|   | 
	|   | 
	 
	La super-classe mondiale: « Des élites qui n’ont plus peur du peuple »  | 
	  |  
  
	
	À Washington 
	D.C., là où les 
	groupes de "laboratoire-d'idées/Think tanks" se livrent une concurrence sans merci pour influencer les 
	décisions des gouvernants états-uniens, la nouvelle fut un vrai coup de tonnerre.  
	
	Fin 
	novembre 2019, les deux milliardaires George Soros et Charles Koch ont lancé le 
	
	Quincy Institute for Responsible Statecraft, voué à «promouvoir les idées 
	qui éloigneront la politique étrangère américaine de la guerre sans fin, et 
	vers une diplomatie vigoureuse, dans la poursuite de la paix 
	internationale».   
	
	Une ambition qui avait tout l’air d’une déclaration de 
	guerre aux partisans des guerres à outrance: 
| 
« | 
 
 Les dirigeants politiques ont 
	de plus en plus utilisé les moyens militaires de manière ruineuse, 
	contre-productive et sans discernement», résume la lettre d’intention de 
	l’Institut:  «une grande part de la communauté des spécialistes en politique 
	étrangère a succombé à la léthargie intellectuelle et au dysfonctionnement.  | 
» |   
	
	
	Une critique en règle des 
	experts qui ont pignon sur rue dans la capitale états-unienne, vexante 
	peut-être, mais surtout handicapante.  À Washington, tout le monde recherche 
	des financements: l’influence a un coût, et non des moindres.   
	
	Depuis des 
	décennies, Charles Koch finance la droite américaine et George Soros la 
	gauche.  Le premier a déjà injecté 900 millions de dollars entre 2009 et 2016 
	et 300 millions$ pour la seule année électorale 2016. L’alliance donne déjà 
	des maux de crâne aux partisans de l’hégémonie américaine: si les plus 
	grands mécènes leur tournent le dos, leur sera-t-il possible de faire 
	entendre leur voix? 
	
		
			| 
			 Projet de 
	dictature mondial des gens d'affaires  | 
		 
	 
	
	
		
			| Les entreprises multinationales deviendrait l'équivalent de l'ONU | 
		 
	 
	
	Koch est «moins connu, plus discret que Soros qui est narcissique et aime montrer qu’il est 
	un acteur majeur de l’Histoire contemporaine», nous dit Pierre-Antoine Plaquevent, l’auteur de l’ouvrage 
	
	Soros et la société ouverte, métapolitique 
	du globalisme, avec lequel nous nous 
	sommes entretenus. 
	
		
			| 
			 
	Car Georges Soros, lui, écrit 
	des livres de philosophie politique.  Son ambition ?  Instaurer une 
	«société 
	ouverte» globalisée contre les «sociétés closes», des concepts empruntés à 
	l’intellectuel autrichien Karl Popper.   
			
			Et pour mettre en œuvre ses utopies 
	ou, plus immédiatement, s’opposer aux dirigeants 
			populistes et aux nations 
	perçues comme les ennemis de la 
			mondialisation heureuse, Soros dépense sa 
	fortune colossale.   | 
			
			
			 | 
		 
	 
	
	En 2018, il transférait 18 milliards de dollars à ses 
	propres Open Society Foundations 
	OSF.  Un réseau devenu tentaculaire – 
	Amnesty International,
	Human Rights Initiative, le 
	Collectif contre 
	l’islamophobie en France, ou encore 
	les Femen: rares sont les associations 
	militantes progressistes à travers le monde à ne pas avoir reçu de chèque 
	des fondations de George Soros. 
	
	
	À la recherche de «monstres à 
	détruire»? 
	
		
			| 
	 
	L’Institut Quincy, le projet 
	commun de Koch et Soros, semble dès lors un accord transpartisan mais, plus 
	encore, un «virage étonnant», comme le titrait le 
	
	journal Boston Globe.  Un virage 
	qui semble renforcer la tendance isolationniste dans le pays.  Le nom de 
	l’institut lui-même ferait en effet frémir n’importe quel impérialiste 
	américain.  En 1821, le futur sixième Président des États-Unis John Quincy 
	Adams, alors secrétaire d’État, déclarait:  «[L’Amérique, ndlr] ne va pas à 
	l’étranger, à la recherche de monstres à détruire».  Quincy critiquait là 
	l’impérialisme britannique et prévenait l’interventionnisme des États-Unis 
	en Amérique latine.   | 
			
			
			 | 
		 
	 
	
	Bref, un refus du changement de régime avant l’heure. 
	
	
	|   | 
	 
	
	Subversivité: un cas d’école  | 
	  |  
  
	
	Pourtant, le discours de John 
	Quincy était à double tranchant.  En effet, cette figure historique derrière 
	laquelle s’abritent Soros et Koch ne plaidait pas pour la passivité: 
	 «l’Amérique souhaite la liberté et l’indépendance de tous», déclarait-il 
	aussi dans le même discours.   
	
	Un tel nom et de tels propos reflètent dès lors 
	la dualité du projet des milliardaires, qui pourront ainsi justifier sans 
	peine leurs ingérences à l’étranger.  Une action certes non armée, mais bien 
	réelle, via leurs innombrables financements.  Sans doute est-ce là la 
	«diplomatie vigoureuse» évoquée par l’Institut: en fin de compte, le recul 
	de l’interventionnisme casqué ne signifie pas pour autant un ressac de 
	l’impérialisme.  En Amérique, hard et soft power vont toujours de pair. 
	
	Un pouvoir subversif 
	dont la France n’a pas été épargnée.  Aussi, 
	
	Pierre-Antoine Plaquevent nous 
	rappelle-t-il qu’en France, à l’été 2019, l’alliance citoyenne de femmes 
	musulmanes promouvant le port du burkini 
	avait perçu 80 000 dollars du réseau de George Soros, 
	les Open Society Foundations (OSF).  Une somme dérisoire pour les OSF, qui a 
	toutefois donné «une visibilité considérable à un réseau militant qui ne 
	représente pas grand-chose».  Cette opération d’agitprop au retentissement 
	médiatique indéniable aurait-elle été possible sans le chèque d’un tel 
	mécène? 
	
	Mais injecter de l’argent pour 
	inciter au changement n’a pas attendu le soutien aux minorités.  C’est une 
	vieille histoire.  Dans un éditorial du 
	
	journal Washington Post, le néoconservateur 
	James Kirchick
	s’inquiétait de voir Soros critiquer l’interventionnisme, 
	saluant explicitement l’influence exercée par les dollars du financier en 
	Europe de l’Est: 
	
| 
« | 
 
	George Soros est considéré à 
	juste titre comme l’un des défenseurs les plus cohérents de la liberté en 
	Europe centrale et orientale.  Avant l’effondrement de l’Union soviétique, le 
	financier d’origine hongroise a commencé à investir sa fortune dans des 
	dissidents démocratiques. Une fois le mur de Berlin tombé, ses fondations 
	Open Society ont rapidement ouvert des bureaux dans toute la région, 
	apportant un soutien crucial aux journalistes indépendants, aux militants de 
	la société civile et aux politiciens d’esprit libéral.  | 
» |   
	
	
	Il est dès lors «ironique de 
	les voir parler d’isolationnisme!», constate Pierre-Antoine Plaquevent.  L’Atlantic Council
	compte parmi ses donateurs les plus importants la 
	fondation de Soros (entre 250 et 500 000 dollars pour la seule année 2018).  Koch a quant à lui financé le très néoconservateur 
	American Enterprise 
	Institute, connu pour ses postures va-t-en-guerre, au Moyen-Orient ou face à 
	la Russie. 
	
	
	Une start-up idéologique à 
	fort potentiel 
	
		| 
		 
	Pour l’instant, les deux 
	milliardaires n’ont injecté «que» 500 000 dollars chacun dans le nouvel 
	Institut Quincy.  
		
		À titre de comparaison, la 
		Brookings Institution, de centre 
	gauche, peut compter sur 120 millions de dollars, et l’Heritage Foundation, 
	la maison mère du mouvement conservateur américain, sur près de 90 millions. 
	 
		
		Un budget bien mince donc, pour Washington, mais aussi pour les deux 
	mécènes.  Koch a dépensé plus de 900 millions de dollars depuis 2009.  Mais le 
	Quincy Institute ambitionne d’atteindre les six millions dès sa deuxième 
	année d’existence, et peut d’ores et déjà compter sur les carnets d’adresses 
	des deux oligarques.  | 
 |  
  
	
		
			| 
			
			 | 
			
	 
	Le groupe "laboratoire 
	d'idées/think tank" est aujourd’hui 
	présidé par Andrew Bacevich, un ancien colonel et vétéran du 
	
	Viêt-Nam, 
	opposant de la première heure à l’intervention en 
	Irak, mais aussi de 
	l’élargissement de l’OTAN en Europe de l’Est.  
	
	S’il se décrit comme un 
	«conservateur catholique», celui-ci a toutefois pris position pour 
	l’élection de 
	Barack Obama en 2008 afin de mettre un terme à cette guerre 
	du Viet-nam, 
	dans laquelle il perdit un fils en 2007.   
			
	Le directeur exécutif est quant à 
	lui Trita Parsi, un chercheur ayant fui l’Iran et rédigé une thèse sous la 
	direction de
			Francis Fukuyama, l’auteur de 
			La fin de l’histoire.  
			 
			
			Dans cet 
	ouvrage publié en 1992, qui eut un retentissement mondial, Fukuyama avait 
	pensé, le plus sérieusement du monde, que la démocratie libérale serait le 
	point final de l’évolution idéologique et politique de l’humanité, et 
	s’étendrait à l’échelle mondiale.  | 
		 
	 
	
| 
« | 
 
...il y a une guerre des classes, c’est un fait, mais c’est ma classe, la 
	classe des riches, qui est en train de la gagner ! 
                            
         
- Warren Buffet 
                      
                                                                                                     
déclaration au New York Times en 2006  | 
» |   
	
	
	
	Là commence à se révéler le 
	consensus idéologique, au-delà des ambitions anti-militaristes affichées. 
	«Ce sont deux milliardaires représentatifs des idées de l’establishment», 
	résume Plaquevent avant d’ajouter: «Malgré de légères divergences, Soros et 
	Koch se rejoignent au final dans l’idée que l’économique doit primer sur le 
	politique.»   
	
	Or, Trump est une épine dans leur pied:  
| 
« | 
 
 Ce qui leur pose problème, 
	c’est que Trump réintroduit du politique.  Eux sont pour la dissolution du 
	politique. Ce qu’ils craignent, c’est une convergence des "États 
	révisionnistes” du système libéral, et des opinions populistes internes au 
	système libéral occidental.  | 
» |   
	
	
	Et à vrai dire, Charles Koch 
	est-il vraiment conservateur?  Lui et son frère David (décédé en 2019) financent en réalité 
	l’aile 
	libertarienne
	de la droite américaine.  S’ils ont en effet financé 
	d’innombrables candidats du Parti républicain, il s’agissait avant tout 
	d’assurer le respect par ces derniers d’une ligne favorable au libéralisme 
	radical, arc bouté sur la liberté individuelle, le libre marché, 
	c’est-à-dire sur un capitalisme totalement dépourvu de la puissance 
	publique.  
	
		
			| Fin de la démocratie des peuples | 
		 
		
			| 
			 | 
		 
		
			| Abolition des nations | 
		 
	 
	
	Une doctrine qui se marie sans peine au libéralisme politique 
	prôné par Soros.  Aujourd’hui, la fondation Koch finance entre autres des 
	programmes de recherche et de promotion de «ce qui motive l’intolérance, et 
	les meilleurs moyens de la guérir», car «les différences nous rendent plus 
	forts».  Une rhétorique «inclusive», identique à celle de la société ouverte 
	de George Soros, et une critique à peine voilée de l’Amérique de Trump. 
	
	L’actuel Président américain a 
	beau être opposé à l’interventionnisme militaire, là n’est pas le problème. 
	Charles Koch avait en 2016 comparé le choix entre Hillary Clinton et Donald 
	Trump à celui entre «un cancer et une crise cardiaque».  Ainsi, il avait 
	cessé tout financement de la campagne républicaine après la victoire aux 
	primaires de Donald Trump, dont le nationalisme économique va à l’encontre 
	de sa doctrine, comme nous le précise Pierre-Antoine Plaquevent: 
	
| 
« | 
 
L’adversaire de l’ordre 
	libéral, c’est le modèle économique alternatif d’une économie de marché 
	dirigée, au niveau national.  Un modèle qui gagne du terrain à en croire Plaquevent:
nous l’appellerions 
Colbertisme en France.  On la trouve en 
	Chine, en Russie aussi.  C’est aussi ce que tente l’administration de Donald Trump.  | 
» |   
	
	
	Leur nouvelle initiative 
	traduit donc une nouvelle approche selon Plaquevent: «je pense qu’ils ont 
	compris les leçons de l’élection de 2016, qu’ils essaient une approche plus 
	fine».  Et notre interlocuteur de l’interpréter: «ce nouveau projet trace la 
	voie d’une stratégie des globalistes: ralentir la marche, essayer de ménager 
	les alliés, etc.» 
	
	Aussi, Koch et Soros 
	s’inquiètent-ils du militarisme, car il serait contre-productif: l’ordre 
	libéral se construirait plus efficacement par le commerce que par les armes.  En dépit de ses intentions, un tel mondialisme n’est pourtant pas une 
	garantie de paix selon Plaquevent:  «plus on dissout les États nationaux, 
	plus on renforce la tendance vers une guerre civile planétaire».  Si Hillary 
	Clinton était un «cancer», et Donald Trump une «crise cardiaque», alors 
	peut-être l’alliance Soros-Koch serait-elle virale? 
	
		
			
			  | 
			
			 
	«L’idéologie de la société 
	ouverte est un outil pour casser les défenses immunitaires des sociétés dans 
	laquelle il essaie d’appliquer son ingénierie sociale», selon 
	Pierre-Antoine Plaquevent à retrouver dans cet entretien: 
			  |   
	|   | 
 Les précurseurs et 
les alliés actuels de l'Institut Quincy au Canada  | 
	  |  
 
| 
	Un projet de l'Institut Quincy financé par Charles Koch et George Soros |  
   
	
		| 
								
								
		 | 
 
Au 
Canada, l'idéal recherché par 
Soros était déjà représenté par l’ex-premier ministre Pierre-Elliot Trudeau avec 
son ambassadeur à l’ONU Maurice Strong un homme de main du Parti Libéral du 
Canada (PLC), qui prônait déjà à la 
conférence de Rio et au 
Forum économique de Davos, la création d’un 
gouvernement mondial.  
Du financement était disponible 
pour les groupes pouvant faire des remous sociaux de déstabilisation des pays ou 
provinces où les gouvernements n’appuyaient pas un tel projet.  On retrouva de 
l’argent venant des Koch ou Soros dans des groupes faisant la promotion de la 
fierté gaie et sa lutte pour obtenir le mariage entre personnes du même sexe et 
le développement du dossier des LGBTQ.  Mouvement de contestation de 
l'enseignement du sexe à l'école, création d'un
bureau de protection des 
religions par le gouvernement canadien sous Stephen Harper. De multiples groupes 
environnementaux, et des organisations à but 
non lucratif subventionnés par l'Institut Fraser, lui-même subventionné par les 
frères Koch. 
Des groupes comme l'Institut 
Économique de Montréal et
Réseau Liberté Québec ont fait la promotion des 
valeurs libertariennes des frères Koch ce qui a permis d'influencer l'Action 
démocratique du Québec et finalement a permis la création de la Coalition Avenir 
Québec (CAQ) grâce à l'argent de 
Charles Sirois.  Si ce n'était le vernis nationaliste 
d'un ex-péquiste indépendantiste 
François Legault qui a viré sa veste de bord, 
ce parti maintenant affirmé fédéraliste ne serait qu’un regroupement 
d’assoiffés du pouvoir pour le développement de leurs intérêts économiques.   
Le sillon de la droite politique 
fut bien ancré quand le conservateur sans éthique 
Jean Charest s'appropria et 
dénatura le Parti Libéral du Québec (PLQ) en 2003.  Le tracé fut suivi par un libertarien ayant fait ses classes géopolitiques en Arabie Saoudite le 
Dr 
Philippe Couillard ex-premier ministre du Québec.  Ce dernier se déclara adepte 
des théories soutenues par les frères Kosch, qui en même temps rejoignaient 
celles de Soros pour l'ouverture des frontières et la lutte au nationalisme 
québécois.  On se souviendra de lui pour avoir renié
la seule députée musulmane 
du Québec qui l'invitait à ne pas frayer avec les 
Frères Musulmans qui officient 
au Québec dans toutes sortes de groupuscules.  
 
Avec ce genre de dirigeant, dans les faits l'argent états-unien n'était plus 
nécessaire pour mousser la volonté de faire disparaître une classe moyenne 
nationaliste qui empêchait encore les privatisations et la déréglementation tous 
azimuts du rôle de l'État dans l'économie du Québec. 
Avec des 
juges nommés.es selon 
leur affiliation au Parti Libéral « devenu conservateur » du Québec 
sous Jean 
Charest de 2003 à 
2018, il ne peut y avoir de dérive en dehors de l’orientation 
politique des oligarques Koch et Soros. 
Avec des gens d'affaires comme les 
familles Pouliot, Leclerc et Desmarais contrôlant les médias, la Canadian 
Broadcasting corporation (CBC)/Radio-Canada ayant l'obligation de faire la 
promotion de l'enlignement politique du 
	
gouvernement du Canada, le mouvement 
pour la disparition des peuples fondateurs au profit des immigrants est presque 
assuré et la possibilité d’un État canadien laïque et de la protection de la 
langue française (voir Air Canada) est aussi assuré…mais de disparaître.  |   
	
	Les liens de Soros se sont 
	maintenus avec 
	Justin Trudeau premier ministre du Canada en 
	2019.  Ce 
	dernier a maintenue la politique extérieure du Canada de Stephen Harper qui 
	avait permis
	au général Charles Bouchard
	du lac Saint-Jean 
	de bien réaliser avec l'OTAN en Libye le programme d’assassinat sélectif contre les familles 
	et alliés des 
	Kadhafi.   En 2017 il a cédé
	
	la souveraineté du Canada aux États-Unis et c'est attaqué aux pays prônant 
	les valeurs de la nation tels que la Chine, la Russie, le Venezuela, la 
	Syrie, l'Irak etc...  
	
	Le Justin "sans déguisement" 
	a même 
	nommé Chrystia Freeland, une amie personnelle de Soros, Ukrainienne ayant 
	encore 
	son condominium place Maiden à Kiev et qui a obtenu du parlement 
	l'autorisation de vendre des 
	armes létales aux ukraino-nazis qui veulent 
	tuer les russophones nationalistes d'Ukraine.  En 2020, elle est devenue 
	cheffe des relations entre les provinces et sera la porte-parole canadienne 
	face à François Legault, représentant le nationalisme et la laïcité 
	revendiquée par les Québécois....  La
	Super-classe mondiale 
	a de bonnes 
	assises au Québec.  
	
	Il ne faut jamais croire que 
	la géopolitique ne nous rejoindra pas chez nous 
	JosPublic 
	
	 
	
		
			
			
				
					
						| 
						 | 
					 
					
						| 
						 
						Le site web du Parlement canadien a publié cette photo d’une conversation 
						entre
						
						George Soros (à gauche), le 
						premier ministre du Canada, 
						Justin Trudeau (au centre) et
						
						Chrystia 
						
Freeland (à droite) lors d'une réunion du Forum économique mondial à Davos, organisé en janvier 2016.  |    
 |    
	
	
| 
 Notes & Références encyclopédiques:
  |  
 | 
 
Pierre-Antoine Plaquevent est 
l'auteur de l'ouvrage... 
	 | 
  | 
 
	
	Soros et la société ouverte, métapolitique 
	du globalisme 
	 
	Auteur:
	Pierre-Antoine Plaquevent.
	 
	Comprendre l'influence de Soros, c'est comprendre que de nombreux processus 
	politiques antinomiques de notre temps ont souvent un dénominateur commun : 
	l'appui, aussi bien financier que logistique et idéologique des fondations 
	de la Société ouverte.   |   
		
		Par son action et sa 
		vision du monde, George Soros constitue à bien des égards la 
		quintessence même de l'anti-conservatisme et du nominalisme politique. 
		Un projet déployé avec une puissance et des moyens inédits dans 
		l'histoire. Puisse cette étude contribuer au sursaut nécessaire face à 
		l'assaut global que mènent depuis des décennies les réseaux de la 
		société ouverte contre nos sociétés, nos modes de vie et notre avenir. 
		Il n'est peut-être pas encore trop tard. (éditions: Le retour aux 
		sources, 2018). Ceci n'est pas une publicité et MétéoPolitique ne reçoit 
		aucun émolument pour le présenter. Il s'agit d'un service au public.  
 | 
	
	 
	Retour au texte
	  |  
		Alliance 
		citoyenne de femmes musulmanes promouvant le port du burkini... 
		 | 
		
		 
		
		L'association qui soutient les femmes menant des actions pour 
		revendiquer le port du burkini est financée par l'organisation Open 
		Society Foundations, du milliardaire américano-hongrois controversé 
		George Soros. Sur RT, le 8 juil. 2019  | 
 
Retour au texte  |  | 
 
une thèse sous la direction de 
Francis Fukuyama... 
		 | 
	
	Fukuyama est, par ailleurs, 
	conscient que la chute du Mur, la dislocation du bloc de l'Est vont 
	entraîner d'importants troubles : la fin de l'Histoire ne signifie pas, 
	selon lui, l'absence de conflits, mais plutôt la suprématie absolue et 
	définitive de l'idéal de la démocratie libérale, lequel ne constituerait pas 
	seulement l'horizon indépassable de notre temps mais se réaliserait 
	effectivement. - Sur Wikipédia en 
	français.  
 | 
		
		 
		Retour au texte
		
  |  
		Mouvement de 
		contestation de l'enseignement du sexe dans les écoles... 
		 | 
		
			
				| 
				 
				
				 
				
				 | 
				
				 
				
				
				Stephen Harper crée un Bureau de la liberté de religion. 
				
				Selon des groupes 
				de défense des droits de la personne et des porte-parole de 
				l'opposition, toutefois, la création de ce bureau est une 
				tentative mal avisée d'injecter de la religion dans la politique 
				étrangère canadienne.  Source: l'agence de presse La 
				Presse Canadienne   | 
			 
		 
		 | 
 
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		Des groupes 
		comme l'Institut Économique de Montréal et Réseau Liberté Québec ont 
		fait la promotion des valeurs literariennes des frères Koch... 
		 | 
																				
																				C’est ce même Institut Fraser qui appuie le Réseau Liberté Québec. Présent par un kiosque à l’entrée de sa conférence publique du 23 octobre 2010. C’est aussi l’Institut Fraser qui jalonne la carrière de Éric Duhaime, co-fondateur du RLQ, depuis son stage de maîtrise à l’Institut jusqu’à ses plus récents écrits.  
																				Éric Duhaime travaille également pour l’Institut Économique de Montréal (IEDM) fondé par la même personne que l’Institut Fraser : Michaël Walker. Son directeur, Michel Kelly-Gagnon était présent le 23 octobre dernier, tout comme la directrice de l'institut Fraser (et ex-directrice de l'IEDM), Tasha Keiriddine, une conférencière du RLQ, comme Maxime Bernier, le vice-président de l'IEDM, conférencier du RLQ également, tout comme Adam Daifallah, un autre étudiant boursier de l'Institut fraser et fellow de l'IEDM. 
																				  | 
 
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		et 
		finalement a permis la création de la Coalition Avenir Québec... 
		 | 
		 | 
 
Retour au texte  |  
		On se 
		souviendra de lui pour avoir renié... 
		 | 
	
	Elle a été blessée et choquée 
	par la sortie de son collègue Marc Tanguay qui soutient qu'une femme qui 
	porterait le tchador serait acceptée parmi les candidates du PLQ aux 
	prochaines élections.   | 
 
Retour au texte  |  
		Avec des 
		juges nommés.es selon leur affiliation au Parti Libéral du Québec... 
		 | 
	
	
		
			| 
			
			 | 
		 
		
			| 
			 
			Éditorial de Josée 
			Boileau  | 
		 
	 
	
	 | 
 
													
													Québec: nomination des juges 
													
Consultation 
													du Premier Ministre pour les 
													nominations: < tout à fait 
													normal >, dit Jean 
													Charest 
 < du jamais-vu >, dit l'ancien premier ministre Bernard Landry 
- Devoir, 24 septembre 2010  |  
   | 
 
Retour au texte  |  
		Stephen 
		Harper qui avait permis... 
		 | 
 | 
 
Retour au texte  |  
		la 
		protection de la langue française... 
		 | 
		 | 
 
Retour au texte  |  
			
			souveraineté du Canada aux États-Unis... 
			 | 
			 | 
 
Retour au texte  |  | 
			 
			Le Justin "sans 
			déguisement" a même nommé... 
			
			 | 
			
			 
Le deux poids deux mesures du Canada en ce qui concerne l’antisémitisme ne cessera 
jamais d’étonner.   Le cas de la ministre des Affaires étrangères, Madame Chrystia Freeland saute aux yeux.   Si jamais une politicienne ou 
un politicien québécois, à Québec ou à Ottawa, avait un squelette dans le placard comme celui qu’on vient de découvrir dans celui de Mme Freeland, elle aurait déjà 
été destituée, sinon jetée en prison.  | 
 
Retour au texte  |  | 
			 
			a obtenu du parlement 
			l'autorisation de vendre des armes létales aux... 
			
			 |  | 
 
Retour au texte  |  
			La 
			Super-classe mondiale a de bonnes assises au Québec... 
			 |  | 
 
Retour au texte  |  
  |   
Sources: 
	
	Édouard Chanot 
	et 
	Pierre-Antoine Plaquevent, sur 
	Flux 
	on-line de Roumanie; archives de meteopolitique.com  | 
Choix de photos, collection de textes, mise en page, références et titrage par :
JosPublic Mise à jour le 
8 janvier 2020  |   
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