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Curieusement, en 2019, les stations de radio ne prenaient pas la peine de nous réveiller en insistant sur le cumul des mortalités causées par la grippe ou les infections respiratoires de saison. Et, pourtant, à cette époque, le décompte des décès pouvait avantageusement se comparer avec celui avec lequel on nous terrorise afin de mieux nous faire avaler la pilule du consentement universel.
Reprenant en boucle les consignes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), un organisme privé subventionné par Bill Gates et consorts, les autorités publiques nous préviennent qu’il faudra s’attendre à être confinés à de multiples reprises dans l’éventualité d’un retour de pandémie et que, quoi qu’il en soit, seule une vaccination de masse serait susceptible de nous libérer de l’épée de Damoclès d’un confinement qui est devenu la nouvelle façon de gouverner le troupeau humanoïde.
La Suède – joyaux d’une social-démocratie pourtant adulée par l’ensemble de la caste politique québécoise – n’a pas cru bon de confiner sa population, une mesure qui aura permis aux principaux intéressés de se doter de précieux anticorps biologiques et … socioéconomiques. On imagine que les dirigeants suédois doivent être, forcément, de furieux conspirationnistes qui auront « du sang sur les mains », pour reprendre l’antienne d’un chroniqueur montréalais stipendié. D’anciens ministres ou hommes politiques de l’ombre ont, même, profité du marasme ambiant pour préconiser l’emploi d’une traçabilité électronique généralisée et de la mise en place d’un système de passeports régionaux afin de suivre les déplacements d’un troupeau qu’il convient de protéger contre lui-même.
Des intérêts financiers québécois planchent actuellement sur la possibilité de mettre sur le marché un vaccin qui pourrait être administré avant la fin de l’année, une avancée permettant de placer le Québec dans le peloton de tête des régimes alignés sur la doxa globaliste. Parce que notre classe politique n’a qu’une idée fixe en tête : le Québec doit devenir un leader dans le domaine des nouvelles technologies invasives s’il souhaite se distinguer en qualité de « nation progressiste ». Car, puisqu’il faut bien l’admettre, le progressisme représente la seule carte jouable à l’heure où les prérogatives de l’état québécois dépendent intégralement du bon vouloir de l’état fédéral et des marchés financiers internationaux.
La nation canadienne-française, majoritairement d’ascendance française, celte et amérindienne, refuse obstinément de se fondre dans le grand creuset d’un multiculturalisme anglo-saxon qui agit comme une centrifugeuse meurtrière. C’est ce qui explique toute cette guerre de l’information qui perdure depuis la crise d’Octobre 1970, dans un contexte où les autorités fédérales – aidées par tous les Rhodes-Milner Round Table Groups ou Council on Foreign Relations de ce monde – tapent sur les clous qui dépassent les limites de l’enclos québécois. Prisonniers de la monarchie britannique et d’un système politique totalement exogène, les descendants des coureurs des bois et des draveurs [bûcherons] sont confinés à domicile alors que les « autorités compétentes » laissent entrer n’importe qui au pays du consentement béat. Ainsi, la grande caravane des migrants et autres transfuges de la nouvelle économie numérique peut continuer d’affluer sur notre territoire transformé en centre de détention à grande échelle. Les autorités ont reconduit les permis de travail saisonnier permettant aux travailleurs mexicains de venir prêter main-forte aux maraîchers québécois. Les émoluments consentis aux travailleurs agricoles étant bien en deçà de la barre du salaire minimum, on comprendra que seuls les ressortissants d’un pays où le coût de la vie est quatre fois plus bas que chez nous peuvent se « payer » le luxe de venir travailler dans nos champs durant la « belle saison ». Toutefois, tenant compte de l’effondrement de l’économie domestique, les principaux intéressés ont pris le parti de subventionner les chômeurs québécois qui souhaitent se joindre à cette armée de réserve agricole.
La Banque centrale du Canada – à l’instar des autres succursales de la City de Londres – ayant décidé de monétiser à hauteur de dizaines de milliards de dollars, le gouvernement fédéral tente d’aider les travailleurs sans emploi à se sortir la tête de l’eau, le temps de pouvoir relancer une économie domestique qui faisait déjà du surplace depuis longtemps. Rappelons à nos lecteurs, qu’à l’instar des États-Unis, le Canada a pratiquement mis tous ses œufs dans le panier des sables bitumineux et que l’effondrement du marché des hydrocarbures risque de faire imploser par voie de capillarité l’ensemble d’une économie domestique inféodée à quelques « secteurs porteurs ». Le premier ministre Justin Trudeau ne semble pas trop en faire cas, lui qui ne jure que par l’intelligence artificielle (IA) et les secteurs porteurs d’une économie numérique entièrement pilotée par les GAFAM – Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft – de la Côte ouest américaine.
La nouvelle administration québécoise, mise en place à l’automne 2018, outre qu’elle se plie face aux injonctions de l’OMS, intègre le plan de match des autorités fédérales puisqu’elle mise, elle aussi, sur la prééminence des technologies de l’information afin de bâtir un Québec du futur destiné à accueillir une main-d’œuvre étrangère qui se chargera des tâches ingrates, alors qu’une élite de technocrates occupera les strapontins des secteurs porteurs d’une économie dirigée par une poignée d’oligarques anglo-saxons. Chose incroyable, le gouvernement québécois s’apprête à confier à une filiale locale d’Amazon le soin de présider aux destinées du nuage – Cloud – informatique de toutes les données gouvernementales d’une Nouvelle-France condamnée à devenir une république bananière. Tout le reste est à l’avenant.
Comble de l’ironie sordide, les Québécois font preuve d’une solidarité de pacotille puisqu’ils se plient entièrement aux injonctions de la nouvelle gouvernance mondiale et que très peu d’entre eux osent remettre en question le récit officiel concernant cette crise à géométrie variable.
Cette sortie aura provoqué une commotion certaine au sein de la classe médiatique québécoise –malgré le fait que YouTube a finalement censuré la diffusion de la vidéo. D'ailleurs au début il semble avoir considérablement ralenti le compteur des vues de l’entrevue – au point que les mercenaires stipendiés de cette caste n’ont pas hésité à la vouer aux gémonies. Tentant d’informer le grand public des dangers d’un formatage généralisé de la pensée, Lucie Laurier a été comparée à un véritable « danger public », sorte de virus conspirationniste de la pensée non formatée. Bien que quelques milliers de Québécois aient daigné l’écouter, la majorité de nos concitoyens n’auront pas bougé le petit doigt afin de soutenir une des rares personnalités publiques osant remettre en question le scénario officiel d’une pandémie qui semble avoir été taillée sur mesure pour nous confiner à perpétuelle demeure. Sur ces entrefaites, ceux et celles qui se risquent à critiquer cet état d’urgence délétère sont prestement mis au ban de la société par les grands médias qui diffusent des messages terrorisant en boucle.
Bon nombre de "journalopes" ne cachent plus leur satisfaction dans un contexte où les porteurs de virus diagnostiqués n’auront même plus le droit de se rapprocher physiquement de leurs proches. Chemin faisant, les nouvelles mesures de traçabilité électronique permettront de relier les nouveaux pestiférés avec l’ensemble de leurs relations virtuelles, afin d’ordonner à la communauté concernée de prendre des distances définitives avec ces derniers. Comme au Moyen-âge, des populations entières de pestiférés seront assignées à un régime de détention arbitraire et définitive. Ceux qui sortent de chez eux auront du sang sur les mains !
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