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Justin TRUDEAU
Chef du
Parti Libéral du Canada |
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Stephen HARPER
Chef du parti réformiste
conservateur du Canada |
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La page
du Parti Conservateur du Canada qui a accepter pendant 10 ans le
pire premier ministre de l'histoire du Canada |
Selon
JosPublic, Stephen Harper, le premier
ministre du Canada, représente la frange bigote des
réformistes conservateurs au Canada. Guerroyeur au
lieu de médiateur, grand défenseur
des multinationales et du libre marché, psychopathe
léger quant aux effets de ses politiques sur la
population. Il souhaite
un gouvernement mondial pour faciliter le retour des
enfants d'Israël dans leur pays. Dès lors la fin du
monde arrivera telle que prévue par sa congrégation
chrétienne. Les canadiens et canadiennes méritent
mieux que cela. |
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Reprendre en main la réputation du Canada |
Le magazine Adbusters a lancé une
publicité choc. Il s'agit de "Spitbomb", pour
dénoncer la réputation peu enviable qu'aurait
acquise le Canada au cours des dernières années.
La publicité se termine par une scène dans un
aéroport où un individu crache sur une valise à
l’effigie du drapeau canadien appartenant à une dame
assise sur un banc. La publicité aurait été
inspirée d’un fait vécu à l’aéroport de
Paris-Charles-de-Gaulle |
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Duncan CAMERON
Universitaire canadien en Science
politique et économique |
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Tricher pour gagner, le
jeu électoral de Stephen
Harper |
Samedi 1er août
2015, le coup d’envoi a été donné à la 42e élection fédérale au Canada et elle
est différente. Avant de voter le 19 octobre 2015, les électeurs et
électrices vivront une campagne électorale près de deux fois plus longue que
d’habitude. Une longue campagne étirée au maximum correspond au profil
politique que s’est construit Stephen Harper. Son objectif n’est pas de
gagner dans un combat loyal. Le premier ministre veut détruire ses
adversaires. Il impose stratégiquement une longue et coûteuse campagne
électorale. |
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Rachel NOTLEY
Première ministre de l'Alberta |
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Rachel Notley vient de
distiller la peur au
coeur du régime Harper
au Canada |
Les frères Koch auront probablement besoin
d'une thérapie. L'Alberta de couleur bleu
conservateur vient de rejeté une oligarchie
béate, incompétente, au service des
corporations et l'a envoyé errer dans la
nature. Plus que cela, les électeurs et
électrices ont remis les rênes du pouvoir
aux sociaux-démocrates dans une juridiction
gouverné et mis à sac pendant plus de 40 ans
par les substituteurs des "Grosses Huiles". |
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Stephen HARPER
Premier ministre du Canada |
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La détestation des
idéaux conservateurs
fait suer Stephen Harper |
Le 13
février 2015, le premier ministre du Canada, qui
choisit toujours avec attention les porteurs de ses
messages, a accepté de tenir audience auprès de
Monsieur Éric Duhaime du Réseau Liberté et Madame
Nathalie Normandeau, une ex-ministre qui passera à
l'histoire comme celle qui n'a pu s'empêcher
d'accepter des billets de faveur pour voir Céline
Dion, lui fussent-ils remis par un entrepreneur
véreux tel que prouvé à la Commission Charbonneau.
Alors cette "ex" devenue moralisatrice sur les ondes
d'une radio à Québec n'a pas contesté, pas plus que
son coanimateur, les affirmations de Stephen Harper
qui traitait de "gauchiste" toute personne qui n'est
pas d'accord avec sa vision
conservatrice-protestante-évangéliste. David
Desjardins, chroniqueur, a réagi aux accusations du
"caudillo"
canadien.
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John Ralston SAUL
essayiste |
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«Mussolini aurait envié
le style de Stephen
Harper» |
Stephen
Harper, le premier ministre du Canada, dirige le Parlement canadien à la
manière du dictateur fasciste Benito Mussolini ou d’une manière qu'aurait
admirée l’homme fort de l’Argentine qu’était Juan Perón, affirme John
Ralston Saul dans son plus récent livre. |
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Stephen HARPER
Premier ministre du
Canada |
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L’art de gouverner
- Par
Robert Duchesne |
Il
existe des êtres si petits que l’idée même de
grandeur ne saurait effleurer leur esprit. C’est
comme une tare génétique irréversible. Mais il y a
plus taré encore : ceux qui sont si petits qu’ils
rapetissent tout ce qu’ils touchent. Stephen Harper
et ses acolytes sont de cet acabit. En nivelant vers
le bas tout ce qui logiquement devrait plutôt élever
le niveau de sécurité et de qualité de vie des
citoyens, ils compromettent la pérennité des
structures et institutions susceptibles de nous
assurer un maximum de sérénité et de confiance dans
notre quête du bonheur via le labeur quotidien, les
relations personnelles et sociales et les services
publics. |
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