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Les fuites de la police politique du Québec. La saga de l'Unité permanente anti-corruption du Québec UPAC |
Pourquoi s'inquiéter des
fuites? Pour protéger la preuve dont les procureurs se servent lors d'un procès. Pour éviter qu'un
jury soit contaminé par de l'information qui
n'a pas sa place au procès. Pour éviter d'accuser publiquement une personne innocente.
Dans le cas présent, il s'agit d'une chasse "aux sorcières"
aussi vindicative qu'inutile. Car les fuiteurs ont raison de le
faire puisque l'UPAC est une maison de fous avec plus d'intrigue,
plus de gens sans éthique qu'une organisation policière devrait
endurer. Mais il faut se souvenir que Robert Lafrenière a été
nommé par Jean Charest le collusionneur en chef. Le premier
ministre a un attaché politique au
service du Parti Libéral du Québec.
Dans le cas présenté ici, je vous invite à ne pas oublier que la guerre aux fuites occulte le définancement par le gouvernement de tout ce qui
pourrait améliorer les résultats des enquêtes.
Même qu'il fait tout pour éviter d'avancer plus vite: lente nomination des juges (une responsabilité autant fédérale que provinciale), manque de
budgets pour les salles, punition pour les procureurs.res qui
oseraient
parler publiquement de budgets déficients, du nombre de procureurs concernant l'augmentation des causes
c'est déjà 50 de moins pour l'année 2017, modification des organigrammes
pour
faire fuir les meilleurs procureurs. |
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Opération Justesse l'UPAC ferme
l'enquête sur la SIQ sans accusation |
L’Unité permanente anticorruption
(UPAC) a annoncé le 8 novembre 2019 la fermeture sans accusations de son enquête
sur des allégations de corruption à la Société immobilière du Québec (SIQ), dans
laquelle le comportement de plusieurs collecteurs de fonds du Parti Libéral du
Québec avait été examiné. |
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Saboter la preuve pour aider les ti-n'amis du Parti Libéral du Québec |
Toute la démarche qui
consiste à noyer et saboter les preuves, éviter d'enquêter, prioriser
les causes en fonction des retombées politiques, tout cela se présente en
rétrospective sous forme de saga: politique,
policière et judiciaire. Un mélange de conflits d'intérêts
personnels et professionnels, une incompétence crasse en gestion, un
déficit d'éthique et d'honneur assumé. Quelqu'un écrira peut-être un livre sur le
sujet mais en attendant à la fin de ce texte
JosPublic
présente ses hypothèses. Pour le moment voici des faits.
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Opération Médiator: l'UPAC frappe à Terrebonne, cinq
arrestations dont l'ex-maire |
L'Unité permanente
anticorruption (UPAC) a mené
une opération à Terrebonne
en lien avec un présumé
système frauduleux de
partage de contrats
municipaux. L'UPAC confirme
avoir procédé à
l'arrestation de l'ex-maire
Jean-Marc Robitaille et de
quatre autres personnes,
soit l'ancien chef de
cabinet Daniel Bélec,
l'ancien directeur général
de la Ville Luc Papillon,
l'entrepreneur Normand
Trudel ainsi que l'ingénieur
Jean Leroux. | |
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Sortir la corruption et les corrompus des hôtels de ville du Québec: Le rap de l'UPAC |
Après la
Commission Charbonneau et la kyrielle de scandales qui ne cessent d'apparaître quotidiennement dans les médias, il faut nettoyer la soue-à-cochons. Si le citoyen ne peut se débarrasser de celui ou celle qui
trichent et tentent d'acheter leur chemin dans la vie, nous pouvons mettre des gens en place qui ne se laisseront pas acheter. Profitons du moment, il y
a encore plus de gens honnêtes que de fourbes et de fraudeurs. Il faut aider l'Unité permanente anti-corruption du Québec à faire le ménage. Si
l'UPAC s'occupe du système de Justice, les citoyens et citoyennes doivent s'occuper du système électoral et faire le ménage. |
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Opération "Mâchurer" |
L'opération, le projet ou l'enquête
"Mâchurer" porte sur le financement politique et l'octroi de contrats publics au
Québec. Des fuites publiées par les médias permettent de croire que
Jean
Charest l'ex-chef du Parti Libéral du Québec, ex-premier ministre du Québec et
Marc-A Bibeau, ex-argentier du Parti Libéral du Québec, dirigeant de
Schokbeton et des Centres d'achats Beauward sont visés par l'enquête de l'Unité
permanente anti-corruption du Québec
(UPAC). |
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L’UPAC arrête huit personnes, élu, fonctionnaire et gens d'affaires, tous accusé
de collusion et corruption envers la ville de Montréal |
Ces huit personnes feront face à
diverses accusations, dont fraude,
complot et corruption dans les
affaires municipales. Les
arrestations ont été effectuées le
19 septembre 2017, par l'Unité
permanente anti-corruption (UPAC) dans
le cadre du projet Fronde, qui
s’intéressait à l’origine au
scandale des compteurs d’eau. L'UPAC
précise que ces arrestations «ne visent qu’un seul volet du
projet d’enquête Fronde».
Les enquêteurs de l'UPAC ont exécuté
des mandats d'arrestation, tôt ce
matin, auprès de huit individus. Il
s'agit de
Frank Zampino, Bernard
Trépanier,
Robert Marcil,
Kazimierz
Olechnowicz, Yves Théberge,
Dany Moreau,
Normand Brousseau et Bernard Poulin. |
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Stéphane
BERGERON
Ministre de la
Sécurité
publique en 2013 |
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Projets Joug et Lierre: sept personnes sont arrêtées par l'UPAC |
Le commissaire à la lutte contre la corruption, M. Robert Lafrenière, a confirmé en conférence de presse, les arrestations de sept personnes en lien avec leur implication
présumée dans des stratagèmes criminels incluant notamment des activités frauduleuses de financement politique, soit : Marc-Yvan Côté, Bruno Lortie, Mario W. Martel, France Michaud, Ernest Murray, Nathalie Normandeau et François
Roussy. |
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L’UPAC ou les affres
d’une escouade
spécialisée |
La cascade de
perquisitions et
d’arrestations des
derniers mois semble
donner un élan à l’Unité
permanente
anticorruption (UPAC).
Mais ces résultats
pourraient bien
camoufler une
organisation en manque
de cohésion et, surtout,
à la remorque de son
bras policier,
l’escouade Marteau. |
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Vague de départs à l'UPAC
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Il ne restera bientôt
presque plus d'enquêteurs-analystes
issus de l'Unité
anticollusion à l'Unité
permanente
anticorruption (UPAC).
Quatre des sept membres
que comptait encore
cette équipe recrutée à
l'origine par Jacques
Duchesneau quitteront
leur poste à la fin du
mois |
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La plus récente mise à jour: 17 mars 2012
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La plus récente mise à jour : 13 mars 2012 - Une ambiance de travail délétère et des luttes de clans, l'Unité permanente anticorruption (UPAC) affronte désormais une
vague de démissions |
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Bureau de lutte à la corruption du ministère de
la Justice du Québec |
Me Sylvain
Lépine, le
procureur-chef
du Bureau de
lutte contre la
corruption et la
malversation, en
a assez de
servir de
bouc-émissaire.
Il en a assez
d'être accusé de
freiner ou de
bloquer les
dossiers traités
par l'UPAC, de
demander sans
cesse plus de
preuves aux
policiers de
Marteau ou
encore de
vouloir des
coupables prêts
à être condamnés
sans avoir trop
de bataille à
livrer devant la
cour. | |
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Pas d'enquête publique, mais... |
Début décembre 2010 - 8 textes. Le premier ministre Jean Charest a annoncé qu'il envisage la mise sur pied d'une unité permanente de lutte contre la corruption et la collusion dans l'industrie de la construction.
Réactions et analyses du Syndicat des policiers de la Sûreté du Québec et des gens spécialisés dans le domaine de l'enquête criminelle |
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