage a été
tenu entre le
26
mars et le 6 avril 2020
pour connaître l'attitude des anglophones canadiens envers
la distanciation sociale.
« |
Pour des journalistes,
ne pas prévenir leurs lecteurs et lectrices des biais de cette étude se classe dans
mon compartiment des médiamensonges |
» |
De plus, il est évident
que le postulat des chercheurs et de Patrimoine Canada, est
de soutenir que la distanciation sociale est un dogme et qu'il ne doit
pas être remis en cause. Tout ce qui ne s'y conforme pas en
termes de débat public est de la désinformation. Ce
qui est une aberration en démocratie surtout lorsque les
gouvernements et les
GAFA
censurent la parole d'une partie de la population.
Pourquoi aller gazouiller qu'il faut se laver les mains,
lorsque le gouvernement paie des millions$ pour le dire et
que les grands médias suivent la parade ?
Mais laissons parler
les auteurs de l'étude et notons qu'ils insistent pour
parler de l'ensemble des médias sociaux alors qu'ils n'ont
étudié que Twitter anglophone : (ci-dessous: extraits de l'étude,
les mots en caractères gras sont soulignés par
JosPublic)
Nous avons constaté que l'utilisation des
plateformes de médias sociaux contribue largement
aux idées fausses, mais nous n'avons pas été en
mesure de préciser le niveau général de
désinformation circulant sur les médias sociaux
autres que Twitter.
L'accès aux données
des chercheurs sur des plateformes telles que Facebook, YouTube et Instagram est limité et
pratiquement inexistant pour SnapChat, WhatsApp et
WeChat. Les comparaisons de contenu
multiplateformes sont un ingrédient important pour
une compréhension approfondie de l'environnement des
médias sociaux et ces entreprises de médias sociaux
devraient mieux ouvrir leurs plateformes à la
recherche dans l'intérêt public.
Les données canadiennes sur Twitter
et les nouvelles ont été recueillies du 26 mars au 6
avril 2020. Nous avons recueilli tous les
gazouillis en anglais d'un
ensemble de 620 000 utilisateurs qui ont été jugés
vraisemblablement Canadiens.
Pour être inclus,
un utilisateur donné doit s'identifier comme étant
canadien, suivre un grand nombre de comptes d'élite
politique canadienne ou utiliser fréquemment des hashtags spécifiques au Canada.
Les médias d'information ont été recueillis à partir
de dix-neuf sites d'information canadiens de premier
plan avec des fils RSS actifs. Ces gazouillis et
articles de presse ont été recherchés pour «covid»
ou «coronavirus», laissant un échantillon de 2,25
millions de gazouillis et 8 857 articles de presse. |
Ici commence la partie
fantaisiste des chercheurs,
d'autres diraient "analyse créative" de la situation. Rien de
tout ce qui est affirmé ci-dessous n'est prouvé dans
l'étude. Ce ne sont que des extrapolations après avoir
lu la littérature "comme y disent".
Une étude comme celle-ci comporte des limites
claires.
Premièrement, nous avons évalué les
informations provenant uniquement d'une section de
l'écosystème médiatique global et pendant une
période donnée. Le niveau de
désinformation diffère selon les plateformes et les
sites d'actualités en ligne et une enquête plus
granulaire sur ces dynamiques serait utile.
Notre analyse suggère cependant qu'une dynamique
similaire existe sur les plateformes de médias
sociaux. Dans les documents supplémentaires,
nous montrons que les associations entre les
perceptions erronées et l'utilisation des médias
sociaux sont encore plus élevées pour les autres
plateformes de médias sociaux, ce qui suggère que
notre analyse du contenu Twitter peut
sous-représenter la prévalence de la désinformation
sur les médias sociaux au sens large. Comme
indiqué ci-dessus, les limitations existantes en
matière d'accès aux données rendent cette recherche multiplateforme difficile.
Deuxièmement, nos données sont tirées d'une
seule étude de cas de pays et de langue et d'autres
pays peuvent avoir différents environnements
médiatiques et niveaux de désinformation circulant
sur les réseaux sociaux. Nous prévoyons
cependant que la dynamique sous-jacente trouvée dans
cet article se maintiendra dans ces contextes.
Ceux qui consomment des informations provenant de
plateformes où la désinformation est plus répandue
auront des perceptions plus erronées et que ces
perceptions erronées seront liées à une moindre
conformité à la distanciation sociale et à une
moindre perception des risques.
Troisièmement, un problème méthodologique est
présent par lequel nous ne lions pas directement
les répondants à l'enquête à leur consommation de
médias sociaux (et à l'évaluation de la
désinformation à laquelle ils sont exposés) et nous
n'avons pas la capacité d'attribuer au hasard
l'exposition aux médias sociaux pour faire un
argument causal fort. Nous ne pouvons
pas et ne faisons pas d'argument causal ici, mais
soutenons plutôt qu'il existe des preuves solides
d'une désinformation à des perceptions erronées pour
réduire le lien de conformité à la distanciation
sociale. |
Revenons à Mme
Elkouri et sa conclusion |
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extrait de
son texte…. C’est donc dire que même s’il existait un
vaccin contre la bêtise humaine, ce ne serait pas
suffisant pour lutter contre cette épidémie de
désinformation. Ce qu’il
faut, c’est valoriser le journalisme de qualité, faire de l’éducation aux
médias une priorité et exiger que nos gouvernements mettent au pas les Twitter et Facebook de ce monde. Sans quoi tous les efforts faits pour
lutter contre la pandémie seront sapés.
Les chroniqueurs des
journaux pontifient allègrement, ceux qui ont moins d'éthique
se servent des informations provenant des agences de presse pour
tenter de bonifier leur a priori et leurs hypothèses. Je
dénonce ici le fait que les éditeurs de journaux semblent ne pas avoir lu
l'étude. Se seraient-ils contentés de lire le
communiqué de presse ? Serait-ce que le texte de
l'Agence confirmait leurs préjugés ? Il semblerait
qu'ils y aient trouvé l'argumentation nécessaire pour
contrer l'information
alternative (je ne
parle pas des faits ou des vérités alternatives) des médias sociaux.
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Aujourd'hui, les médias
grand public combattent les médias sociaux, car ces derniers
enlèvent de la publicité à leur journal. C'est pourtant
eux qui insistent pour leur donner une couverture. Combien
de fois lit-on... les médias sociaux s'enflamment ! En
2020, 24,6 % des comptes vérifiés sont ceux de
journalistes.
Je suis d'accord
avec Mme Elkouri lorsqu'elle suggère de valoriser le journalisme
de qualité. Une mission que je crois
impossible. Évidemment les universités offrent des cours
de journalisme de qualité, là n'est pas le problème. Le
noeud de l'affaire est dans la ligne éditoriale du média.
Elle devrait être décrite et accessible aux lecteurs comme celle
de MétéoPolitique (voir
Mission).
Une autre solution serait d'affranchir les journalistes et les
chroniqueurs de
la ligne éditoriale du journal qui les embauche
(Dans La Presse, l'obligation d'appliquer la ligne éditorial se
situe l’article 7.10 de la convention
collective entre le syndicat et la direction).
Dans le cas de Mme El Kouri,
la chroniqueuse doit se conformer à la ligne éditoriale de son
employeur, sinon elle sera débauchée ou n'aurait jamais été
embauchée.
Dans ce cas particulier, comme
l'a déclaré le directeur du journal:
il faut être fédéraliste.
À lire les noms des membres du
conseil d'administration de la fiducie "La Presse" et les noms
des intérêts qu'ils représentent, les éditorialistes,
chroniqueurs et pupitreurs (titreurs) n'ont pas d'autres choix
que de prôner des politiques publiques qui
se classent à la droite du débat politique, comme celle du
confinement des citoyens qui est un choix politique
et non un choix sanitaire (un autre débat et non une
désinformation).
J'en ai déjà trop dit, me voilà assurément un méchant conspirationniste qui fera tomber le
gouvernement par un gazouillis ou un texte sur internet.
22 nov. 2018 /CNW Telbec/ - Le président du conseil d'administration de La Presse, M. Alain Gignac, a le plaisir d'annoncer
le nom des administrateurs de La Presse. En plus de M. Gignac, le nouveau conseil d'administration sera
composé de Mme Claire Bara, vice-présidente, stratégie et intelligence d'affaires chez LOWE'S inc.
(le fossoyeur de RONA), de Mme Nathalie Fagnan, CPA, CA et ex-vice-présidente directrice et chef des
opérations chez Publicis North America, de M. Pierre Lapointe, président, administrateur et chef de la
gestion privée de patrimoine chez Jarislowsky Fraser Limitée, de M. Martin Gourdeau, cofondateur et
associé de la société de conseil en gestion PNR et ancien vice-président de Global Eagle Entertainment, et
de Mme Sophie Cousineau, vice-présidente conseil, risques émergents et ESG à la Caisse de dépôt et
placement du Québec, et ancienne journaliste et chroniqueuse à La Presse et au Globe and Mail. Le
président et l'éditeur de La Presse, MM. Pierre-Elliott Levasseur et Guy Crevier, siégeront également au conseil. |
Twitter en chiffres édition 24 juillet 2020 Selon l'Agence des medias sociaux, Paris, France |
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Nombre d'utilisateurs de Twitter dans le monde, au deuxième trimestre 2020 : Twitter comptait 186 millions d'utilisateurs quotidiens monétisables,
c'est-à-dire qui ont été exposés à une publicité sur une journée donnée. |
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Contrairement à la plupart des autres réseaux sociaux, comme
Snapchat
ou encore
Pinterest, les hommes sont majoritaires à 66 % sur Twitter, contre seulement 34 % de femmes.
La moyenne d’âge est également
un peu plus élevée que sur les autres réseaux sociaux. Ainsi, 63 %
des utilisateurs de Twitter ont entre 35 et 65 ans.
Cependant, seulement 56 % des
utilisateurs gazouillent. Cela veut donc dire que la moitié des
personnes présentes sur la plateforme sont uniquement spectatrices
et non pas créatrices de contenu. Elles cherchent alors
principalement à s’informer (74 %) auprès de personnes ayant une
certaine notoriété.
81% des utilisateurs de
Twitter comptent moins de 50 abonnés;
6% n'en ont carrément aucun;
70% des utilisateurs de
Twitter ne fournissent aucun renseignement sur leur biographie;
Cette passivité peut également
s’expliquer par un nombre impressionnant de faux comptes.
Twitter estime à 23 millions le nombre de comptes tenus par des
robots. Rappelons également que la firme avait fermé 70
millions de faux comptes en 2018.
Les leaders d’opinion sur
la plateforme
83 % des leaders
de la planète possèdent un compte sur la plateforme. À savoir
que 24,6 % des comptes vérifiés sont ceux de journalistes, un
résultat en accord avec cette quête d’informations.
(Note de
JosPublic:
alors il ne faut pas s'attendre à ce qu'ils aient une opinion
différente de ce qu'ils affichent dans le journal de leur employeur.
Ils et elles gazouillent pour attirer des clics sur leurs textes et
montrer au patron qu'ils créent du trafic, ce qui est primordial pour
vendre de la publicité) |
|
Mais pour gagner en
visibilité, pas de secret, seule la régularité compte !
Ainsi, 92 % des marques (compagnies) postent des gazouillis plus d’une
fois par jour, 42 % d’entre elles entrent 1 à 5 gazouillis quotidiens et
19 % entre 6 à 10 gazouillis. Vous l’aurez donc compris, il faut être
actif, mais aussi connaître les bonnes pratiques pour se démarquer
sur Twitter.
Un gazouillis avec une image va
obtenir 150 % de regazouillis, 89 % de "j’aimes" et 18 % de clics en plus
qu’une publication qui n’en comporterait pas.
Un gazouillis avec au moins un hashtag va obtenir 100 % d’engagement en plus.
Un gazouillis avec une vidéo va
obtenir 10 fois plus d’engagements. Source : BDM
Notes & Références encyclopédiques:
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Commençons par le mensonge proféré par la chroniqueuse Rima Elkouri...
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J’ai fait mes recherches. Une chronique de Rima Elkouri. C'est vers le milieu du texte qu'elle parle de l'étude de McGill qui nous intéresse dans ce
texte. Source : Journal en ligne "La Presse" pour la Fiducie de soutien à La Presse, le 30 juillet 2020. |
|
Retour au texte
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L'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui veut contrer l'influence
des discours alternatifs... |
Depuis
quelques mois, les décisions de l'Organisation mondiale de la Santé sont de plus
en plus contestées, que ce soit par la communauté scientifique ou politique. Les médias
les plus audacieux, dans un souffle d'indépendance,
osent démasquer des castes de
fonctionnaires-technocrates, principalement ceux et
celles casés dans des postes de pouvoir par
des groupes de lobby formés de gens d'affaires, de
politiques ou d'organismes de charité et qui sont
incapables de résister à leurs bailleurs de fonds. Ces fonctionnaires sont les
serviteurs de ces pouvoirs. La
chaîne de télévision ARTE
a diffusé en 2016 une enquête sur le
comportement de cette branche nébuleuse de
l'Organisation des Nations-Unis. Le résultat
s'avère être des plus pertinents pour mesurer ce qui
a alarmé indûment ou trouvé ce qui, ou qui a créé la
pandémie du
Coronavirus et de sa maladie la COVID-2019.
|
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journaux du Canada francophone ont repris avec peu de variantes...
|
Texte qui
parle d'une étude de l'Observatoire de
l’écosystème médiatique de l'université
McGill. Source : l'agence de presse
"La Presse Canadienne",
texte repris par le Devoir publié le 29
juillet 2020 et par d'autres journaux
québécois dont: Le Soleil, La Tribune, Le
Droit, Le Nouvelliste et les médias
Québecor. |
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Le
collège se targue en ligne d'avoir eu comme
étudiant, entres autres... |
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André Boisclair
a complété le programme de maîtrise en
administration publique de la Harvard/John F. Kennedy School of Government.
|
Un programme qui
n'exige pas que les étudiants détiennent un diplôme universitaire antérieur.
Pendant son séjour à Harvard, Boisclair a assisté
aux conférences de Michael Ignatieff
et a tenu un blogue enregistrant son
expérience.
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Une
étude récente dirigée par des chercheurs de
l'Université McGill... |
Une équipe de chercheurs ont signé un texte
publié dans Misinformation Review édition de
juin 2020 volume 1 édition spécial sur la
COVID-19 et la désinformation, du Harvard
Kennedy School (un collège états-unien). La
recherche a été financée par Patrimoine
Canada. |
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Dans ce cas particulier, comme l'a déclaré le directeur du journal, il faut être fédéraliste...
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comme celle du confinement des citoyens qui est
un choix politique et non un choix sanitaire...
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Choix de photos, collection de textes, mise en page, références et titrage par :
JosPublic
Mise à jour le 4 août 2020 |
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Sources :
journal en ligne "La Presse" pour la
Fiducie de soutien à
La Presse. Ligne éditoriale fédéraliste dans le contexte canadien et de droite sur le plan politique
;
Journal de Montréal et de Québec de QMI/Québecor Médias de Québecor Inc. pour
Pierre Karl Péladeau.
Ligne éditoriale nationaliste dans le contexte québécois et de
droite près des libertariens sur le plan politique. |
Ci-dessous: des textes en lien direct avec le sujet:
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