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Le financement ill�gal des partis politiques chez SNC-Lavalin �tait la responsabilit� de vice-pr�sidents et c'est le PDG Jacques Lamarre en personne qui en avait inform� tour � tour Normand Morin et son successeur Pierre Anctil.   C'est une des informations contenues dans un document judiciaire en partie d�caviard� le 10 novembre 2014 par un juge de la Cour sup�rieure � la demande d'un consortium de m�dias. (devant la Commission Charbonneau)  �tait-il au courant des tractations de la majorit� des membres de son bureau avec des collusionneurs, corrupteurs et fraudeurs?  Pourquoi Jacques Lamarre n'a jamais �t� importun� par l'Unit� permanente anticorruption du Qu�bec ( UPAC), pourtant m�me la police Suisse c'est int�ress� � son cas ? Pour la premi�re fois en 2019 un cadre ose l'accus� d'avoir particip� � la corruption !  L'�tau se resserre sur le gourou de SNC/Lavalin.  - JosPublic

Sous le r�gne de Jacques Lamarre et de Pierre Duhaime,
les partis politiques �taient arros�s copieusement de contributions ill�gales selon la loi canadienne

 

Jacques Lamarre pr�sident de SNC/Lavalin au fil du temps

2019

L�ex-vice-pr�sident de SNC-Lavalin Sami Bebawi , reconnu coupable d�avoir vers� des pots-de-vin en Libye, n�aurait pu commettre sa fraude si d�autres dirigeants de l�entreprise avaient �t� plus vigilants, r�v�lent des documents in�dits d�pos�s lors du proc�s qui s�est conclu dimanche le 15 d�cembre 2019, � Montr�al.   Riad Ben A�ssa et Sami Bebawi sont � ce jour les deux seuls cadres de la firme d�ing�nierie et de construction ayant �t� reconnus coupables de corruption en lien avec les affaires de l�entreprise en Libye. Les deux ont affirm� que Jacques Lamarre, Michael Novak et Gilles Laram�e �tait partie prenante de la d�cision. Ce fait questionne l'intelligence du syst�me de justice canadien.  - 18 d�cembre 2019.
 
Pour plus de d�tails ICI

18 d�cembre 2019
Jacques Lamarre, pr�sident-fant�me

Yves Boisvert, chroniqueur
La Presse

Il �tait le pr�sident de SNC-Lavalin, mais il n�a rien vu. Sa firme faisait des affaires avec un despote, mais jamais il ne se serait dout� que pour obtenir des contrats de 1 milliard en Libye, il y avait un prix � payer. Des cadeaux � donner.

Q-uoi ?

Non, vraiment, Jacques Lamarre �tait un innocent dans un monde corrompu.

Lire la suite - Source: Fiducie de soutien
� La Presse

 
 

7 novembre 2019
Les tentacules de SNC/Lavalin jusque dans les officines du Canada � l�ONU pour favoriser la Libye

Apr�s avoir obtenu de gros contrats publics libyens, au d�but des ann�es 2000, SNC-Lavalin a fait pression sur le gouvernement du Canada afin qu�il appuie la Libye lors de votes aux Nations unies, malgr� des inqui�tudes quant au respect des droits de la personne.

La Couronne a d�pos� en preuve hier plusieurs courriels envoy�s par Bob Blackburn, responsable des relations gouvernementales pour SNC-Lavalin, � d�autres cadres de l�entreprise.

En 2003, par exemple, M. Blackburn sugg�rait de faire valoir aux dirigeants libyens comment SNC-Lavalin avait aid� � faire changer la position canadienne lors d�une r�cente session de l�ONU.  

La Libye pr�sentait tous les deux ans une r�solution pour demander � tous les pays de condamner les pressions �conomiques et les mesures � extraterritoriales ï¿½.  Le Canada s�absentait toujours lors du vote, mais il avait r�cemment chang� sa position pour appuyer la Libye.

� SNC-Lavalin international a aid� pour cela, avec le minist�re des Affaires �trang�res � Ottawa et � l�ONU ï¿½, �crivait M. Blackburn.

Lire la suite - Source: Fiducie de soutien
� La Presse

 
 
 
 
 
 

29 novembre 2019
L�ex-patron de SNC-Lavalin aurait �t� au courant de l�achat d�un yacht � un fils du dictateur Mouammar Kadhafi

L�accus� Sami Bebawi au palais de justice de Montr�al le 14 novembre 2019

Non seulement l�ex-patron de SNC-Lavalin Jacques Lamarre �tait au courant de l�achat d�un yacht pour le fils d�un dictateur en Libye, il aurait m�me �t� question de lui en offrir un deuxi�me plus gros, selon un ex-cadre de l�entreprise.

Un enqu�teur de la Gendarmerie royale du Canada ( GRC ), Alexandre Beaulieu, a livr� vendredi matin le 29 novembre 2019 le contenu d�une conversation qu�il aurait eue en avril 2019 avec Sami Bebawi, un ex-cadre de SNC accus� de fraude et de corruption. 

Bebawi subit actuellement son proc�s au palais de justice de Montr�al. Il se serait confi� au policier lors d�une pause, en marge de proc�dures pr�liminaires, a relat� l�agent au proc�s. 

� Ce qui �tait le plus frustrant pour lui, c��tait que Jacques Lamarre, dans les nouvelles, niait tout ce qui s��tait pass� par rapport au bateau �, a indiqu� l�enqu�teur Alexandre Beaulieu. 

Plusieurs t�moins sont d�j� venus raconter que SNC-Lavalin aurait offert au d�but des ann�es 2000 un yacht de 25 millions $ US � Saadi Kadhafi, le fils du dictateur libyen Mouammar Kadhafi.  SNC-Lavalin aurait pay� ce bateau en effectuant des paiements dans une soci�t�-�cran des �les Vierges britanniques, un paradis fiscal, dans laquelle Bebawi et Riadh Ben A�ssa, un autre ex-cadre de SNC, avaient des int�r�ts, selon ce qu�ont rapport� des t�moins. 

Kadhafi aurait choisi son yacht lors d�un �v�nement nautique � Cannes, sur la C�te d�Azur, apr�s que SNC-Lavalin eut re�u de lucratifs contrats en Libye.   ï¿½ Criss, il [Jacques Lamarre] le savait, il l�a approuv� [l�achat du yacht]. Riadh Ben A�ssa m�a donn� �a [le projet d�acheter un yacht] et je ne voulais pas approuver �, aurait d�clar� Bebawi au policier. 

Bebawi aurait aussi dit au policier qu�il avait r�f�r� Ben A�ssa � Lamarre pour prendre une d�cision au sujet du yacht.  Il �tait m�me question d�acheter un deuxi�me bateau � parce que le premier n��tait pas assez gros �, aurait d�clar� Bebawi au policier sur un ton sarcastique. 

L�ancien cadre accus� de corruption se serait dit
�  triste par rapport � ce qui arrivait � la compagnie et � ses employ�s � et aurait dit constater que ses anciens coll�gues avaient vieilli, selon le policier Beaulieu.  Il aurait d�clar� � l�agent qu�� une de ses plus grosses erreurs � dans sa vie avait �t� d�aller travailler chez SNC-Lavalin.  Le t�moignage du policier Beaulieu cl�t la preuve de la Couronne. La d�fense doit annoncer la semaine prochaine si elle compte faire entendre des t�moins.

Source: Journal de Montr�al de QMI/Qu�becor M�dias de Qu�becor Inc.
pour
Pierre Karl P�ladeau

Jacques Lamarre, PDG de SNC/Lavalin - Saadi Kadhafi fils de l'ancien pr�sident libyen Mouammar Kadhafi et Riadh Ben A�ssa, ex-responsable des activit�s de SNC-Lavalin en Afrique du Nord

6 novembre 2019
Jacques Lamarre
aurait approuv� des pots-de-vin

L�ancien grand patron de SNC-Lavalin Jacques Lamarre aurait personnellement approuv� le paiement de commissions hors normes � d�ex-cadres en Libye, a relat� un t�moin au tribunal. 

�Si tu es capable d�aller chercher la r�clamation, [...] c�est un miracle et tu auras tout ce que tu veux�, aurait d�clar� Jacques Lamarre � Riadh Ben A�ssa, ex-cadre de l�entreprise, au d�but des ann�es 2000, au sujet d�une somme d�environ
100 millions $ que SNC cherchait � se faire payer en extra pour un projet qui avait mal tourn� en Libye

Ben A�ssa �tait contre-interrog� le 6 novembre 2019 au palais de justice de Montr�al au proc�s de Sami Bebawi, 73 ans, un ancien vice-pr�sident de SNC-Lavalin, accus� de huit chefs, dont fraude et corruption. 

Selon le t�moin, Jacques Lamarre �tait pr�t � offrir � Ben A�ssa et � Bebawi autant que 50 % de toute somme remise par une soci�t� d��tat libyenne � SNC en lien avec cette r�clamation.  Ben A�ssa a aussi affirm� que Bebawi lui aurait confi� avoir eu le feu vert de Jacques Lamarre pour mettre en place un syst�me de bonus qui consistait, pour lui et Bebawi, � s�octroyer une commission sur chaque contrat remport� en Libye. 

Il a expliqu� que ces commissions secr�tes, qui ne figuraient pas dans leur r�mun�ration officielle, �taient vers�es dans une soci�t�-�cran en Suisse. Le t�moin a soulign� que l�ex-patron de SNC-Lavalin �tait tr�s impliqu� dans la gestion des projets de SNC et que rien n�arrivait sans son approbation.

Source: Journal de Montr�al de QMI/Qu�becor M�dias de Qu�becor Inc.
pour
Pierre Karl P�ladeau

 
 

18 mars 2019
SNC-Lavalin: Jacques Lamarre
�clabouss� par un ex-cadre

On l'a peu entendu depuis l'�clatement de l'affaire SNC-Lavalin. Jacques Lamarre, l'ex-PDG de la firme, est maintenant montr� du doigt par un ancien subalterne, selon qui il aurait organis� personnellement l'achat d'un yacht offert en pot-de-vin.

Jacques Lamarre a pour politique personnelle de ne plus parler publiquement de SNC-Lavalin, la firme qu'il a dirig�e pendant 13 ans jusqu'� sa retraite en 2009.  Mais cette fois, il est en col�re. Le Saguen�en d'origine a envie d'en d�coudre. De d�fendre son nom. Il vient d'apprendre qu'un de ses anciens cadres a t�moign� sous serment au palais de justice de Montr�al et l'a impliqu� personnellement dans l'achat d'un bateau de 39 millions de dollars offert comme pot-de-vin � Saadi Kadhafi, fils de l'ancien dictateur libyen Mouammar Kadhafi.

Ces nouvelles all�gations ont une port�e particuli�re dans le contexte actuel. Jacques Lamarre n'a jamais �t� accus� criminellement de quoi que ce soit en lien avec les m�saventures de SNC-Lavalin. Mais l'entreprise elle-m�me est accus�e d'avoir vers� 48 millions en pots-de-vin � Saadi Kadhafi.

L'homme par qui arrivent les nouvelles all�gations est Riadh Ben A�ssa, ancien responsable des activit�s de SNC-Lavalin en Afrique du Nord.

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1er novembre 2019
En tant que t�moin Riadh Ben A�ssa implique Jacques Lamarre et Sammy Bebawi

Riadh Ben A�ssa a expliqu� le marasme dans lequel se trouvait SNC-Lavalin � la fin des ann�es 90 en Libye. Il n�y avait presque aucun espoir de se faire payer les 100 millions d�extras, les relations avec le pays �taient ex�crables, le projet mena�ait de tomber � l�eau. 

Jacques Lamarre, Pr�sident-directeur g�n�ral de SNC-Lavalin � l��poque, voulait absolument que l�entreprise se fasse payer sa r�clamation de 100 millions en Libye, selon Riadh Ben Aissa.  ï¿½ Il n�y avait aucune limite � ce que je pouvais faire. Payer des personnes, des agents, tout faire ï¿½, a-t-il relat�.  ï¿½ Ces mots vous sont dits par qui ? ï¿½, a demand� a Couronne au t�moin. � Ils me sont dits par Jacques Lamarre et Sami Bebawi �, a-t-il r�pondu.

Lire la suite - Source: La fiducie de soutien � La Presse

 
 
 

14 f�vrier 2019
Proc�s:
des milliers de courriels pourraient �tre d�voil�s

Sami Bebawi

� l'approche de leur proc�s pour corruption, deux anciens cadres de SNC-Lavalin ont obtenu des milliers de courriels issus des comptes professionnels de leurs anciens coll�gues. Et ils se promettent bien de les utiliser pour leur d�fense, dans une grande s�ance de lavage de linge sale visant � d�montrer que ce sont les moeurs g�n�rales de l'entreprise qui �taient probl�matiques, plut�t que leur comportement � eux.

Sami Bebawi, ancien vice-pr�sident directeur de SNC-Lavalin, et St�phane Roy, ancien vice-pr�sident contr�leur de la firme, sont accus�s de fraude et de contravention � la Loi sur la corruption d'agents publics �trangers, pour avoir particip� au versement de pots-de-vin sous le r�gime de l'ancien dictateur libyen Mouammar Kadhafi.

Bebawi est aussi accus� de recyclage des produits de la criminalit� et de possession de biens criminellement obtenus, alors que de son c�t�, Roy fait face � une accusation suppl�mentaire pour avoir viol� les sanctions des Nations unies visant la Libye.

Leurs deux proc�s sont pr�vus pour les prochains mois.  Les accusations port�es contre eux en 2014 d�coulent du projet Assistance, soit l'enqu�te de la GRC qui a men� au d�p�t d'accusations contre SNC-Lavalin en tant qu'entreprise.

La possibilit� de conclure une entente � l'amiable avec l'entreprise pour �viter un proc�s criminel dans le cadre d'un programme de r�paration a fait couler beaucoup d'encre; Mais pour les deux cadres accus�s personnellement, il n'y a pas d'accord de r�paration possible. Pas d'entente � l'amiable en vue.

Plusieurs anciens hauts dirigeants qui �taient en poste au moment des aventures libyennes de SNC-Lavalin n'ont jamais �t� accus�s.  Mais Sami Bebawi veut parler d'eux.  Car selon ce qui a d�j� �t� d�voil� dans le cadre d'une requ�te pr�liminaire, il impute les infractions d�couvertes par la police � � un �tat de fait pr�existant impliquant notamment l'ancien PDG du Groupe SNC-Lavalin, M. Jacques Lamarre �.

Pour pr�parer sa d�fense, il a demand� une copie de tous les courriels concernant la Libye qui ont �t� envoy�s ou re�us � travers les serveurs de l'entreprise entre 2001 et 2011 par une s�rie de dirigeants.

Bebawi dit avoir besoin des courriels de Jacques Lamarre � ce sujet, mais aussi de ceux des anciens hauts dirigeants Paul Beaudry, Gilles Laram�e et Michael Novak. La cour a acc�d� � sa demande r�cemment.  Son proc�s doit s'ouvrir le 8 avril 2019

Source: Fiducie de soutien � La Presse

Jacques Lamarre et Pierre Duhaime

2018

29 octobre 2018
Un proc�s d�terminant d�bute
pour SNC-Lavalin

Plus de trois ans apr�s le d�p�t des accusations, le proc�s pour fraude chez SNC-Lavalin s'est amorc� le 29 octobre 2018 par l��tape de l�enqu�te pr�liminaire.

L�une des plus grandes firmes d'ing�nierie au monde, SNC-Lavalin a �t� fond�e en 1911.  Elle compte plus de 50 000 employ�s et est active dans plusieurs secteurs tels le p�trole et le gaz, les infrastructures, l'�nergie et les mines.

Avec cette bataille judiciaire qui s'annonce longue, la compagnie joue peut-�tre son avenir.  SNC-Lavalin est accus�e d'avoir vers� pr�s de 48 millions de dollars � des titulaires de charges publiques en Libye afin d�influencer des d�cisions gouvernementales entre 2001 et 2011.

Les faits all�gu�s seraient survenus � l'�poque du guide de la R�volution lybienne, Mouammar Kadhafi, chef d'�tat de la R�publique arabe libyenne, puis de la Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste. La multinationale de l'ing�nierie dit n'avoir rien � se reprocher et elle compte prouver son innocence devant les tribunaux.

Une douzaine de t�moins seront entendus au cours de l'enqu�te pr�liminaire, qui doit durer trois semaines.  Un ancien haut dirigeant, Riadh Ben Aissa, a �t� parmi les premiers entendus le 29 octobre 2018 � la barre des t�moins.  La preuve pr�sent�e demeure toutefois frapp�e d'une ordonnance de non-publication.

Au terme de cette enqu�te pr�liminaire, le juge Claude Leblond devra d�cider si la preuve est suffisante pour que SNC-Lavalin subisse son proc�s.  Devant le tribunal, il n'y a donc pas que la r�putation de l'entreprise qui soit en jeu.  Une condamnation criminelle pourrait �carter SNC des appels d'offres f�d�raux pendant 10 ans.

Source: TVA Nouvelles de QMI/Qu�becor M�dias de Qu�becor Inc. pour Pierre Karl P�ladeau

 

L'intouchable Jacques Lamarre se bidonne, libre comme l'air, lui qui sous son r�gne a laiss� la corruption, la collusion et le financement ill�gal des partis politiques se d�velopper � foison autant au Qu�bec qu'� l'�tranger.  Imaginez la folie du syst�me politique et judiciaire qui poursuit une compagnie qui est une chose intangible sans ses acteurs humains mais ne poursuit pas son pr�sident. Un syst�me invent� pour prot�ger le 1% des oligarques qu�b�cois et canadiens. Il se nomme "voile corporatif".
                                             - JosPublic

Complices all�gu�s

Pierre Anctil
Sami Abdellah Bebawi
Farid Bedjaoui
Riadh Ben A�ssa
Ives Cadotte
Pierre Duhaime
Michel �mond
Mohammad Ismail
Michel Labb�
Normand Morin
St�phane Roy

Joseph Salim
Ramesh Shah
Kevin Wallace
+ 107 ing�nieurs

2016

 
 
 
 

27 mai 2016
107 ing�nieurs "Bougons" du syst�me �lectoral qu�b�cois chez SNC/Lavalin

Cent sept ing�nieurs de la firme SNC-Lavalin ont accept� de payer des amendes de plus de 1 000 $ � leur ordre professionnel pour avoir servi de pr�te-noms dans le cadre de dons politiques pendant plus d�une d�cennie.

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8 septembre 2016
SNC-Lavalin a vers� 118 000 $ en contributions ill�gales au PLC et au PCC

Jacques Lamarre et Pierre Duhaime: belle connivence de la part des fraudeurs all�gu�s par la Commission Charbonneau et l'UPAC

L�entreprise de g�nie SNC-Lavalin a vers� pr�s de 118 000 $ en contributions politiques ill�gales sur une p�riode de sept ans, selon une enqu�te conclue le 8 septembre 2016 par le commissaire aux �lections f�d�rales.

Elle s�en tire toutefois � bon compte � sans p�nalit�s � alors que le commissaire a sp�cifi� avoir conclu une entente de transaction avec la firme d�ing�nierie montr�alaise, qui est loin d�en �tre � ses premi�res infractions �thiques.

Les contributions ont �t� vers�es surtout aux lib�raux et, dans une moindre mesure, aux conservateurs entre le 9 mars 2004 et le 1er mai 2011.

Contribution ill�gale aux partis politiques: le pr�sident de l'�poque Jacques Lamarre ( 1996 � 2009) en aurait fait une politique d'entreprise selon des t�moins ayant sign� des d�clarations sous serment incriminant le chef de l'entreprise.  OMERTA: de fa�on surprenante aucun m�dia ne nomme son nom!!!

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2014

11 novembre 2014
Jacques Lamarre aurait encourag� ses employ�s.es � financer ill�galement le Parti lib�ral

Le m�c�ne SNC Lavalin pour le Parti Lib�ral du Qu�bec aurait fait contribu� ses employ�s.es pour des montants variant de 90 000 $ � 150 000 $ par ann�e.   Selon de nouveaux documents judiciaires M. Lamarre aurait confi� � Normand Morin et � Pierre Anctil, qui se sont succ�d� au poste de vice-pr�sident, entre 1996 et 2008, la t�che de financer le PLQ. � Tous deux se sont fait indiquer par Jacques Lamarre, p.-d.g. de SNC-Lavalin, que leur poste de vice-pr�sident venait avec cette responsabilit� ï¿½, affirment les documents. 

Selon les d�clarations faites par les deux hommes � l�Unit� permanente anticorruption (UPAC),� SNC-Lavalin faisait du financement pour ne pas �tre la seule firme d�ing�nierie au Qu�bec � ne pas participer ï¿½ .   Ces informations in�dites proviennent d�une d�claration asserment�e d�un policier qui a �t� produite � la cour pour obtenir un mandat de perquisition � la permanence du Parti lib�ral du Qu�bec, rue Waverly � Montr�al. Les documents font �tat des soup�ons, non prouv�s en cour, des enqu�teurs.

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10 novembre 2014
L'ex-PDG de SNC Jacques Lamarre savait que ses VP faisaient du financement politique

Le financement politique chez SNC-Lavalin �tait la responsabilit� de vice-pr�sidents et c'est le PDG Jacques Lamarre en personne qui en avait inform� tour � tour Normand Morin et son successeur Pierre Anctil.

C'est une des informations contenues dans un document judiciaire en partie d�caviard� par un juge de la Cour sup�rieure � la demande d'un consortium de m�dias dont fait partie Radio-Canada.

Normand Morin, qui a occup� le poste de vice-pr�sident de 1996 � 2004, ann�e de sa retraite, explique que pour le financement du PLQ, il faisait toujours affaire avec Marc A. Bibeau, l'ex-grand argentier du parti et ami personnel de l'ancien premier ministre Jean Charest.

Normand Morin a confi� � l 'UPAC, qui m�ne une enqu�te depuis 2012 sur le financement occulte au PLQ, qu'il remettait � Marc A. Bibeau, en mains propres, une s�rie de ch�ques recueillis aupr�s des employ�s de la firme de g�nie qui servaient de pr�te-noms et se faisaient ensuite rembourser leurs dons politiques par l'employeur.

La remise d'argent avait lieu une fois par ann�e, soit � l'h�tel Hilton de Dorval ou � la permanence du PLQ, rue Waverly, � Montr�al.

Marc A. Bibeau demandait un montant d'environ 90 000 $ par ann�e, pr�cise Normand Morin, et ce montant augmentait tous les deux ans.

Marc Bibeau ne manquait jamais de lui rappeler qu'il �tait � pr�s du pouvoir ï¿½, peut-on lire dans le document.

Normand Morin ajoute que lorsque la remise d'argent se faisait dans le bureau de Marc A. Bibeau dans les locaux du PLQ, Jo�l Gauthier, alors directeur g�n�ral du parti, s'y trouvait.

Lorsque Pierre Anctil a �t� nomm� pour succ�der � M. Morin, il dit avoir laiss� � Normand Morin la responsabilit� du financement politique de SNC-Lavalin.

� cette �poque (de 2005 � 2008), les objectifs de financement �tablis par Marc A Bibeau s'�levaient alors � 150 000 $ par ann�e.

Pierre Anctil avait fait la connaissance de Marc A. Bibeau � l'occasion d'un d�jeuner lors duquel Normand Morin lui avait pr�sent� M. Bibeau comme le responsable du financement du Parti lib�ral du Qu�bec.

Ces nouvelles informations font partie d'un document r�dig� par l'UPAC, qui a obtenu un mandat en juin 2014 pour effectuer une nouvelle perquisition � la permanence du PLQ.

Une soixantaine de t�moins cr�dibles ont �t� interrog�s par les enqu�teurs, lit-on dans le document, pour expliquer le fonctionnement du financement du PLQ, ses enjeux et son influence sur l'octroi de subventions.

Source - La Soci�t� CBC/Radio-Canada pour
le gouvernement du Canada

2012

 
 
 
 

26 novembre 2012
Jacques Lamarre, ex-PDG de SNC-Lavalin, interrog� par la Suisse

L'enqu�te men�e par la Suisse au sujet de 139 millions de dollars en paiements douteux effectu�s par SNC-Lavalin, dont une partie aurait abouti dans les coffres de proches du r�gime Kadhafi, s'int�resse aux plus hautes sph�res du pouvoir de cette firme d'ing�nierie.

S�il n�a pas �t� encore possible de d�terminer quand Jacques Lamarre s�est rendu en Suisse pour �tre interrog� par les enqu�teurs, on sait que l'ex-vice-pr�sident de la division construction de la firme, Sami B�bawi ( 06 ) a �t� entendu les 19, 20 et 22 novembre 2012 � Berne. On sait que Lamarre et B�bawi avaient le statut de t�moins assist�s (accompagn�s d'un avocat et droit de ne pas r�pondre aux questions) de plus ils avaient la garantie par les procureurs suisses de pouvoir ensuite rentrer au Canada.

Selon le fr�re de Rhiad: � Ils ont sign� des t�moignages contre mon fr�re. Ils sont venus � Berne voir Monsieur Lauber et ont re�u de sa part la garantie qu�ils ne seront jamais inqui�t�s alors que ce sont les cerveaux de l�affaire ï¿½, s�irrite Rafik Ben A�ssa.
 
Jacques Lamarre a dirig� la firme de 1996 � 2009 et c'est sous son r�gne que Riadh Ben A�ssa a �t� promu au sein du bureau du pr�sident, la plus haute instance de direction de SNC-Lavalin.

Lire la suite - Sur Huffington Post Qu�bec

 

 

29 novembre 2012
Jacques Lamarre ni la corruption chez Lavalin

Jacques Lamarre et Pierre Duhaime

Jacques Lamarre - qui a travaill� durant 42 ans chez SNC-Lavalin dont 13 � titre de PDG - a �t� boulevers� d'apprendre l'arrestation de Pierre Duhaime, celui qui lui a succ�d� � la t�te du groupe en 2009.

�C'est d'une tristesse incroyable. Pierre Duhaime a �t� arr�t�, mais il y aura un proc�s et j'esp�re encore qu'il sera blanchi de ces accusations. Mais chez SNC-Lavalin, c'a toujours �t� tr�s clair, il fallait que toutes nos actions soient l�gales, c'�tait sans appel�, dit-il.

S'il y a eu malversation, c'est le fait de quelques individus, est convaincu Jacques Lamarre, qui rappelle que c'est la direction de SNC-Lavalin qui a demand� � la police d'enqu�ter sur ce qu'elle consid�rait des paiements douteux, en f�vrier dernier.

Lire la suite - Sur La Presse

 
 

12 avril 2012
Jean Lamarre pourfend le conseil d'administration de SNC/Lavalin

�Les administrateurs de SNC-Lavalin sont tr�s bien pay�s et ils ne font pas leur �job�. Ils doivent r�aliser qu�avec la paie viennent des responsabilit�s. Il faut �tre pr�sent. Mais il faut croire que les administrateurs de SCN-Lavalin n�ont pas le temps de s�occuper de ce qui se passe dans l�entreprise. Il semble qu�ils soient trop occup�s, qu�ils ont eux-m�mes des entreprises � g�rer.�

M. Jean Lamarre, un conseiller et administrateur de soci�t�s qui est le fils de Bernard Lamarre, ex-pdg de Lavalin, et neveu de l'ex-pdg de SNC-Lavalin Jacques Lamarre, s'est vid� le coeur lors d�un petit d�jeuner de l�Institut des administrateurs de soci�t�s

Lire la suite - Sur Les Affaires

1996-2009

Jacques Lamarre, Ing�nieur n� en 1944� Jonqui�re.
Pr�sident du Groupe SNC-Lavalin (1996-2009).
Fr�re de Bernard Lamarre.
Distinctions -
Officier de l'Ordre du Canada-OOC (2005).
Membre de l'Acad�mie des Grands Montr�alais (2007)

 

 
 
 

Un syst�me de collusion transmis de PDG en PDG
Une culture du d�veloppement des affaires chez SNC-Lavalin

 
 

�quipe de collusionneurs:
Voir aussi ses complices:
Pierre Anctil
Sami Abdellah Bebawi
Farid Bedjaoui
Riadh Ben A�ssa
Ives Cadotte
Pierre Duhaime
Michel �mond
Mohammad Ismail
Michel Labb�
Normand Morin  ( 01 )
St�phane Roy

Joseph Salim
Ramesh Shah
Kevin Wallace

Normand Morin, qui a occup� le poste de vice-pr�sident de 1996 � 2004, ann�e de sa retraite, explique que pour le financement du PLQ, il faisait toujours affaire avec Marc Bibeau, l'ex-grand argentier du Parti Lib�ral du Qu�bec, pr�sident de Schokbeton, membre du conseil d'administration de Power corporation et ami personnel de l'ancien premier ministre Jean Charest.

Normand Morin a confi� � l'UPAC, qui m�ne une enqu�te depuis 2012 sur le financement occulte au PLQ, qu'il remettait � Marc Bibeau, en mains propres, une s�rie de ch�ques recueillis aupr�s des employ�s de la firme de g�nie qui servaient de pr�te-noms et se faisaient ensuite rembourser leurs dons politiques par l'employeur. 

Normand Morin ( 01 )

Marc Bibeau ( 02 )

La remise d'argent avait lieu une fois par ann�e, soit � l'h�tel Hilton de Dorval ou � la permanence du PLQ, rue Waverly, � Montr�al. Marc Bibeau demandait un montant d'environ 90 000 $ par ann�e, pr�cise Normand Morin, et ce montant augmentait tous les deux ans.

Marc Bibeau ne manquait jamais de lui rappeler qu'il �tait � pr�s du pouvoir ï¿½, peut-on lire dans le document.

Normand Morin ajoute que lorsque la remise d'argent se faisait dans le bureau de Marc Bibeau dans les locaux du PLQ, Jo�l Gauthier, alors directeur g�n�ral du parti, s'y trouvait.

 

Jo�l Gauthier ( 03 ) un innocent, coupable de plaider son innocence

Pierre Anctil ( 04 )

Lorsque Pierre Anctil a �t� nomm� pour succ�der � M. Morin, il dit avoir laiss� � Normand Morin la responsabilit� du financement politique de SNC-Lavalin.   � cette �poque (de 2005 � 2008), les objectifs de financement �tablis par Marc Bibeau s'�levaient alors � 150 000 $ par ann�e.   Pierre Anctil avait fait la connaissance de Marc Bibeau � l'occasion d'un d�jeuner lors duquel Normand Morin lui avait pr�sent� M. Bibeau comme le responsable du financement du Parti lib�ral du Qu�bec.   Ces nouvelles informations font partie d'un document r�dig� par l'UPAC, qui a obtenu un mandat en juin 2014 pour effectuer une nouvelle perquisition � la permanence du PLQ.

Une soixantaine de t�moins cr�dibles ont �t� interrog�s par les enqu�teurs, lit-on dans le document, pour expliquer le fonctionnement du financement du PLQ, ses enjeux et son influence sur l'octroi de subventions.

Ces informations n'�taient pas encore �t� soumises � la Cour, le 10 novembre 2014.

�

M. Lamarre aurait confi� � Normand Morin et � Pierre Anctil, qui se sont succ�d� au poste de vice-pr�sident, entre 1996 et 2008, la t�che de financer le PLQ. � Tous deux se sont fait indiquer par Jacques Lamarre, p.-d.g. de SNC-Lavalin, que leur poste de vice-pr�sident venait avec cette responsabilit� ï¿½, affirment les documents judiciaires.

�

Selon les d�clarations faites par les deux hommes � l�Unit� permanente anticorruption (UPAC), � SNC-Lavalin faisait du financement pour ne pas �tre la seule firme d�ing�nierie au Qu�bec � ne pas participer ï¿½.

Encore Bibeau

Les policiers soup�onnent que des infractions de fraude envers le gouvernement, d�entrepreneur qui souscrit � une caisse �lectorale et d�abus de confiance auraient �t� commises. Le 14 novembre 2014 aucune accusation n�a �t� port�e dans cette enqu�te.

� l�instar de la firme de g�nie-conseil Roche ( 05 ), aussi vis�e par l�UPAC, SNC-Lavalin aurait contourn� la loi �lectorale interdisant les dons des entreprises, pour financer le PLQ. � Les employ�s, surtout les cadres, fournissaient des contributions politiques via des ch�ques personnels et [ils] �taient ensuite rembours�s pour le double du montant par des bonis, afin de compenser l�imposition ï¿½, all�guent les documents.   

Lors de son t�moignage � la commission Charbonneau, la responsable du financement lib�ral, Violette Tr�panier, avait d�clar� que le compte 127 n��tait rien de plus qu�une ligne comptable dans les �tats financiers, tout � fait en r�gle, du parti. 

Violette Tr�panier, tout comme Marc Bibeau, a ni� par le pass� avoir collect� des dons aupr�s d�entreprises.

Dons politiques faits par des employ�s de SNC-Lavalin aux partis politiques (PQ, PLQ)

Devant la commission Charbonneau, en 2003, l'ex-vice-pr�sident principal de SNC-Lavalin, Ives Cadotte, avait avou� que sa firme avait fourni pr�s de 1 million de dollars en financement ill�gal au Parti lib�ral du Qu�bec et au Parti qu�b�cois, de 1998 � 2010.

Marc Bibeau et Jean Charest ont toujours refus� d'accorder des entrevues au sujet du financement ill�gal all�gu� dont aurait b�n�fici� le PLQ.   R�f�rences additionnelles - Sur Le Devoir

Jean Charest dans le r�le d'un menteur!

 

La Suisse enqu�te sur les dirigeants de SNC/Lavalin

 
 

L'enqu�te men�e par la Suisse au sujet de 139 millions de dollars en paiements douteux ( 07 ) effectu�s par SNC-Lavalin, dont une partie aurait abouti dans les coffres de proches du r�gime Kadhafi, s'int�resse aux plus hautes sph�res du pouvoir de cette firme d'ing�nierie. 
L'ex-vice-pr�sident de la division construction de la firme, Sami B�bawi, s'est rendu en Suisse pour �tre interrog�, les 19, 20 et 22 novembre 2012 � Berne.

L'ancien pr�sident de la firme, Jacques Lamarre, a d� lui aussi se rendre en Suisse au cours des derniers mois pour �tre questionn� sur les mouvements de fonds suspects qui ont transit� dans les banques suisses.

Jacques Lamarre a dirig� la firme de 1996 � 2009 et c'est sous son r�gne que Riadh Ben A�ssa
( 08 ) a �t� promu au sein du bureau du pr�sident, la plus haute instance de direction de SNC-Lavalin.

Diverses sources au Canada et en Suisse, contact�es par la Radio T�l�vision Suisse (RTS), CBC et Radio-Canada, ont confirm� �galement que deux autres membres du bureau du pr�sident ont �t� interrog�s par les procureurs suisses responsables de l'enqu�te lors de la perquisition au si�ge social de la firme le 13 avril dernier. Il s'agit de Michael Novak, vice-pr�sident et directeur des Affaires internationales de SNC-Lavalin, et de Klaus Triendl, qui occupait le m�me poste en 2003.

La haute direction vis�e

En tout, cela fait donc quatre personnes du bureau du pr�sident qui ont �t� interrog�es dans cette affaire.

Des sourcesproches de l'enqu�te s'attendaient � ce que Pierre Duhaime ( 09 ) ex-PDG dusse t�moigner. Pour des raisons inexpliqu�es et obscures, la justice suisse n'a pas jug� bon de l'interroger. Duhaime �tait pourtant le patron imm�diat de Riadh Ben A�ssa.

Jacques Lamarre et Pierre Duhaime

Duhaime fut arr�t� par l'Unit� permanente anticorruption (UPAC) pour des accusations de fraude li�es au contrat de construction de 1,3 milliard de dollars du Centre universitaire de sant� McGill r�alis� par SNC-Lavalin.
 
Ces interrogatoires en plus haut lieu ne surprennent pas l'expert en fraude financi�re Messaoud Abda . � C'est une compagnie qui a une structure, qui a un pr�sident, qui a un conseil d'administration, un v.-p. finances, qui a un tr�sorier. Il est clair que M. Ben A�ssa ne peut pas avoir mis la main dans le compte de banque ï¿½, dit-il.

La Suisse comme plaque tournante

Les Suisses ont mis au jour un syst�me de transfert d'argent mis sur pied par l'avocat genevois Roland Kaufmann � la demande de l'ex-vice-pr�sident de la division construction de SNC-Lavalin, Riadh Ben A�ssa, qui fut emprisonn� en Suisse du 10 avril 2012 � novembre 2014.

Le minist�re public de la Conf�d�ration (MPC) a formellement pr�venu MM. Kaufmann et Ben A�ssa sous des chefs de corruption et de blanchiment d'argent en rapport avec ce stratag�me.

Roland Kaufmann  Photo : Site du bureau d'avocats Froriep Renggli

D�s 2001, Me Kaufmann a en effet cr�� deux soci�t�s aux �les Vierges britanniques, Duvel Securities Inc. et ensuite Dinova Ltd, � la demande de M. Ben A�ssa, et ouvert des comptes en Suisse au nom de ces deux soci�t�s � la banque EFG � Gen�ve par lesquels ont transit� des paiements de plusieurs millions de dollars en provenance de SNC-Lavalin International inc.

Selon les sources de RTS (Radio-T�l�vision-Suisse), l'analyse financi�re de ces transactions par les enqu�teurs r�v�le que des paiements ont �t� ensuite �t� effectu�s dans des comptes contr�l�s par des proches de la famille Kadhafi et que certaines sommes auraient m�me abouti dans des comptes d�tenus par M. Ben A�ssa et son �pouse � la banque suisse UBS.

La charg�e de propagande de SNC-Lavalin, Leslie Quinton, a reconnu que SNC-Lavalin avait retenu les services de Duvel et Dinova comme agent commercial pour obtenir des contrats en Libye de 2001 � 2011, mais qu'elle n'avait pas identifi� de paiements douteux faits � ces deux soci�t�s dans le cadre de sa v�rification interne.

Une source proche de l'enqu�te en Suisse, � qui Radio-Canada a parl�, affirme que � de s�rieuses questions se posent aux dirigeants de SNC-Lavalin dans cette affaire : comment des millions de paiements ont pu �tre faits � ces soci�t�s sans se soucier � qui va cet argent? � quoi sert cet argent et pourquoi vous payez? ï¿½.

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SNC-Lavalin: Jacques Lamarre �clabouss� par un ex-cadre
 Fiducie de soutien � La Presse, le 18 mars 2019

 
 

Un yacht de 39 millions de dollars aurait �t� offert par SNC-Lavalin � Saadi Kadhafi, fils de l'ancien dictateur libyen Mouammar Kadhafi, en guise de pot-de-vin.

On l'a peu entendu depuis l'�clatement de l'affaire SNC-Lavalin. Jacques Lamarre, l'ex-PDG de la firme, est maintenant montr� du doigt par un ancien subalterne, selon qui il aurait organis� personnellement l'achat d'un yacht offert en pot-de-vin.  Mais il est pr�t � se d�fendre.  Et il invite son ancienne entreprise � hausser le ton, comme lui.

Ces nouvelles all�gations ont une port�e particuli�re dans le contexte actuel.  Jacques Lamarre n'a jamais �t� accus� criminellement de quoi que ce soit en lien avec les m�saventures de SNC-Lavalin.

Mais l'entreprise elle-m�me est accus�e d'avoir vers� 48 millions en pots-de-vin � Saadi Kadhafi.  Elle aimerait obtenir un accord � l'amiable pour �viter un proc�s criminel.  Or, la loi pr�voit qu'avant de conclure un tel accord avec une entreprise, les procureurs de la Couronne doivent v�rifier si celle-ci a identifi� tous les individus qui ont particip� aux gestes r�pr�hensibles et si elle a pris des mesures disciplinaires � leur endroit.

� C'est tellement terrible dire des choses de m�me. C'est pas croyable ï¿½, laisse tomber la voix de Jacques Lamarre au bout du fil du journaliste.  (Note de JosPublic: il avait dit la m�me chose lorsque son PDG Pierre Duhaime avait �t� accus�: � C'est d'une tristesse incroyable. Pierre Duhaime a �t� arr�t�, mais il y aura un proc�s et j'esp�re encore qu'il sera blanchi de ces accusations. Mais chez SNC-Lavalin, c'a toujours �t� tr�s clair, il fallait que toutes nos actions soient l�gales, c'�tait sans appel �, dit-il.  Depuis Duhaime � plaid� coupable).

Jacques Lamarre a pour politique personnelle de ne plus parler publiquement de SNC-Lavalin, la firme qu'il a dirig�e pendant 13 ans jusqu'� sa retraite en 2009.  Mais cette fois, il est en col�re.  Le Saguen�en d'origine a envie d'en d�coudre. De d�fendre son nom. Il vient d'apprendre qu'un de ses anciens cadres a t�moign� sous serment au palais de justice de Montr�al et l'a impliqu� personnellement dans l'achat d'un bateau de 39 millions de dollars offert comme pot-de-vin � Saadi Kadhafi, fils de l'ancien dictateur libyen Mouammar Kadhafi.

Mais l'entreprise elle-m�me est accus�e d'avoir vers� 48 millions en pots-de-vin � Saadi Kadhafi. Elle aimerait obtenir un accord � l'amiable pour �viter un proc�s criminel. Or, la loi pr�voit qu'avant de conclure un tel accord avec une entreprise, les procureurs de la Couronne doivent v�rifier si celle-ci a identifi� tous les individus qui ont particip� aux gestes r�pr�hensibles et si elle a pris des mesures disciplinaires � leur endroit.

SNC-Lavalin a effectivement pris des mesures contre plusieurs cadres.  Il y a eu des cong�diements, des refus de verser certaines primes.  L'entreprise poursuit au civil plusieurs anciens hauts dirigeants qu'elle bl�me pour les d�rapages.

Mais elle n'a jamais annonc� de mesures visant Jacques Lamarre, un g�ant de Qu�bec inc., officier de l'Ordre du Canada, commandeur de l'Ordre de Montr�al, dont la famille est intimement li�e � l'histoire de la firme.

Le t�moin de la police

L'homme par qui arrivent les nouvelles all�gations est Riadh Ben A�ssa, ancien responsable des activit�s de SNC-Lavalin en Afrique du Nord.

M. Ben A�ssa a fait de la prison en Suisse en lien avec le versement de pots-de-vin au r�gime Kadhafi.  Il a aussi �t� condamn� au Qu�bec pour la corruption au Centre universitaire de sant� McGill (CUSM).

Il collabore maintenant avec la Gendarmerie royale du Canada (GRC). Il a t�moign� � l'enqu�te pr�liminaire de son ancien coll�gue St�phane Roy, un ancien vice-pr�sident qui �tait accus� de corruption lui aussi.

Comme M. Roy a b�n�fici� r�cemment d'un arr�t des proc�dures, La Presse peut d�sormais r�v�ler le contenu du t�moignage de Riadh Ben A�ssa.

Ce dernier avait d�j� d�clar� dans le cadre d'une poursuite civile que SNC-Lavalin �tait au courant que des millions avaient �t� vers�s au fils Kadhafi.  Mais dans son t�moignage au palais de justice de Montr�al, il est all� beaucoup plus loin.  Il a donn� des noms, et plusieurs nouveaux d�tails.

Festival de plaisance � Cannes

Saadi Kadhafi fils de l'ancien pr�sident libyen Mouammar Kadhafi. et Riadh Ben A�ssa, ex-responsable des activit�s de SNC-Lavalin en Afrique du Nord

Riadh Ben A�ssa a expliqu� qu'un jour, � l'�poque de la pr�sidence de Jacques Lamarre, il avait re�u un appel de l'avocat de Saadi Kadhafi.  L'avocat lui demandait de se rendre � Cannes, en France, o� le fils du dictateur assistait � un festival de plaisance.

SNC-Lavalin avait fait des milliards en Libye gr�ce � Saadi Kadhafi. Ben A�ssa savait ce qu'il avait � faire.  Il s'est pr�cipit� � Cannes, a-t-il racont�.

Le t�moin affirme s'�tre rendu avec Saadi Kadhafi au stand du constructeur Palmer Johnson. M. Kadhafi a point� un bateau de 45 m�tres, le Hokulani, en vente � 25 millions d'euros (environ 39 millions de dollars canadiens).

� Il m'a dit : "Est-ce que �a te pla�t ?" J'ai dit oui. Et puis, c'�tait grosso modo �a ï¿½, a expliqu� M. Ben A�ssa.

M. Ben A�ssa dit avoir ensuite re�u un second appel de l'avocat de Saadi Kadhafi.  ï¿½ Voil�, on compte sur toi pour acheter le bateau ï¿½, aurait-il d�clar� sans formalit�s.

M. Ben A�ssa dit avoir contact� son sup�rieur chez SNC-Lavalin, Sami Bebawi, qui lui aurait dit que Jacques Lamarre �tait d'accord avec cet achat. Il affirme ensuite avoir parl� de l'affaire avec un autre cadre, Paul Beaudry. Il pr�tend finalement avoir rencontr� Jacques Lamarre � son bureau de Montr�al avec le chef des finances de SNC-Lavalin, Gilles Laram�e, pour planifier l'achat du yacht. (Les refusent de parler publiquement).

Voici son r�cit de la rencontre : � Jacques Lamarre expose � Gilles Laram�e le montant � payer, les 25 millions [d'euros], et la fa�on que ce montant devait �tre pay� pour l'acquisition du yacht. Et Jacques Lamarre demande � Gilles Laram�e de v�rifier si �a "fitte" avec les chiffres, avec la situation financi�re sur la Libye ï¿½, a relat� M. Ben A�ssa devant la cour.

Les chiffres � fittaient ï¿½ apparemment.  Le yacht aurait finalement �t� pay� � travers des soci�t�s coquilles contr�l�es par Riadh Ben A�ssa dans les paradis fiscaux, que SNC-Lavalin payait officiellement comme si elles �taient des soci�t�s de consultants pour des projets � l'�tranger.

M. Ben A�ssa n'est pas le seul ancien cadre � vouloir renvoyer la balle dans le camp de Jacques Lamarre.

L'ancien vice-pr�sident directeur Sami Bebawi, qui doit avoir son proc�s pour corruption en octobre 2019, a d�j� plaid� que les faits qui lui sont reproch�s d�coulent d'� un �tat de fait pr�existant impliquant notamment l'ancien PDG du Groupe SNC-Lavalin, M. Jacques Lamarre ï¿½.

� Ils disent n'importe quoi ï¿½

Jacques Lamarre nie vigoureusement l'�pisode du yacht.  Il affirme que Riadh Ben A�ssa et Sami Bebawi sont peu cr�dibles, puisqu'une enqu�te des autorit�s suisses a d�j� d�montr� qu'une partie des millions que SNC-Lavalin payait pour des frais de consultants en Afrique du Nord a abouti dans leurs comptes personnels.

� Si tout le monde �tait bandit, tout le monde aurait voulu mettre de l'argent dans ses poches. Mais en Suisse, c'�tait bien clair, il y avait seulement deux personnes qui s'en sont mis dans les poches : Sami Bebawi et Riadh Ben A�ssa ï¿½, dit-il.

� [MM. Bebawi et Ben A�ssa] avaient des int�r�ts dans les compagnies auxquelles ils donnaient des sous-contrats.  C'est tellement terrible que maintenant ils disent n'importe quoi. C 'est pas pensable que ces gens essayent d'entra�ner les autres dans leurs affaires ! ï¿½, souligne M. Lamarre.

Il r�p�te, comme il l'avait d�clar� � Radio-Canada en 2013, que s'il avait su comment Riadh Ben A�ssa conduisait ses affaires, il l'aurait mis � la porte � ï¿½ coups de pied au derri�re ï¿½. Il n'avait rien vu venir au moment de l'embauche des deux hommes.

� J'aurais pens� qu'ils auraient �t� de bons techniciens, mais je ne pouvais pas imaginer que des gens pouvaient faire des choses de m�me ï¿½, dit-il.

Se d�fendre plut�t que qu�mander

Les porte-parole de SNC-Lavalin ont refus� de r�pondre aux questions de La Presse sur cette affaire.  Le peu de sorties publiques de l'entreprise, qui a multipli� les repr�sentations en priv� aupr�s du gouvernement Trudeau pour obtenir un accord � l'amiable, surprend Jacques Lamarre.

� Si SNC-Lavalin met son �nergie � se d�fendre et non � qu�mander, je suis certain qu'ils peuvent s'en sortir. Je ne veux pas critiquer, je ne veux pas faire la belle-m�re. Ils font leur possible. Ce sont eux qui m�nent. Mais si j'�tais � leur place, je me d�fendrais plus que �a. J'irais bien plus sur la place publique ï¿½, dit-il.

Il se souvient d'�tre souvent mont� au cr�neau pour d�fendre l'entreprise lorsqu'il �tait � sa t�te. Une firme de cette taille doit s'attendre � faire face � la controverse. C'est normal, selon lui.

� Quand on a 18 000 projets par ann�e, on ne peut pas dire qu'on n'aura aucun probl�me ï¿½, dit-il.

Qui est Saadi Kadhafi ?

N� le 25 mai 1973

Troisi�me fils de Mouammar Kadhafi

Ing�nieur, homme d'affaires, officier sup�rieur dans l'arm�e libyenne

Fuit le pays en 2011 � la chute du r�gime de son p�re

Rapatri� et d�tenu apr�s un bref exil au Niger

D�tenu dans l'attente de son proc�s pour son r�le dans la r�pression

savait
 

Qui savait dans l'entreprise?

 
 

Selon l'expert en fraude financi�re Messaoud Abda, la question centrale est donc de savoir ce que la haute direction avait pendant les dix ans o� elle a autoris� ces contrats d'agences repr�sentant des millions de dollars et, surtout, comment elle pouvait ignorer que son propre vice-pr�sident, Riadh Ben A�ssa, �tait derri�re ces soci�t�s.

� Quoiqu'on en dise, les montants d�tourn�s ou les montants qui ont �t� mal vers�s sont comptabilis�s, dit-il. Sauf qu'on s'est arrang� pour ne pas les comptabiliser l� o� il faut pour que cela ne se voie pas. Donc, c'est la preuve que la compagnie a une pratique institutionnalis�e pour ce genre de transaction. ï¿½

� Si on avait dit : "on n'a trouv� aucune trace de ces paiements" ï¿½, mais l� on a dit: "non, on a trouv� des transactions, des traces dans les livres", poursuit-il. Alors, forc�ment la compagnie savait que la transaction existait. Donc on savait o� on versait l'argent, et on savait pourquoi c'�tait ainsi. C'est pourquoi on s'est affair� � devoir les cacher dans les comptes, � mal les classer pour que cela ne se voie pas. ï¿½

Selon ce qu'ont pu v�rifier Radio-Canada, la RTS et CBC, presque tous les dirigeants responsables de la filiale SNC-Lavalin Internationale inc. au cours des derni�res ann�es ont �t� interrog�s pour r�pondre � ces questions.

Lors de la perquisition du mois d'avril 2012, le procureur suisse Nicolas Bottinelli a interrog� les personnes suivantes:

Michael Novak, vice-pr�sident directeur Affaires internationales responsable de la filiale SNC-Lavalin International inc. ;
Ron Denom, pr�sident de SNC-Lavalin International inc.;
Marie-Jos�e B�rub�, vice-pr�sidente, Administration de SNC-Lavalin International inc.;
Klaus Triendl, ancien vice-pr�sident directeur Affaires internationales responsable de SNC-Lavalin International inc.;
Tony Rosato, ancien vice-pr�sident, Administration de SNC-Lavalin International Inc.

Quant � Jacques Lamarre et Sami B�bawi, ils se sont rendus en Suisse en tant que t�moins assist�s avec la garantie fournie par les procureurs suisses qu'ils pourraient ensuite rentrer au Canada. Les t�moins assist�s peuvent �tre conseill�s par un avocat lors de leur interrogatoire et peuvent refuser de r�pondre � des questions.

 

1- Jacques Lamarre : ancien PDG;
2- Klaus Tiendl : vice-pr�sident et directeur des affaires internationales (de 2003 � 2006);
3- Michael Novaks : vice-pr�sident et directeur des affaires internationales;
4- Pierre Duhaime : ex-PDG, arr�t� par l�UPAC le 27 novembre;
5- Sami B�bawi : vice-pr�sident infrastructures et construction (avant 2007).

Honneurs et hommages � un honn�te homme: Vraiment?

Jacques Lamarre a re�u le titre de Grand Montr�alais dans la cat�gorie �conomique en 2007 et a �t� nomm� commandeur de l�Ordre de Montr�al en 2016.

Pour plus de d�tails ICI

Monsieur Jacques Lamarre est l�un des grands b�tisseurs de SNC-Lavalin, dont il fut le p.-d.g. de 1996 � 2009.   En d�but de carri�re, il a occup� une s�rie de postes de cadre sup�rieur au sein de la soci�t� d�ing�nierie Lavalin.   Lors de la fusion de Lavalin avec SNC en 1991, il a �t� nomm� pr�sident du nouveau groupe Transports, qui a obtenu des contrats majeurs sous sa direction.   En quatre ans au poste de pr�sident Transports, il a fait de cette petite �quipe l�une des divisions les plus rentables de l�entreprise.   � la fin de 1994, il a �t� nomm� vice-pr�sident directeur et membre du Bureau du Pr�sident de SNC-Lavalin, puis en 1996 il est devenu pr�sident et chef de la direction, poste qu�il a occup� jusqu�en 2009.

Sous sa gouverne, la valeur boursi�re de SNC-Lavalin est pass�e de 600 millions de dollars � 4,8 milliards $ en dix ans.   M. Lamarre a r�colt� de nombreux hommages : officier de l�Ordre du Canada ( 10 ), prix du Grand Montr�alais de la Chambre de commerce du Montr�al m�tropolitain, p.-d.g. de l�ann�e 2003 selon la revue Canadian Business, d�tenteur d'un Doctorat �s Sciences honoris causa - 2010 d�cern� par l'Universit� Laval, le prix de carri�re du Conseil du Patronat, en 2004 il re�oit le titre Canada�s Outstanding CEO of the Year, etc.

Il fut conseiller strat�gique pour le cabinet d�avocats Heenan Blaikie. La firme d'avocats a d�pos� son bilan et d�cid� de fermer ses portes en f�vrier 2014.

Sources: Ici Radio-Canada pour La soci�t� CBC/Radio-Canada; Le Devoir pour SPEQ Le Devoir Inc.; Le Journal de Qu�bec et TVA Nouvelles pour Qu�becor Inc.; La Presse (2018) inc. M�dia sous forme de fiducie d�utilit� sociale. Position �ditorial centre droit et f�d�raliste canadien. 

Choix de photos, fusion de textes, mise en page, r�f�rences et titrage par : JosPublic
Mise � jour : 18 d�cembre 2019

Ci-dessous: des textes en lien direct avec le sujet:

 L'ex-PDG de SNC/Lavalin, Pierre Duhaime est officiellement inculp�

D�mission d'Yves Cadotte, ing�nieur collusionneur de chez SNC/Lavalin

Gens d'affaires

Fiche:
Collusion et �thique

Notes & R�f�rences encyclop�diques:

01

 

Normand Morin ex-vp de SNC/Lavalin se joint en 2011 � GLV Inc. � titre d'administrateur ind�pendant de la Soci�t�. M. Morin si�gera �galement au comit� de v�rification de l'entreprise et sa nomination prend effet le 16 mars 2011 - Sur SNW/Telbec, pour GLV Inc.. L'entreprise a chang� de nom pour Ovivo inc, le 3 mars 2014  Ovivo Inc

 

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02

 

� propos de Marc-A. Bibeau, pr�sident et PDG de Schokbeton et ex-collecteur de fonds aupr�s des entreprises (action ill�gale) sous le gouvernement du Parti Lib�ral du Qu�bec sous la direction de Jean Charest. - Sur M�t�oPolitique

 

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03

 

� propos de Jo�l Gauthier ex-directeur du Parti Lib�ral du Qu�bec - Sur M�t�oPolitique

 

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04

 

� propos de Pierre Anctil, ex-pr�sident de SNC/Lavalin - Sur le site de Fiera Axium infrastructure

 

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05

 

� propos de la firme de g�nie-conseil Roche - Sur M�t�oPolitique

Ici pour voir les principaux propri�taires dont: Serge Dussault et Mario-W. Martel et les administrateurs

 

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06

 

 ï¿½ propos de l'ex-vice-pr�sident de la division construction de la firme, Sami B�bawi - Sur M�t�oPolitique

 

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07

 

L'enqu�te men�e par la Suisse au sujet de 139 millions de dollars en paiements douteux - Sur Ici Radio-Canada, le 25 novembre 2012

 

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08

 

� propos de Riadh Ben A�ssa embauch� sous le r�gne de Bernard Lamarre - Sur M�t�oPolitique

 

 

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09

 

� propos de Pierre Duhaime, ex-Pr�sident de SNC/Lavalin, cong�di� pour fraude et inculp� par la police UPAC - Sur M�t�oPolitique

 

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10

 

Qu'est-ce qu'un Officier (O.C.) de l'Ordre du Canada

L'Ordre reconna�t : L��uvre d�une vie et le grand m�rite de personnes ayant apport� une contribution importante au Canada et au bien de l�humanit�.

 

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Les dirigeants de
SNC-Lavalin

1972 Bernard Lamarre �tait pr�sident de Lavalin

1991 � 1999 Lamarre �tait conseiller aupr�s de SNC-Lavalin

Janvier 1989 Guy Saint-Pierre �tait le pr�sident et chef de la direction du Groupe SNC

1991 Guy Saint-Pierre lors de la fusion pour SNC. Mai 1995 � mai 2002 Il a si�g� au conseil d�administration et s�est ensuite retir�

Novembre 1994 Jacques Lamarre est nomm� vice-pr�sident ex�cutif du Group SNC-Lavalin inc

Mai 1996 Jacques Lamarre est nomm� pr�sident et chef de la direction du Groupe jusqu�en 2009

Entre 1996 et 2008, Selon des documents judiciaires M. Lamarre aurait confi� � Normand Morin et � Pierre Anctil, qui se sont succ�d� au poste de vice-pr�sident, la t�che de financer le PLQ. � Tous deux se sont fait indiquer par Jacques Lamarre, p.-d.g. de SNC-Lavalin, que leur poste de vice-pr�sident venait avec cette responsabilit� ï¿½

2011 Gwyn Morgan �tait le pr�sident du conseil de direction et de mai 2007 � mai 2013 Pr�sident du Groupe SNC-Lavalin
Pierre Duhaime en �tait le chef des op�rations

Octobre 2012 � octobre 2015 Robert G. Card �tait le Chef de la direction de SNC-Lavalin. Il a si�g� au CA de 1996 � mai 2002.

5 octobre 2015 Neil Bruce est pr�sident et chef de la direction et membre du conseil d�administration de SNC-Lavalin.

11 juin 2019 Ian L. Edwards pr�sident et chef de la direction par int�rim et le 16 octobre 2019 de fa�on permanente.