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										Mireille GUAY 
										Ph.D.
										
										en chimie organique et professeure 
										émérite  | 
									 
								 
								
							 
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Le fluorure 
utilisé comme médicament.
Un cadeau empoisonné du département de Santé 
Publique du Québec.  Santé dentaire des enfants du Québec: fausse information, 
camouflage, utilisation du fluorure comme médicament sans prescription, usage abusif du mot scientifique  | 
								 
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Faut-il verser des larmes sur le 
sort de l’équipe de santé dentaire de la Direction de la santé publique (DSP) 
atteinte par les coupures de postes? J’aurais répondu oui, si le mandat 
d’information et de protection de la population en matière de santé 
bucco-dentaire avait été rempli convenablement.  Or, depuis plus de trois 
décennies les personnes en place véhiculent une idée fausse basée sur une 
hypothèse désuète et mise en doute dès 1950, celle que le fluorure protège les 
dents.  De plus, elles font la promotion de la fluoration de l’eau et de 
l’application de vernis fluorés sur les dents d’enfants d’une façon qui frôle de 
trop près la mauvaise publicité ou la parole sectaire.  Mes propos vous 
paraissent-il outranciers ?  Examinons les faits.  | 
 
 
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							 Marc-André GAGNON 
																																								professeur à la School 
							of Public Policy and Administration de l’Université 
							Carleton  | 
						 
					 
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							Valérie BORDE 
							
							
							Chroniqueure scientifique  | 
						 
					 
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																									 Dr. Sauveur Boukris 
																									Médecin et enseignant universitaire à Paris  | 
																								 
																							 
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																									 Les laboratoires pharmaceutiques: des fabricants à malades?  | 
																								 
																								
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																					 Cholestérol, hypertension artérielle, dépression, ostéoporose, ménopause, et si l'on en faisait un peu trop? On assiste depuis quelques années à une surmédicalisation source d'une surconsommation de médicaments, d'examens biologiques, de radiographies, pour aboutir à un excès abusif de traitements. Tout est fait pour que l'on devienne des malades chroniques avec des traitements de longue durée.  | 
																								 
																							 
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																									 60% des pilules sont inutiles  | 
																								 
																								
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																					 Nos pharmacies sont encombrées de pilules qui ne servent à rien et peuvent même être mortelles. C'est ce qu'affirment les professeurs Even et Debré dans un livre de 900 pages où ils évaluent 4000 médicaments. Entrevue avec Philippe Even  | 
																								 
																							 
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																							Il y avait ici une belle illustration réalisée par Mme Christine Roy de l'Agent Illustrateur qui refuse de la partager gratuitement avec vous.  
																							 JosPublic l'a retiré sous la menace de poursuite.  | 
																							
																							
																								
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																									 Mourir de se soigner avec leurs médicaments  | 
																								 
																								
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																					 Avec environ 225 000 morts par an, les effets indésirables des médicaments d’ordonnance sont la quatrième cause de décès aux États-Unis. Qu’en est-il au Canada? On apprend par le Vérificateur général du Canada que Santé Canada ne contrôle pas assez les médicaments. On comprend aussi qu'il y a une collusion avec l'industrie pharmaceutique  | 
																								 
																							 
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On trouve de tout chez votre pharmacien... même un ami qui vous fait avaler une pilule amère
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Le coût des médicaments prend une place grandissante dans le budget de la Santé, mais nos gouvernements ne savent plus comment traiter le malade. Alors que le Québec s'imagine à l'avant-garde avec son régime mixte d'assurance-médicaments, il est encore loin d'offrir une couverture optimale au meilleur coût possible.
Il y a longtemps qu'on ne s'était pas donné la peine de faire une présentation détaillée du patchwork que constitue l'accès aux médicaments d'un bout à l'autre du Canada. Les chercheurs 
Marc-André Gagnon etGuillaume Hébert en arrivent à la conclusion qu'un régime d'assurance-médicaments universel améliorerait l'accès pour tous, tout en faisant économiser entre 10 % et 42 % des coûts, selon l'hypothèse envisagée. 
Au rythme où vont les choses en matière de coûts de la santé, il est devenu irresponsable de ne pas s'attaquer au problème de façon globale.   |   
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