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Jacques Lamarre pr�sident de SNC/Lavalin au fil du
temps  |  
  
	
		
		
			
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				L�ex-vice-pr�sident de SNC-Lavalin 
 
Sami Bebawi 
				, reconnu 
				coupable d�avoir vers� des pots-de-vin en Libye, n�aurait pu 
				commettre sa fraude si d�autres dirigeants de l�entreprise 
				avaient �t� plus vigilants, r�v�lent des documents in�dits 
				d�pos�s lors du proc�s qui s�est conclu dimanche le 15 d�cembre 
				2019, � Montr�al.  
Riad Ben A�ssa et Sami 
				Bebawi sont � ce jour les deux seuls cadres de la firme 
				d�ing�nierie et de construction ayant �t� reconnus coupables de 
				corruption en lien avec les affaires de l�entreprise en 
				Libye. Les 
				deux ont affirm� que Jacques Lamarre,
				
				Michael Novak et
				
				Gilles Laram�e �tait partie prenante de la d�cision. Ce fait 
				questionne l'intelligence du syst�me de justice canadien.  - 18 d�cembre 2019. 
				  
				Pour plus 
				de d�tails ICI  |    |   
	
		
			
			
				
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					18 d�cembre 2019 
					Jacques Lamarre, pr�sident-fant�me  | 
				 
				
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					Yves Boisvert, chroniqueur 
					La Presse   | 
				 
			 
			
			Il 
			�tait le pr�sident de SNC-Lavalin, mais il n�a rien vu. Sa firme 
			faisait des affaires avec un despote, mais jamais il ne se serait 
			dout� que pour obtenir des contrats de 1 milliard en Libye, il y 
			avait un prix � payer. Des cadeaux � donner. 
			
			Q-uoi ? 
			
			Non, 
			vraiment, Jacques Lamarre �tait un innocent dans un monde corrompu. 
			
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7 novembre 2019 
Les tentacules de SNC/Lavalin jusque dans les officines du Canada � l�ONU pour favoriser la Libye  |  
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Apr�s avoir obtenu de gros contrats publics libyens, au d�but des ann�es 2000, SNC-Lavalin a fait pression sur le gouvernement du Canada afin qu�il appuie 
la Libye lors de votes aux Nations unies, malgr� des inqui�tudes quant au respect des droits de la personne.  |   
		La Couronne a d�pos� en 
		preuve hier plusieurs courriels envoy�s par Bob Blackburn, 
		responsable des relations gouvernementales pour SNC-Lavalin, � d�autres 
		cadres de l�entreprise. 
		
		En 2003, par exemple, 
		M. Blackburn sugg�rait de faire valoir aux dirigeants libyens comment 
		SNC-Lavalin avait aid� � faire changer la position canadienne lors d�une 
		r�cente session de l�ONU.   
		
		La Libye pr�sentait tous 
		les deux ans une r�solution pour demander � tous les pays de condamner 
		les pressions �conomiques et les mesures � extraterritoriales �. 
		 Le Canada s�absentait toujours lors du vote, mais il avait r�cemment 
		chang� sa position pour appuyer la Libye. 
		
		� SNC-Lavalin 
		international a aid� pour cela, avec le minist�re des Affaires 
		�trang�res � Ottawa et � l�ONU �, �crivait M. Blackburn. 
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				29 novembre 2019 
L�ex-patron de SNC-Lavalin aurait �t� au courant de l�achat d�un yacht � un fils du dictateur Mouammar Kadhafi  |  
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L�accus� 
Sami Bebawi au palais de justice de Montr�al le 14 novembre 2019  |  
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 Non seulement l�ex-patron de SNC-Lavalin Jacques Lamarre �tait au courant de l�achat d�un 
yacht pour le fils d�un dictateur en Libye, il aurait m�me �t� question de lui en offrir un deuxi�me plus gros, selon un ex-cadre de l�entreprise.  |  
 Un enqu�teur de la Gendarmerie royale du Canada (
GRC
),
		Alexandre Beaulieu, a livr� vendredi matin le 29 novembre 2019 le 
		contenu d�une conversation qu�il aurait eue en avril 2019 avec Sami 
		Bebawi, un ex-cadre de SNC accus� de fraude et de corruption.  
		
		Bebawi subit actuellement 
		son proc�s au palais de justice de Montr�al. Il se serait confi� au 
		policier lors d�une pause, en marge de proc�dures pr�liminaires, a 
		relat� l�agent au proc�s.  
		
		� Ce qui �tait le plus 
		frustrant pour lui, c��tait que Jacques Lamarre, dans les nouvelles, 
		niait tout ce qui s��tait pass� par rapport au bateau �, a indiqu� 
		l�enqu�teur Alexandre Beaulieu.  
		
		Plusieurs t�moins sont 
		d�j� venus raconter que SNC-Lavalin aurait offert au d�but des ann�es 
		2000 un yacht de 25 millions $ US �
					
					Saadi Kadhafi, le fils du dictateur libyen
Mouammar Kadhafi.  SNC-Lavalin aurait pay� ce bateau en effectuant des 
		paiements dans une soci�t�-�cran des �les Vierges britanniques, un 
		paradis fiscal, dans laquelle Bebawi et 
Riadh Ben A�ssa, 
		un autre ex-cadre de SNC, avaient des int�r�ts, selon ce qu�ont rapport� 
		des t�moins.  
		
		Kadhafi aurait choisi son 
		yacht lors d�un �v�nement nautique � Cannes, sur la C�te d�Azur, apr�s 
		que SNC-Lavalin eut re�u de lucratifs contrats en Libye.   � 
		Criss, il [Jacques Lamarre] le savait, il l�a approuv� 
		[l�achat du yacht]. Riadh Ben A�ssa m�a donn� �a [le projet 
		d�acheter un yacht] et je ne voulais pas approuver �, aurait 
		d�clar� Bebawi au policier.  
		
		Bebawi aurait aussi dit au 
		policier qu�il avait r�f�r� Ben A�ssa � Lamarre pour prendre une 
		d�cision au sujet du yacht.  Il �tait m�me question d�acheter un 
		deuxi�me bateau � parce que le premier n��tait pas assez gros �, 
		aurait d�clar� Bebawi au policier sur un ton sarcastique.  
		
		L�ancien cadre accus� de 
		corruption se serait dit  
		�  triste par rapport � ce qui arrivait � la compagnie et � ses 
		employ�s � et aurait dit constater que ses anciens coll�gues avaient 
		vieilli, selon le policier Beaulieu.  Il aurait d�clar� � l�agent qu�� 
		une de ses plus grosses erreurs � dans sa vie avait �t� d�aller 
		travailler chez SNC-Lavalin.  Le t�moignage du policier Beaulieu cl�t la 
		preuve de la Couronne. La d�fense doit annoncer la semaine prochaine si 
		elle compte faire entendre des t�moins. 
		
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					6 novembre 2019 
					Jacques Lamarre 
					aurait approuv� des pots-de-vin  | 
				 
				
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					L�ancien grand patron 
					de SNC-Lavalin Jacques Lamarre aurait personnellement 
					approuv� le paiement de commissions hors normes � 
					d�ex-cadres en Libye, a relat� un t�moin au tribunal.   | 
				 
			 
			
			�Si tu es capable 
			d�aller chercher la r�clamation, [...] c�est un miracle et tu auras 
			tout ce que tu veux�, aurait d�clar� Jacques Lamarre �
			
			Riadh Ben A�ssa, ex-cadre de l�entreprise, au d�but des ann�es 
			2000, au sujet d�une somme d�environ 
			100 millions $ que SNC cherchait � se faire payer en extra pour un 
			projet qui avait mal tourn� en
			
			Libye.  
			
			Ben A�ssa �tait 
			contre-interrog� le 6 novembre 2019 au palais de justice de Montr�al 
			au proc�s de
			
			Sami Bebawi, 73 ans, un ancien vice-pr�sident de SNC-Lavalin, 
			accus� de huit chefs, dont fraude et corruption.  
			
			Selon le t�moin, 
			Jacques Lamarre �tait pr�t � offrir � Ben A�ssa et � Bebawi 
			autant que 50 % de toute somme remise par une soci�t� d��tat 
			libyenne � SNC en lien avec cette r�clamation.  Ben A�ssa a aussi 
			affirm� que Bebawi lui aurait confi� avoir eu le feu vert de Jacques 
			Lamarre pour mettre en place un syst�me de bonus qui consistait, 
			pour lui et Bebawi, � s�octroyer une commission sur chaque contrat 
			remport� en Libye.  
			
			Il a expliqu� que ces 
			commissions secr�tes, qui ne figuraient pas dans leur r�mun�ration 
			officielle, �taient vers�es dans une soci�t�-�cran en Suisse. Le 
			t�moin a soulign� que l�ex-patron de SNC-Lavalin �tait tr�s impliqu� 
			dans la gestion des projets de SNC et que rien n�arrivait sans son 
			approbation. 
			
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								18 mars 
								2019 
								SNC-Lavalin: Jacques Lamarre 
								�clabouss� par un ex-cadre  | 
							 
							
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								On 
								l'a peu entendu depuis l'�clatement de l'affaire 
								SNC-Lavalin. Jacques Lamarre, l'ex-PDG de la 
								firme, est maintenant montr� du doigt 
								par un ancien subalterne, selon qui il aurait 
								organis� personnellement l'achat d'un yacht 
								offert en pot-de-vin.  | 
							 
						 
					 
					
					
					Jacques Lamarre a pour politique personnelle de ne plus 
					parler publiquement de SNC-Lavalin, la firme qu'il a dirig�e 
					pendant 13 ans jusqu'� sa retraite en 2009.  Mais cette 
					fois, il est en col�re. Le Saguen�en d'origine a envie d'en 
					d�coudre. De d�fendre son nom. Il vient d'apprendre qu'un de 
					ses anciens cadres a t�moign� sous serment au palais de 
					justice de Montr�al et l'a impliqu� personnellement dans 
					l'achat d'un bateau de 39 millions de dollars offert comme 
					pot-de-vin �
					
					Saadi Kadhafi, fils de l'ancien dictateur libyen
Mouammar Kadhafi. 
					
					Ces nouvelles 
					all�gations ont une port�e particuli�re dans le contexte 
					actuel. Jacques Lamarre n'a jamais �t� accus� criminellement 
					de quoi que ce soit en lien avec les m�saventures 
					de SNC-Lavalin. Mais l'entreprise elle-m�me est accus�e 
					d'avoir vers� 48 millions en pots-de-vin � Saadi Kadhafi. 
					
					L'homme par 
					qui arrivent les nouvelles all�gations est
					
					Riadh Ben A�ssa, ancien responsable des activit�s de 
					SNC-Lavalin en Afrique du Nord. 
					
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1er novembre 2019 
En tant que t�moin Riadh Ben A�ssa implique Jacques Lamarre et Sammy Bebawi   | 
 
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Riadh Ben A�ssa a expliqu� le 
marasme dans lequel se trouvait SNC-Lavalin � la fin des ann�es 90 en Libye. Il 
n�y avait presque aucun espoir de se faire payer les 100 millions d�extras, les 
relations avec le pays �taient ex�crables, le projet mena�ait de tomber � l�eau. 
 
Jacques Lamarre, 
Pr�sident-directeur g�n�ral de SNC-Lavalin � l��poque, voulait absolument que 
l�entreprise se fasse payer sa r�clamation de 100 millions en Libye, selon Riadh 
Ben Aissa.  � Il n�y avait aucune limite � ce que je pouvais faire. 
Payer des personnes, des agents, tout faire �, a-t-il relat�.  � Ces 
mots vous sont dits par qui ? �, a demand� a Couronne au t�moin. � Ils me 
sont dits par 
Jacques Lamarre et 
Sami Bebawi �, a-t-il r�pondu. 
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14 f�vrier 2019 Proc�s: des milliers de courriels pourraient �tre d�voil�s
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� l'approche de leur proc�s pour corruption, deux anciens cadres de SNC-Lavalin ont obtenu des milliers de courriels issus des comptes professionnels de leurs 
anciens coll�gues. Et ils se promettent bien de les utiliser pour leur d�fense, dans une grande s�ance de lavage de linge sale visant � d�montrer que ce 
sont les moeurs g�n�rales de l'entreprise qui �taient probl�matiques, plut�t que leur comportement � eux.  |    
Sami Bebawi, ancien vice-pr�sident directeur de SNC-Lavalin, et St�phane Roy, 
ancien vice-pr�sident contr�leur de la firme, sont accus�s de fraude et de contravention � la Loi sur la corruption d'agents publics �trangers, pour avoir 
particip� au versement de pots-de-vin sous le r�gime de l'ancien dictateur libyen
Mouammar Kadhafi. 
Bebawi est aussi accus� de recyclage des produits de la criminalit� et de possession de biens criminellement obtenus, alors que de son c�t�, Roy fait face � une accusation 
suppl�mentaire pour avoir viol� les sanctions des
Nations unies visant la Libye. 
Leurs deux proc�s sont pr�vus pour les prochains mois.  Les accusations port�es contre eux en 2014 d�coulent du projet Assistance, soit l'enqu�te de la
GRC qui a men� au d�p�t d'accusations contre SNC-Lavalin en tant qu'entreprise.  
La possibilit� de conclure une entente � l'amiable avec l'entreprise pour �viter un proc�s criminel dans le cadre d'un programme de r�paration a fait couler 
beaucoup d'encre; Mais pour les deux cadres accus�s personnellement, il n'y a pas d'accord de r�paration possible. Pas d'entente � l'amiable en vue.
 
Plusieurs anciens hauts dirigeants qui �taient en poste au moment des aventures libyennes de SNC-Lavalin n'ont jamais �t� accus�s.  Mais Sami Bebawi 
veut parler d'eux.  Car selon ce qui a d�j� �t� d�voil� dans le cadre d'une requ�te pr�liminaire, il impute les infractions d�couvertes par la police � 
� un �tat de fait pr�existant impliquant notamment l'ancien PDG du Groupe SNC-Lavalin, M. Jacques Lamarre �. 
Pour pr�parer sa d�fense, il a demand� une copie de tous les courriels concernant la Libye qui ont �t� envoy�s ou re�us � travers les serveurs de l'entreprise 
entre 2001 et 2011 par une s�rie de dirigeants. 
Bebawi dit avoir besoin des courriels de Jacques Lamarre � ce sujet, mais aussi de ceux des anciens hauts dirigeants Paul Beaudry, Gilles Laram�e et
Michael Novak. La cour a acc�d� � sa demande r�cemment.  Son proc�s doit s'ouvrir le 8 avril 2019
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Plus de trois ans apr�s le d�p�t des accusations, le proc�s pour fraude chez SNC-Lavalin s'est amorc� le 29 octobre 2018 par l��tape de 
l�enqu�te pr�liminaire.  |  
  
L�une des plus grandes firmes d'ing�nierie au monde, SNC-Lavalin a �t� fond�e en 1911.  Elle compte plus de 50 000 employ�s et est active dans plusieurs 
secteurs tels le p�trole et le gaz, les infrastructures, l'�nergie et les mines. 
Avec cette bataille judiciaire qui s'annonce longue, la compagnie joue peut-�tre son avenir.  SNC-Lavalin est accus�e d'avoir vers� pr�s de 48 millions de dollars � 
des titulaires de charges publiques en
Libye afin d�influencer des d�cisions gouvernementales entre 2001 et 2011. 
Les faits all�gu�s seraient survenus � l'�poque du guide de la R�volution lybienne, Mouammar Kadhafi, chef d'�tat de la R�publique arabe libyenne, puis de 
la
Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste. La multinationale de l'ing�nierie dit n'avoir rien � se reprocher et 
elle compte prouver son innocence devant les tribunaux. 
Une douzaine de t�moins seront entendus au cours de l'enqu�te pr�liminaire, qui doit durer trois semaines.  Un ancien haut dirigeant,
Riadh Ben Aissa, a �t� parmi les premiers entendus le 29 octobre 2018 � la barre des t�moins.  La preuve pr�sent�e demeure toutefois frapp�e d'une ordonnance de non-publication. 
Au terme de cette enqu�te pr�liminaire, le juge 
Claude Leblond devra d�cider si la preuve est suffisante pour que SNC-Lavalin subisse son proc�s.  Devant le tribunal, il n'y a donc pas que la r�putation de l'entreprise qui soit 
en jeu.  Une condamnation criminelle pourrait �carter SNC des appels d'offres f�d�raux pendant 10 ans. 
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27 mai 2016 
107 ing�nieurs "Bougons" du syst�me �lectoral qu�b�cois chez SNC/Lavalin  |  
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Cent sept ing�nieurs de la firme SNC-Lavalin ont accept� de payer des amendes de plus de 1 000 $ � leur ordre 	professionnel pour avoir servi de pr�te-noms dans le cadre de dons 
politiques pendant plus d�une d�cennie.   |  
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8 septembre 2016 
SNC-Lavalin a vers� 118 000 $ en contributions ill�gales au PLC et au PCC  |  
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 Jacques Lamarre et 
Pierre Duhaime: belle connivence de la part des fraudeurs all�gu�s par la Commission Charbonneau et 
l'UPAC   |  
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L�entreprise de g�nie SNC-Lavalin a vers� pr�s de 118 000 $ en contributions politiques 
ill�gales sur une p�riode de sept ans, selon une enqu�te conclue le 8 septembre 2016 par le commissaire aux �lections f�d�rales. 
Elle s�en tire toutefois � bon compte � sans p�nalit�s � alors que le commissaire a sp�cifi� 
avoir conclu une entente de transaction avec la firme d�ing�nierie montr�alaise, qui est loin d�en �tre � ses premi�res infractions �thiques. 
Les contributions ont �t� vers�es surtout aux lib�raux et, dans une moindre mesure, aux 
conservateurs entre le 9 mars 2004 et le 1er mai 2011. 
Contribution ill�gale aux partis politiques: le pr�sident de l'�poque Jacques Lamarre ( 1996 � 2009) en aurait 
fait une politique d'entreprise selon des t�moins ayant sign� des d�clarations sous serment incriminant le chef de l'entreprise.  OMERTA: de fa�on surprenante aucun 
m�dia ne nomme son nom!!!  |  
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11 novembre 2014 
Jacques Lamarre aurait encourag� ses employ�s.es � financer ill�galement le Parti lib�ral
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Le m�c�ne SNC Lavalin pour le Parti Lib�ral du Qu�bec aurait fait contribu� ses employ�s.es pour des montants variant de 90 000 $ � 150 000 $ par 
ann�e.   Selon de nouveaux documents judiciaires M. Lamarre aurait confi� � Normand Morin et � Pierre Anctil, qui se sont succ�d� au poste de 
vice-pr�sident, entre 1996 et 2008, la t�che de financer le PLQ. � Tous deux se sont fait indiquer par Jacques Lamarre, p.-d.g. de SNC-Lavalin, que leur 
poste de vice-pr�sident venait avec cette responsabilit� �, affirment les documents.   
Selon 
les d�clarations faites par les deux hommes � l�Unit� permanente anticorruption (UPAC),� SNC-Lavalin faisait du financement pour ne pas �tre la seule firme d�ing�nierie au Qu�bec � ne pas participer �
.   Ces informations in�dites proviennent d�une d�claration asserment�e d�un policier qui a �t� produite � la cour pour obtenir un mandat de perquisition � la permanence du Parti 
lib�ral du Qu�bec, rue Waverly � Montr�al. Les documents font �tat des soup�ons, non prouv�s en cour, des enqu�teurs. 
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10 novembre 2014 L'ex-PDG de SNC Jacques Lamarre savait que ses VP faisaient du financement politique  | 
  
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 Le financement politique chez SNC-Lavalin �tait la responsabilit� de vice-pr�sidents et c'est le PDG 
Jacques Lamarre en personne qui en avait inform� tour � tour Normand Morin et son successeur Pierre Anctil.  |   
C'est une des informations 
contenues dans un document judiciaire en partie d�caviard� par un juge de la Cour sup�rieure � la demande d'un consortium de m�dias dont fait partie 
Radio-Canada. 
Normand Morin, qui a occup� le poste de vice-pr�sident de 1996 � 2004, ann�e de sa retraite, explique que pour le financement du
PLQ, il faisait toujours affaire avec
Marc A. Bibeau, l'ex-grand argentier du parti et ami personnel de l'ancien premier ministre
Jean Charest. 
Normand Morin a confi� � l
'UPAC, qui m�ne une enqu�te depuis 2012 sur le financement occulte au PLQ, qu'il remettait � Marc A. Bibeau, en mains propres, une s�rie de ch�ques 
recueillis aupr�s des employ�s de la firme de g�nie qui servaient de pr�te-noms et se faisaient ensuite rembourser leurs dons politiques par 
l'employeur. 
La remise d'argent avait lieu une fois par ann�e, soit � l'h�tel Hilton de Dorval ou � la permanence du PLQ, rue Waverly, � Montr�al. 
Marc A. Bibeau demandait un montant d'environ 90 000 $ par ann�e, pr�cise Normand Morin, et ce montant 
augmentait tous les deux ans. 
Marc Bibeau ne manquait jamais de lui rappeler qu'il �tait � pr�s du pouvoir �, peut-on lire dans le document. 
Normand Morin ajoute que lorsque la remise d'argent se faisait dans le bureau de Marc A. Bibeau dans 
les locaux du PLQ,
Jo�l Gauthier, alors directeur g�n�ral du parti, s'y trouvait. 
Lorsque
Pierre Anctil a �t� nomm� pour succ�der � M. Morin, il dit avoir laiss� � Normand Morin la responsabilit� du financement politique de SNC-Lavalin.
 
� cette �poque (de 2005 � 2008), les objectifs de financement �tablis par Marc A Bibeau s'�levaient alors � 150 000 $ par ann�e. 
Pierre Anctil avait fait la connaissance de Marc A. Bibeau � l'occasion d'un d�jeuner lors duquel 
Normand Morin lui avait pr�sent� M. Bibeau comme le responsable du financement du Parti lib�ral du Qu�bec. 
Ces nouvelles informations font partie d'un document r�dig� par l'UPAC, qui a obtenu un mandat en juin 
2014 pour effectuer une nouvelle perquisition � la permanence du PLQ. 
Une soixantaine de t�moins cr�dibles ont �t� interrog�s par les enqu�teurs, lit-on dans le document, 
pour expliquer le fonctionnement du financement du PLQ, ses enjeux et son influence sur l'octroi de subventions.  |  
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 26 novembre 2012 
Jacques Lamarre, ex-PDG de SNC-Lavalin, interrog� par la Suisse  |  
 
L'enqu�te men�e par la Suisse au sujet de 139 millions de dollars en paiements douteux effectu�s par SNC-Lavalin, dont une partie aurait abouti dans les coffres 
de proches du
r�gime Kadhafi, s'int�resse aux plus hautes sph�res du pouvoir de cette firme d'ing�nierie. 
S�il n�a pas �t� encore possible de d�terminer quand Jacques Lamarre s�est rendu en Suisse pour �tre interrog� par les enqu�teurs, on sait que l'ex-vice-pr�sident 
de la division construction de la firme, Sami B�bawi
( 06 ) a �t� entendu les 19, 20 et 22 novembre 2012 � Berne. On sait que Lamarre et B�bawi avaient le statut de t�moins assist�s (accompagn�s d'un avocat et 
droit de ne pas r�pondre aux questions) de plus ils avaient la garantie par les procureurs suisses de pouvoir ensuite rentrer au Canada. 
 Selon le fr�re de Rhiad: � Ils ont sign� des t�moignages contre mon fr�re. Ils sont venus � Berne voir Monsieur Lauber et ont re�u de sa part la garantie 
qu�ils ne seront jamais inqui�t�s alors que ce sont les cerveaux de l�affaire �, s�irrite Rafik Ben A�ssa. 
  Jacques Lamarre a dirig� la firme de 1996 � 2009 et c'est sous son r�gne que Riadh Ben A�ssa a �t� promu au sein du bureau du pr�sident, la plus haute 
instance de direction de SNC-Lavalin.  |  
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29 novembre 2012 Jacques Lamarre ni la corruption chez Lavalin  |  
  
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 Jacques Lamarre et Pierre Duhaime  |  
  
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Jacques Lamarre - qui a travaill� durant 42 ans chez SNC-Lavalin dont 13 � titre de PDG - a �t� boulevers� d'apprendre l'arrestation de Pierre Duhaime, 
celui qui lui a succ�d� � la t�te du groupe en 2009. 
�C'est d'une tristesse incroyable. Pierre Duhaime a �t� arr�t�, mais il y aura un proc�s et j'esp�re encore 
qu'il sera blanchi de ces accusations. Mais chez SNC-Lavalin, c'a toujours �t� tr�s clair, il fallait que toutes nos actions soient l�gales, c'�tait sans appel�, 
dit-il. 
S'il y a eu malversation, c'est le fait de quelques individus, est convaincu Jacques Lamarre, qui rappelle que c'est la direction de SNC-Lavalin qui a 
demand� � la police d'enqu�ter sur ce qu'elle consid�rait des paiements douteux, en f�vrier dernier.  |  
 
12 avril 2012 
Jean Lamarre pourfend le conseil d'administration de SNC/Lavalin  |  
  
�Les administrateurs de SNC-Lavalin sont tr�s bien pay�s et ils ne font pas leur �job�. Ils doivent r�aliser qu�avec la paie 
viennent des responsabilit�s. Il faut �tre pr�sent. Mais il faut croire que les administrateurs de SCN-Lavalin n�ont pas le temps de s�occuper de ce qui se passe dans l�entreprise. 
Il semble qu�ils soient trop occup�s, qu�ils ont eux-m�mes des entreprises � g�rer.�
  
M. Jean Lamarre, un conseiller et administrateur de soci�t�s qui est le fils de
Bernard Lamarre, ex-pdg de Lavalin, et neveu de l'ex-pdg de SNC-Lavalin Jacques Lamarre, s'est vid� le coeur lors d�un petit d�jeuner de l�Institut des administrateurs de 
soci�t�s   |  
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Jacques Lamarre, Ing�nieur n� en 1944� Jonqui�re.  Pr�sident du Groupe SNC-Lavalin (1996-2009). Fr�re de Bernard Lamarre.  Distinctions - Officier de l'Ordre du Canada-OOC (2005). 
Membre de l'Acad�mie des Grands Montr�alais (2007)  |   
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 Un syst�me de collusion transmis de PDG en PDG
 Une culture du d�veloppement des affaires chez SNC-Lavalin  | 
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Normand Morin, qui a occup� le poste de vice-pr�sident de 1996 � 2004, ann�e de sa retraite, explique que pour le financement du PLQ, il faisait toujours affaire avec 
Marc Bibeau, l'ex-grand argentier du Parti Lib�ral du Qu�bec, pr�sident de Schokbeton, membre du conseil d'administration de Power corporation et ami 
personnel de l'ancien premier ministre Jean Charest.
  Normand Morin a confi� � l'UPAC, qui m�ne une enqu�te depuis 2012 sur le financement occulte au PLQ, qu'il remettait � Marc Bibeau, en mains propres, une s�rie de ch�ques 
recueillis aupr�s des employ�s de la firme de g�nie qui servaient de pr�te-noms et se faisaient ensuite rembourser leurs dons politiques par l'employeur. 
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La remise d'argent avait lieu une fois par ann�e, soit � l'h�tel Hilton de Dorval ou � la permanence du PLQ, rue Waverly, 
� Montr�al. Marc Bibeau demandait un montant d'environ 90 000 $ par ann�e, pr�cise Normand Morin, et ce montant augmentait tous les deux ans.
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Marc Bibeau ne manquait jamais de lui rappeler qu'il �tait � pr�s du 
pouvoir �, peut-on lire dans le document. 
  Normand Morin ajoute que lorsque la remise d'argent se faisait dans le bureau de Marc Bibeau dans les locaux du PLQ, Jo�l Gauthier, alors directeur g�n�ral du parti, s'y trouvait.  
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Jo�l Gauthier 
( 03 ) un innocent, coupable de plaider son innocence  |  
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Lorsque Pierre Anctil a �t� nomm� pour succ�der � M. Morin, il dit avoir laiss� � Normand Morin la responsabilit� du financement 
politique de SNC-Lavalin.   � cette �poque (de 2005 � 2008), les objectifs de financement �tablis par Marc Bibeau s'�levaient alors � 150 000 $ par ann�e.   Pierre Anctil 
avait fait la connaissance de Marc Bibeau � l'occasion d'un d�jeuner lors duquel Normand Morin lui avait pr�sent� M. Bibeau comme le responsable du financement du Parti lib�ral 
du Qu�bec.   Ces nouvelles informations font partie d'un document r�dig� par l'UPAC, qui a obtenu un mandat en juin 2014 pour effectuer une 
nouvelle perquisition � la permanence du PLQ.  |   
Une soixantaine de t�moins cr�dibles ont �t� interrog�s par les enqu�teurs, lit-on dans le document, pour expliquer le 
fonctionnement du financement du PLQ, ses enjeux et son influence sur l'octroi de subventions.  
Ces informations n'�taient pas encore �t� soumises � la Cour, le 10 novembre 2014.  
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M. Lamarre aurait confi� � Normand Morin et � Pierre Anctil, qui se sont succ�d� au poste de vice-pr�sident, entre 1996 
et 2008, la t�che de financer le PLQ. � Tous deux se sont fait indiquer par Jacques Lamarre, p.-d.g. de SNC-Lavalin, que leur poste de vice-pr�sident venait avec cette 
responsabilit� �, affirment les documents judiciaires.  | 
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Selon les d�clarations faites par les deux hommes � l�Unit� permanente anticorruption (UPAC), � SNC-Lavalin faisait du financement 
pour ne pas �tre la seule firme d�ing�nierie au Qu�bec � ne pas participer �. 
Encore Bibeau 
Les policiers soup�onnent que des infractions de fraude envers le gouvernement, d�entrepreneur qui souscrit � une caisse 
�lectorale et d�abus de confiance auraient �t� commises. Le 14 novembre 2014 aucune accusation n�a �t� port�e dans cette 
enqu�te.  
� l�instar de la firme de g�nie-conseil Roche
( 05 ), aussi vis�e par l�UPAC, SNC-Lavalin aurait contourn� la loi �lectorale interdisant les dons des entreprises, pour financer le PLQ. � Les 
employ�s, surtout les cadres, fournissaient des contributions politiques via des ch�ques personnels et [ils] 
�taient ensuite rembours�s pour le double du montant par des bonis, afin de compenser l�imposition �, all�guent les documents.     
Lors de son t�moignage � la commission Charbonneau, la responsable du financement lib�ral, Violette Tr�panier, avait d�clar� que 
le compte 127 n��tait rien de plus qu�une ligne comptable dans les �tats financiers, tout � fait en r�gle, du parti.   
Violette 
Tr�panier, tout comme Marc Bibeau, a ni� par le pass� avoir collect� des dons aupr�s d�entreprises. 
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Dons politiques faits par des employ�s de SNC-Lavalin aux partis politiques (PQ, PLQ)   |  
  
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Devant la commission Charbonneau, en 2003, l'ex-vice-pr�sident principal de SNC-Lavalin, Ives Cadotte, avait avou� que sa 
firme avait fourni pr�s de 1 million de dollars en financement ill�gal au Parti lib�ral du Qu�bec et au Parti qu�b�cois, de 1998 � 2010.
  Marc Bibeau et 
Jean Charest ont toujours refus� d'accorder des entrevues au sujet du financement ill�gal all�gu� dont aurait b�n�fici� le PLQ.  
R�f�rences additionnelles 
- Sur Le Devoir  | 
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La Suisse enqu�te sur les dirigeants de SNC/Lavalin  | 
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L'enqu�te men�e par la Suisse au sujet de 139 millions de dollars en paiements douteux
( 07 ) effectu�s par SNC-Lavalin, dont une partie aurait abouti dans les coffres de proches du r�gime Kadhafi, s'int�resse aux plus hautes sph�res du 
pouvoir de cette firme d'ing�nierie.  L'ex-vice-pr�sident de la division construction de la firme, Sami B�bawi, s'est rendu en Suisse pour �tre interrog�, les 19, 20 et 22 novembre 2012 � Berne.  | 
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L'ancien pr�sident de la firme, Jacques Lamarre, a d� lui aussi se rendre en Suisse au cours des derniers mois pour �tre questionn� sur les mouvements de fonds suspects qui ont transit� dans 
les banques suisses. 
Jacques Lamarre a dirig� la firme de 1996 � 2009 et c'est sous son r�gne que Riadh Ben A�ssa 
( 08 ) a �t� promu au sein du bureau du pr�sident, la plus haute instance de direction de SNC-Lavalin. 
Diverses sources au Canada et en Suisse, contact�es par la Radio T�l�vision Suisse (RTS), CBC et Radio-Canada, ont confirm� �galement que deux autres 
membres du bureau du pr�sident ont �t� interrog�s par les procureurs suisses responsables de l'enqu�te lors de la perquisition au si�ge social de la firme 
le 13 avril dernier. Il s'agit de Michael Novak, vice-pr�sident et directeur des Affaires internationales de SNC-Lavalin, et de Klaus Triendl, qui occupait le m�me poste en 2003. 
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La haute direction vis�e  |  
  
En tout, cela fait donc quatre personnes du bureau du pr�sident qui ont �t� interrog�es dans cette affaire. 
Des sourcesproches de l'enqu�te s'attendaient � ce que Pierre Duhaime 
( 09 ) ex-PDG dusse t�moigner. Pour des raisons inexpliqu�es et obscures, la justice suisse n'a pas jug� bon de l'interroger. Duhaime �tait pourtant le 
patron imm�diat de Riadh Ben A�ssa.  | 
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Jacques Lamarre et Pierre Duhaime  |  
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Duhaime fut arr�t� par l'Unit� permanente anticorruption (UPAC) pour des accusations de fraude li�es au contrat de construction de 1,3 milliard de 
dollars du Centre universitaire de sant� McGill r�alis� par SNC-Lavalin.   
Ces interrogatoires en plus haut lieu ne surprennent pas l'expert en fraude financi�re
Messaoud Abda . � C'est une compagnie qui a une structure, qui a un pr�sident, qui a un conseil d'administration, un v.-p. finances, qui a 
un tr�sorier. Il est clair que M. Ben A�ssa ne peut pas avoir mis la main dans le compte de banque �, dit-il.
  La Suisse comme plaque tournante 
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Les Suisses ont mis au jour un syst�me de transfert d'argent mis sur pied par l'avocat genevois Roland Kaufmann
� la demande de l'ex-vice-pr�sident de la division construction de SNC-Lavalin, Riadh Ben A�ssa, qui fut emprisonn� en Suisse du 10 avril 2012 � novembre 2014.
  Le minist�re public de la Conf�d�ration (MPC) a formellement pr�venu MM. Kaufmann et Ben A�ssa sous des chefs de corruption et de blanchiment d'argent en 
rapport avec ce stratag�me.  | 
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 Roland Kaufmann  Photo : Site du bureau d'avocats Froriep Renggli   | 
 
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D�s 2001, Me Kaufmann a en effet cr�� deux soci�t�s aux �les Vierges britanniques, Duvel Securities Inc. et 
ensuite Dinova Ltd, � la demande de M. Ben A�ssa, et ouvert des comptes en Suisse au nom de ces deux soci�t�s � la banque EFG � Gen�ve par lesquels ont 
transit� des paiements de plusieurs millions de dollars en provenance de SNC-Lavalin International inc.  
 Selon les sources de RTS (Radio-T�l�vision-Suisse), l'analyse financi�re de ces transactions par les enqu�teurs r�v�le que des paiements ont �t� ensuite 
�t� effectu�s dans des comptes contr�l�s par des proches de la famille Kadhafi et que certaines sommes auraient m�me abouti dans des comptes d�tenus par M. Ben A�ssa et son �pouse � la banque suisse 
UBS. 
La charg�e de propagande de SNC-Lavalin, Leslie Quinton, a reconnu que SNC-Lavalin avait retenu les services de Duvel et Dinova comme agent commercial 
pour obtenir des contrats en Libye de 2001 � 2011, mais qu'elle n'avait pas identifi� de paiements douteux faits � ces deux soci�t�s dans le cadre de sa v�rification interne. 
Une source proche de l'enqu�te en Suisse, � qui Radio-Canada a parl�, affirme que � de s�rieuses 
questions se posent aux dirigeants de SNC-Lavalin dans cette affaire : comment des millions de paiements ont pu �tre faits � ces soci�t�s sans se soucier � qui va cet argent? � quoi sert cet argent 
et pourquoi vous payez? �. 
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SNC-Lavalin: Jacques Lamarre �clabouss� par un ex-cadre 
 Fiducie de soutien � 
La Presse, 
le 18 mars 2019  | 
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						Un yacht de 39 millions 
						de dollars aurait �t� offert par SNC-Lavalin � Saadi 
						Kadhafi, fils de l'ancien dictateur libyen 
						Mouammar Kadhafi, en guise de pot-de-vin.  | 
					 
				 
			 
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On l'a peu entendu depuis 
l'�clatement de l'affaire SNC-Lavalin. Jacques Lamarre, l'ex-PDG de la firme, 
est maintenant montr� du doigt par un ancien subalterne, selon qui il aurait 
organis� personnellement l'achat d'un yacht offert en pot-de-vin.  Mais il 
est pr�t � se d�fendre.  Et il invite son ancienne entreprise � hausser le 
ton, comme lui. 
Ces nouvelles all�gations ont une 
port�e particuli�re dans le contexte actuel.  Jacques Lamarre n'a jamais 
�t� accus� criminellement de quoi que ce soit en lien avec les m�saventures 
de SNC-Lavalin. 
Mais l'entreprise elle-m�me est 
accus�e d'avoir vers� 48 millions en pots-de-vin � Saadi Kadhafi.  Elle 
aimerait obtenir un accord � l'amiable pour �viter un proc�s criminel.  Or, 
la loi pr�voit qu'avant de conclure un tel accord avec une entreprise, les 
procureurs de la Couronne doivent v�rifier si celle-ci a identifi� tous les 
individus qui ont particip� aux gestes r�pr�hensibles et si elle a pris des 
mesures disciplinaires � leur endroit. 
	
		
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			� C'est tellement 
			terrible dire des choses de m�me. C'est pas croyable �, laisse 
			tomber la voix de Jacques Lamarre au bout du fil du journaliste.  
			(Note de 
			JosPublic: 
			il avait dit la m�me chose lorsque son PDG
			
			Pierre Duhaime avait �t� accus�:
� C'est d'une tristesse incroyable. Pierre Duhaime a �t� arr�t�, mais il y aura un proc�s et j'esp�re encore 
qu'il sera blanchi de ces accusations. Mais chez SNC-Lavalin, c'a toujours �t� tr�s clair, il fallait que toutes 
			nos actions soient l�gales, c'�tait sans appel �, 
dit-il.  Depuis Duhaime � plaid� coupable).  | 
		 
	 
 
Jacques Lamarre a pour politique 
personnelle de ne plus parler publiquement de SNC-Lavalin, la firme qu'il a 
dirig�e pendant 13 ans jusqu'� sa retraite en 2009.  Mais cette fois, il 
est en col�re.  Le Saguen�en d'origine a envie d'en d�coudre. De d�fendre 
son nom. Il vient d'apprendre qu'un de ses anciens cadres a t�moign� sous 
serment au palais de justice de Montr�al et l'a impliqu� personnellement dans 
l'achat d'un bateau de 39 millions de dollars offert comme pot-de-vin � Saadi 
Kadhafi, fils de l'ancien dictateur libyen Mouammar Kadhafi. 
Mais l'entreprise elle-m�me est 
accus�e d'avoir vers� 48 millions en pots-de-vin � Saadi Kadhafi. Elle aimerait 
obtenir un accord � l'amiable pour �viter un proc�s criminel. Or, la loi pr�voit 
qu'avant de conclure un tel accord avec une entreprise, les procureurs de la 
Couronne doivent v�rifier si celle-ci a identifi� tous les individus qui ont 
particip� aux gestes r�pr�hensibles et si elle a pris des mesures disciplinaires 
� leur endroit. 
SNC-Lavalin a effectivement pris 
des mesures contre plusieurs cadres.  Il y a eu des cong�diements, des 
refus de verser certaines primes.  L'entreprise poursuit au civil plusieurs 
anciens hauts dirigeants qu'elle bl�me pour les d�rapages. 
Mais elle n'a jamais annonc� de 
mesures visant Jacques Lamarre, un g�ant de Qu�bec inc., officier de l'Ordre du 
Canada, commandeur de l'Ordre de Montr�al, dont la famille est intimement li�e � 
l'histoire de la firme. 
Le t�moin de la police 
L'homme par qui arrivent les 
nouvelles all�gations est 
Riadh Ben A�ssa, ancien responsable des activit�s de 
SNC-Lavalin en Afrique du Nord. 
M. Ben A�ssa a fait de la prison 
en Suisse en lien avec le versement de pots-de-vin au r�gime Kadhafi.  Il a 
aussi �t� condamn� au Qu�bec pour la corruption au Centre universitaire de sant� 
McGill (CUSM). 
Il collabore maintenant avec la 
Gendarmerie royale du Canada (GRC). Il a t�moign� � l'enqu�te pr�liminaire de 
son ancien coll�gue St�phane Roy, un ancien vice-pr�sident qui �tait accus� de 
corruption lui aussi. 
Comme M. Roy a b�n�fici� r�cemment 
d'un arr�t des proc�dures, La Presse peut d�sormais r�v�ler le contenu du 
t�moignage de Riadh Ben A�ssa. 
Ce dernier avait d�j� d�clar� dans 
le cadre d'une poursuite civile que SNC-Lavalin �tait au courant que des 
millions avaient �t� vers�s au fils Kadhafi.  Mais dans son t�moignage au 
palais de justice de Montr�al, il est all� beaucoup plus loin.  Il a donn� 
des noms, et plusieurs nouveaux d�tails. 
Festival de plaisance � Cannes 
Riadh Ben A�ssa a expliqu� qu'un 
jour, � l'�poque de la pr�sidence de Jacques Lamarre, il avait re�u un appel de 
l'avocat de Saadi Kadhafi.  L'avocat lui demandait de se rendre � Cannes, 
en France, o� le fils du dictateur assistait � un festival de plaisance. 
SNC-Lavalin avait fait des 
milliards en Libye gr�ce � Saadi Kadhafi. Ben A�ssa savait ce qu'il avait � 
faire.  Il s'est pr�cipit� � Cannes, a-t-il racont�. 
Le t�moin affirme s'�tre rendu 
avec Saadi Kadhafi au stand du constructeur Palmer Johnson. M. Kadhafi a point� 
un bateau de 45 m�tres, le Hokulani, en vente � 25 millions d'euros (environ 
39 millions de dollars canadiens). 
� Il m'a dit : "Est-ce que �a 
te pla�t ?" J'ai dit oui. Et puis, c'�tait grosso modo �a �, a expliqu� 
M. Ben A�ssa. 
M. Ben A�ssa dit avoir ensuite 
re�u un second appel de l'avocat de Saadi Kadhafi.  � Voil�, on compte 
sur toi pour acheter le bateau �, aurait-il d�clar� sans formalit�s. 
M. Ben A�ssa dit avoir contact� 
son sup�rieur chez SNC-Lavalin,
Sami Bebawi, qui lui aurait dit que Jacques Lamarre �tait d'accord avec 
cet achat. Il affirme ensuite avoir parl� de l'affaire avec un autre cadre, 
Paul Beaudry. Il pr�tend finalement avoir rencontr� Jacques Lamarre 
� son bureau de Montr�al avec le chef des finances de SNC-Lavalin, 
Gilles Laram�e, pour planifier l'achat du yacht. (Les refusent de parler 
publiquement).  
Voici son r�cit de la rencontre :
� Jacques Lamarre expose � Gilles Laram�e le montant � payer, les 25 millions 
[d'euros], et la fa�on que ce montant devait �tre pay� pour l'acquisition du 
yacht. Et Jacques Lamarre demande � Gilles Laram�e de v�rifier si �a "fitte" 
avec les chiffres, avec la situation financi�re sur la Libye �, a relat� 
M. Ben A�ssa devant la cour. 
Les chiffres � fittaient � 
apparemment.  Le yacht aurait finalement �t� pay� � travers des soci�t�s 
coquilles contr�l�es par Riadh Ben A�ssa dans les paradis fiscaux, que 
SNC-Lavalin payait officiellement comme si elles �taient des soci�t�s de 
consultants pour des projets � l'�tranger. 
M. Ben A�ssa n'est pas le seul 
ancien cadre � vouloir renvoyer la balle dans le camp de Jacques Lamarre. 
L'ancien vice-pr�sident directeur 
Sami Bebawi, qui doit avoir son proc�s pour corruption en octobre 2019, a d�j� 
plaid� que les faits qui lui sont reproch�s d�coulent d'� un �tat de fait 
pr�existant impliquant notamment l'ancien PDG du Groupe SNC-Lavalin, 
M. Jacques Lamarre �. 
� Ils disent n'importe quoi � 
Jacques Lamarre nie vigoureusement 
l'�pisode du yacht.  Il affirme que Riadh Ben A�ssa et Sami Bebawi sont peu 
cr�dibles, puisqu'une enqu�te des autorit�s suisses a d�j� d�montr� qu'une 
partie des millions que SNC-Lavalin payait pour des frais de consultants en 
Afrique du Nord a abouti dans leurs comptes personnels. 
� Si tout le monde �tait 
bandit, tout le monde aurait voulu mettre de l'argent dans ses poches. Mais 
en Suisse, c'�tait bien clair, il y avait seulement deux personnes qui s'en sont 
mis dans les poches : Sami Bebawi et Riadh Ben A�ssa �, dit-il. 
� [MM. Bebawi et Ben A�ssa] 
avaient des int�r�ts dans les compagnies auxquelles ils donnaient des 
sous-contrats.  C'est tellement terrible que maintenant ils disent 
n'importe quoi. C 'est pas pensable que ces gens essayent d'entra�ner les autres 
dans leurs affaires ! �, souligne M. Lamarre. 
Il r�p�te, comme il l'avait 
d�clar� � Radio-Canada en 2013, que s'il avait su comment Riadh Ben A�ssa 
conduisait ses affaires, il l'aurait mis � la porte � � coups de pied au 
derri�re �. Il n'avait rien vu venir au moment de l'embauche des 
deux hommes. 
� J'aurais pens� qu'ils 
auraient �t� de bons techniciens, mais je ne pouvais pas imaginer que des gens 
pouvaient faire des choses de m�me �, dit-il. 
Se d�fendre plut�t que 
qu�mander 
Les porte-parole de SNC-Lavalin 
ont refus� de r�pondre aux questions de La Presse sur cette affaire.  Le 
peu de sorties publiques de l'entreprise, qui a multipli� les repr�sentations en 
priv� aupr�s du gouvernement Trudeau pour obtenir un accord � l'amiable, 
surprend Jacques Lamarre. 
� Si SNC-Lavalin met son 
�nergie � se d�fendre et non � qu�mander, je suis certain qu'ils peuvent s'en 
sortir. Je ne veux pas critiquer, je ne veux pas faire la belle-m�re. Ils font 
leur possible. Ce sont eux qui m�nent. Mais si j'�tais � leur place, je me 
d�fendrais plus que �a. J'irais bien plus sur la place publique �, dit-il. 
Il se souvient d'�tre souvent 
mont� au cr�neau pour d�fendre l'entreprise lorsqu'il �tait � sa t�te. Une firme 
de cette taille doit s'attendre � faire face � la controverse. C'est normal, 
selon lui. 
� Quand on a 18 000 projets par 
ann�e, on ne peut pas dire qu'on n'aura aucun probl�me �, dit-il. 
Qui est Saadi Kadhafi ? 
N� le 25 mai 1973 
Troisi�me fils de Mouammar Kadhafi 
Ing�nieur, homme d'affaires, 
officier sup�rieur dans l'arm�e libyenne 
Fuit le pays en 2011 � la chute du 
r�gime de son p�re 
Rapatri� et d�tenu apr�s un bref 
exil au Niger 
D�tenu dans l'attente de son 
proc�s pour son r�le dans la r�pression 
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Qui savait dans l'entreprise?  | 
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Selon l'expert en fraude financi�re 
Messaoud Abda, la question centrale est 
donc de savoir ce que la haute direction avait pendant les dix ans o� elle a autoris� ces contrats d'agences repr�sentant des millions de dollars et, 
surtout, comment elle pouvait ignorer que son propre vice-pr�sident, 
Riadh Ben A�ssa, �tait derri�re ces soci�t�s.  |  
  
� Quoiqu'on en dise, les montants d�tourn�s ou les montants qui ont �t� mal vers�s sont comptabilis�s, dit-il. Sauf 
qu'on s'est arrang� pour ne pas les comptabiliser l� o� il faut pour que cela ne se voie pas. Donc, c'est la preuve que la compagnie a une pratique institutionnalis�e pour ce genre de transaction. � 
 � Si on avait dit : "on n'a trouv� aucune trace de ces paiements" �, mais l� on a dit: "non, on a trouv� des transactions, des traces dans les livres", 
poursuit-il. Alors, forc�ment la compagnie savait que la transaction existait. Donc on savait o� on versait l'argent, et on savait pourquoi c'�tait ainsi. C'est pourquoi on s'est affair� � devoir les 
cacher dans les comptes, � mal les classer pour que cela ne se voie pas. � 
Selon ce qu'ont pu v�rifier Radio-Canada, la RTS et CBC, presque tous les dirigeants responsables de la filiale SNC-Lavalin Internationale inc. au cours des 
derni�res ann�es ont �t� interrog�s pour r�pondre � ces questions. 
Lors de la perquisition du mois d'avril 2012, le procureur suisse Nicolas Bottinelli a interrog� les personnes suivantes: 
Michael Novak, vice-pr�sident directeur Affaires internationales responsable de la filiale SNC-Lavalin International inc. ; 
Ron Denom, pr�sident de SNC-Lavalin International inc.; Marie-Jos�e B�rub�, vice-pr�sidente, Administration de SNC-Lavalin International inc.; 
Klaus Triendl, ancien vice-pr�sident directeur Affaires internationales responsable de SNC-Lavalin International inc.; Tony Rosato, ancien vice-pr�sident, Administration de SNC-Lavalin International Inc. 
 Quant � Jacques Lamarre et Sami B�bawi, ils se sont rendus en Suisse en tant que t�moins assist�s avec la garantie fournie par les procureurs 
suisses qu'ils pourraient ensuite rentrer au Canada. Les t�moins assist�s peuvent �tre conseill�s par un avocat lors de leur interrogatoire et peuvent 
refuser de r�pondre � des questions. 
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1- Jacques Lamarre : ancien PDG; 
2- Klaus Tiendl : vice-pr�sident et directeur des affaires internationales (de 2003 � 2006); 
3- 
Michael Novaks : vice-pr�sident et directeur des affaires internationales;  
4- 
Pierre Duhaime : ex-PDG, arr�t� par l�UPAC le 27 novembre; 
5- 
Sami B�bawi : vice-pr�sident infrastructures et construction (avant 2007).  |  
  
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Honneurs et hommages � un honn�te homme: Vraiment?   |  
  
	
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		Jacques Lamarre a re�u le titre de 
		Grand Montr�alais dans la cat�gorie �conomique en 2007 et a �t� nomm� 
		commandeur de l�Ordre de Montr�al en 2016. 
		
		
		
		
		Pour plus de d�tails ICI  | 
	 
 
Monsieur Jacques Lamarre est l�un des grands b�tisseurs de SNC-Lavalin, dont il fut le p.-d.g. de 1996 � 2009.   En d�but de carri�re, il a 
occup� une s�rie de postes de cadre sup�rieur au sein de la soci�t� d�ing�nierie Lavalin.   Lors de la fusion de Lavalin avec SNC en 1991, il a �t� nomm� pr�sident du nouveau groupe 
Transports, qui a obtenu des contrats majeurs sous sa direction.   En quatre ans au poste de pr�sident Transports, il a fait de cette petite �quipe l�une des divisions les 
plus rentables de l�entreprise.   � la fin de 1994, il a �t� nomm� vice-pr�sident directeur et membre du Bureau du Pr�sident de SNC-Lavalin, puis en 1996 il est devenu 
pr�sident et chef de la direction, poste qu�il a occup� jusqu�en 2009.  
Sous sa gouverne, la valeur boursi�re de SNC-Lavalin est pass�e de 600 millions de 
dollars � 4,8 milliards $ en dix ans.   M. Lamarre a r�colt� de nombreux hommages : officier de l�Ordre du Canada 
( 10 ), prix du 
Grand Montr�alais de la Chambre de commerce du Montr�al 
m�tropolitain, p.-d.g. de l�ann�e 2003 selon la revue Canadian Business, d�tenteur d'un 
Doctorat �s Sciences honoris causa - 2010 d�cern� par l'Universit� Laval,
le prix de carri�re du Conseil du Patronat, en 2004 il re�oit le titre
Canada�s Outstanding CEO of the Year, etc. 
Il fut conseiller strat�gique pour le cabinet d�avocats Heenan Blaikie. La firme d'avocats a d�pos� son bilan et d�cid� de 
fermer ses portes en
f�vrier 2014. 
Ci-dessous: des textes en lien direct avec le sujet: 
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 Notes & R�f�rences encyclop�diques:
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 01 
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Normand Morin ex-vp de SNC/Lavalin se joint en 2011 � GLV Inc. � titre d'administrateur ind�pendant de la Soci�t�. M. Morin si�gera �galement au comit� de v�rification de l'entreprise et sa nomination prend effet le 16 mars 2011 - Sur SNW/Telbec, pour GLV Inc.. L'entreprise a chang� de nom pour Ovivo inc, le 3 mars 2014  Ovivo Inc  | 
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02  | 
 � propos de Marc-A. Bibeau, pr�sident et PDG de Schokbeton et ex-collecteur de fonds aupr�s des entreprises (action ill�gale) sous le gouvernement du Parti Lib�ral du Qu�bec sous la direction de Jean Charest. - Sur M�t�oPolitique  | 
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03  | 
 � propos de Jo�l Gauthier ex-directeur du Parti Lib�ral du Qu�bec - Sur M�t�oPolitique  | 
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04  | 
 
� propos de Pierre Anctil, ex-pr�sident de SNC/Lavalin - Sur le site de Fiera Axium infrastructure  | 
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 05 
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� propos de la firme de g�nie-conseil Roche - Sur M�t�oPolitique  | 
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06  | 
 
 � propos de l'ex-vice-pr�sident de la division construction de la firme,
Sami B�bawi - Sur M�t�oPolitique  | 
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07  | 
 L'enqu�te men�e par la Suisse au sujet de 139 millions de dollars en paiements douteux - Sur Ici Radio-Canada, le 25 novembre 2012  | 
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08  | 
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 � propos de Riadh Ben A�ssa embauch� sous le r�gne de Bernard Lamarre - Sur M�t�oPolitique  | 
  
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09  | 
 � propos de Pierre Duhaime, ex-Pr�sident de SNC/Lavalin, cong�di� pour fraude et inculp� par la police UPAC - Sur M�t�oPolitique  | 
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10  | 
Qu'est-ce qu'un Officier (O.C.) de l'Ordre du Canada
L'Ordre reconna�t : L��uvre d�une vie et le grand m�rite de personnes ayant apport� une contribution importante au Canada et au bien de l�humanit�.  | 
  
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					Les dirigeants de 
					SNC-Lavalin | 
				 
				
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					1972 Bernard 
					Lamarre 
					�tait pr�sident de Lavalin  | 
				 
				
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					1991 � 1999 Lamarre �tait 
					conseiller aupr�s de SNC-Lavalin  | 
				 
				
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					Janvier 1989 
					Guy Saint-Pierre 
					�tait le pr�sident et chef de la direction du Groupe SNC
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					1991 Guy 
					Saint-Pierre 
					lors de la fusion pour SNC. 
					Mai 1995 � mai 2002 Il a si�g� au conseil d�administration 
					et s�est ensuite retir�   | 
				 
				
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					Novembre 1994 
					Jacques Lamarre 
					est nomm� vice-pr�sident ex�cutif du Group SNC-Lavalin inc  | 
				 
				
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					Mai 1996 Jacques Lamarre 
					est nomm� pr�sident et chef de la direction du Groupe 
					jusqu�en 2009 
					
					
					Entre 1996 et 2008, Selon 
					des documents judiciaires M. Lamarre aurait confi� � Normand 
					Morin et � Pierre Anctil, qui se sont succ�d� au poste de 
					vice-pr�sident, la t�che de financer le PLQ. � Tous deux 
					se sont fait indiquer par Jacques Lamarre, p.-d.g. de SNC-Lavalin, 
					que leur poste de vice-pr�sident venait avec cette 
					responsabilit� �   | 
				 
				
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					2011 Gwyn 
					Morgan 
					�tait le pr�sident du conseil de direction et de mai 2007 � 
					mai 2013 Pr�sident du Groupe SNC-Lavalin 
					
					Pierre Duhaime 
					en �tait le chef des op�rations   | 
				 
				
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					Octobre 2012 
					� octobre 2015 Robert G. Card 
					�tait le Chef de la direction de SNC-Lavalin. Il a si�g� au 
					CA de 1996 � mai 2002.  | 
				 
				
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					5 octobre 
					2015 Neil Bruce 
					est pr�sident et chef de la direction et membre du conseil 
					d�administration de SNC-Lavalin.
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11 juin 2019 Ian L. Edwards pr�sident et chef de la direction par int�rim et le 16 octobre 2019 de fa�on permanente.  |    |     |