Un premier cas de
collusion et de corruption allégué à
l'intérieur des murs d'Hydro-Québec.
Les documents sont sans équivoque
alors qu'un cadre de la société
d'État est passé aux aveux.
Dans une note
interne, on mentionne que «la
collusion a été faite de connivence
avec un cadre d'Hydro-Québec qui, en
contrepartie, a reçu des sommes
d'argent, des biens ou des services.
Les avantages consentis se chiffrent
à plusieurs dizaines de milliers de
dollars», peut-on lire.
Denis Hervieux a
avoué avoir reçu de Triforce:
une machine à café, un BBQ, un
emploi pour sa fille, du
contreplaqué, le transfert de bail
de sa Toyota au nom de Triforce, des
services de déneigement et des
nuitées au condo de Triforce à
Mont-Tremblant.
Le président de
Triforce, un entrepreneur général de
Laval, Guiseppe Nuccio
( 01 ) nie
avoir tenté de fixer les prix des
contrats de déneigement avec Denis
Hervieux. Il est incapable de dire
s'il a donné de l'argent ou non au
cadre.
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Siège social
de Triforce |
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En flagrant délit
Après avoir avoué
être à la solde de l'entreprise
Triforce, le cadre a été pris en
filature et épié au
téléphone.
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Ex-président
d'Hydro-Québec
affirmant en
2014 qu'il n'y
avait pas de
corruption chez
Hydro-Québec.
Étonnante, cette
démission avant
la fin de son
contrat.
Commençait-il à
sentir le
roussi?
( 03 ) |
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Source: TVA
Nouvelles pour
Québecor
Inc. |
Choix de photos,
fusion de textes, mise en page,
références et titrage
par : JosPublic
Publication :
17 mars 2015 |
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